Prendsencore ton manteau et ton baluchon! - Prends ton manteau, on s'en va!: [] Merci Ă  tous pour vos retours sur la premiĂšre partie! [] Prends ton manteau et ton baluchon! -

prends ton manteau pak je jas Dis ce que tu as Ă  dire, et prends ton manteau. Neem afscheid, pak je jas. Enfin bon, prends ton manteau, on va lui dire au revoir. Nochtans, pak je jas dan zwaaien we ze uit. neem je jas Prends ton manteau et ton sac et viens ici. Neem je jas en je tas en kom hier. Je prends ton manteau. Ik neem je jas wel. Autres exemples en contexte Bien, Raven, prends ton manteau s'il te plaĂźt. Natuurlijk. Raven, haal je jas, alsjeblieft. Isabell, prends ton manteau, il fait froid, aujourd'hui. Isabell, doe je warme jas aan, het is ijskoud. Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide

Prendsde la doublure synthétique pour les manches sinon tu vas restée coincée. J'ai fait tous mes manteaux comme ça, impeccable ;) J'ai fait tous mes manteaux comme ça, impeccable ;) Si ta polaire et ton velours sont épais, je ne pense qu'une triplure soit nécessaire ;) hùte de voir ce que ça va donner !
3 fĂ©vrier 2016 3 03 /02 /fĂ©vrier /2016 2106 Je prends un peu de temps pour publier... mon blog est Ă  l'abandon depuis quelques temps... VoilĂ  donc mon manteau cousu Ă  l'automne dernier d'aprĂšs un modĂšle du magazine Burda Couture Facile automne/hiver 2015. Il me restait un grand coupon de lainage/velour noir dont je n'avais utilisĂ© qu'un morceau pour les manches de celui cousu l'annĂ©e derniĂšre, ça m'a permis de destocker un peu ! Contrairement au modĂšle initial, j'ai modifiĂ© les poches poches Ă  pattes au lieu des poches plaquĂ©es et j'ai aussi modifiĂ© les devants en ajoutant 3 cm sur les bords afin qu'ils se superposent et que je puisse le fermer. J'ai trouvĂ© les jolies pressions Ă  coudre dans la boutique en ligne "La BoĂźte Ă  Secrets" A Little Mercerie. Burda n'a pas prĂ©vu de doublure pour ce modĂšle mais pour plus de confort et avoir de jolies finitions, j'ai doublĂ© mon manteau avec un reste de satin de coton Ă  pois et j'ai mĂȘme ajoutĂ© un joli biais argentĂ©. Les Ă©paules Ă©tant un peu "tombantes", j'ai cousu des Ă©paulettes sur la tĂȘte de manche. Et une petite Ă©tiquette Ă  l'intĂ©rieur pour la touche finale ! Confortable et chaud, j'adore mon manteau ! Published by Tok'ad - dans manteau
Prendston manteau on s'en va - Tour du monde. 741 likes. Le grand voyage de Louise et Baptiste, partis autour du monde pendant 22 mois, en sac Ă  dos ou
3. < a. = se considĂ©rer b. = accrocher, coincer to catch â–ș s'en prendre Ă  = passer sa colĂšre sur to take it out on ; = blĂąmer to put the blame on ; = attaquer to attack * * * pʀɑ̃dʀ 1. verbe transitif prendre un vase sur l'Ă©tagĂšre/dans le placard — to take a vase off the shelf/out of the cupboard 2 7 to have [boisson, aliment, repas]; to take [mĂ©dicament, drogue] aller prendre un cafĂ©/une biĂšre — to go for a coffee/a beer 9 to take [objet]; to choose [sujet, question] prendre quelqu'un pour Ă©poux/Ă©pouse — to take somebody to be one's husband/wife il prend 15% au passage — colloq he takes a cut of 15% 11 to take [temps]; to take up [espace, temps] 12 to get [aliments, essence, place] 13 to take [somebody] on [employĂ©, assistant, apprenti]; to engage [personne] prendre un avocat/guide — to engage a lawyer/guide 15 to pick up [personne, pain, clĂ©, journal, ticket] 16 to take [personne] 17 to catch [personne, animal] ça te/leur prend souvent? — are you/they often like this? 19 to involve [spectateur, lecteur] ĂȘtre pris par un livre/film — to get involved in a book/film 20 to get [gifle, coup de soleil, dĂ©charge, contravention]; to catch [rhume] 21 to take [autobus, mĂ©tro, train, ferry, autoroute] excusez-moi, je vous ai pris pour quelqu'un d'autre — I'm sorry, I thought you were someone else 25 to take [mensurations, tempĂ©rature, tension, pouls] 26 to take down 29 to take over [direction, pouvoir]; to assume [contrĂŽle, poste] 30 to put on [poids]; to gain [avance] 31 to take on [bail]; to take [emploi] 32 to take [somebody] on [concurrent] 33 ArmĂ©e to take, to seize [ville, forteresse]; to capture [navire, tank]; Jeux to take [piĂšce, carte] 2. verbe intransitif prendre Ă  gauche/vers le nord — to go left/north 2 [feu, bois, mĂšche] to catch; [incendie] to break out 3 [gelĂ©e, flan, glace, ciment, plĂątre, colle] to set; [blancs d'Ɠufs] to stiffen; [mayonnaise] to thicken 4 [grĂšve, innovation] to be a success; [idĂ©e, mode] to catch on; [teinture, bouture, vaccination, greffe] to take; [leçon] to sink in 3. 1 8 elle s'y prend bien/mal — she goes about it the right/wrong way ‱‱ * * * pʀɑ̃dʀ 1 to take 2 to get J'ai pris du lait en rentrant. — I got some milk on the way home. J'ai pris des places pour le concert. — I got some tickets for the concert. 3 to get, to fetch Grande-Bretagne, to pick up Je passerai te prendre. — I'll come and pick you up., I'll come and fetch you. Je dois passer prendre Richard. — I have to pick Richard up., I have to go and fetch Richard. 4 to take Nous avons pris le train de huit heures. — We took the eight o'clock train. Je prends toujours le train pour aller Ă  Paris. — I always go to Paris by train., I always take the train when I go to Paris. 5 to take off 6 to put on, to gain prendre goĂ»t Ă  qch — to develop a taste for sth, to acquire a taste for sth 7 to put on 8 to catch 9 to take on, to take in 10 to handle 1 to set 2 to take 3 to be successful 4 to go, to start, to light 5 Prenez Ă  gauche en arrivant au rond-point. — Turn left at the roundabout. * * * 7 consommer to have [boisson, aliment, repas]; to take [mĂ©dicament, drogue]; vous prendrez bien quelque chose/un peu de gĂąteau? won't you have something to eat or drink/some cake?; je vais prendre du poisson I'll have fish; mais tu n'as rien pris! you've hardly taken any!; aller prendre un cafĂ©/une biĂšre to go for a coffee/a beer; je prends des calmants depuis la guerre I've been on tranquillizersGB since the war; le mĂ©decin me fait prendre des antibiotiques the doctor has put me on antibiotics; je ne prends jamais d'alcool/de drogue I never touch alcohol/take drugs; 9 choisir to take [objet]; to choose [sujet, question]; prendre la rouge/le moins cher des deux/la chambre double to take the red one/the cheaper one/the double room; j'ai pris la question sur Zola I chose the question on Zola; la romanciĂšre a pris comme sujet une histoire vraie the writer based her novel on a true story; prendre qn pour Ă©poux/Ă©pouse to take sb to be one's husband/wife; 10 faire payer to charge; elle prend combien de l'heure/pour une coupe? how much does she charge an hour/for a cut?; on m'a pris trĂšs cher I was charged a lot; il prend 15% au passage he takes a cut of 15%; 18 assaillir une douleur le prit he felt a sudden pain; qu'est-ce qui te prend○? what's the matter with you?; ça te/leur prend souvent○? are you/they often like this? ça te prend souvent de gueuler○ comme ça? do you often yell○ like that?; 19 captiver to involve [spectateur, lecteur]; ĂȘtre pris par un livre/film to be involved in a book/film; 22 envisager to take; prenons par exemple Nina take Nina, for example; si je prends une langue comme le chinois/un pays comme la Chine if we take a language like Chinese/a country like China; Ă  tout prendre all in all; 27 apprendre prendre que to get the idea that; oĂč a-t-il pris qu'ils allaient divorcer? where did he get the idea they were going to get divorced?; 29 endosser to take over [direction, pouvoir]; to assume [contrĂŽle, poste]; je prends ça sur moi I'll see to it; prendre sur soi de faire to take it upon oneself to do, to undertake to do; elle a pris sur elle de leur parler/de leur cacher la vĂ©ritĂ© she took it upon herself to talk to them/to hide the truth from them; je prends sur moi tes dĂ©penses I'll cover your expenses; 31 contracter to take on [bail]; to take [emploi]; 32 dĂ©fier to take [sb] on [concurrent]; je prends le gagnant/le perdant I'll take on the winner/the loser; 33 conquĂ©rir Mil to take, to seize [ville, forteresse]; to capture [navire, tank]; Jeux to take [piĂšce, carte]; 2 s'enflammer [feu, bois, mĂšche] to catch; [incendie] to break out; 3 se solidifier [gelĂ©e, flan, glace, ciment, plĂątre, colle] to set; [blancs d'Ɠufs] to stiffen; [mayonnaise] to thicken; 4 rĂ©ussir [grĂšve, innovation] to be a success; [idĂ©e, mode] to catch on; [teinture, bouture, vaccination, greffe] to take; [leçon] to sink in; [prɑ̃dr] verbe transitif A.[SAISIR, ACQUÉRIR] 2. [emporter - lunettes, document, en-cas] to take oĂč as-tu pris cette idĂ©e/cette citation/ces maniĂšres? where did you get that idea/this quotation/those manners? 4. [se procurer] 5. [acheter - nourriture, billet de loterie] to get, to buy ; [ - abonnement, assurance] to take out separable [rĂ©server - chambre d'hĂŽtel, place de spectacle] to book je prends une commission de 3 % I take a 3% commission 7. [retirer] B.[AVOIR RECOURS À, SE SERVIR DE] 1. [utiliser - outil] to use prends un marteau, ce sera plus facile use a hammer, you'll find it's easier prendre le bus/le train to take the bus/train, to go by bus/train 5. [louer] C.[PRENDRE POSSESSION DE, CONTRÔLER] elle m'a pris mon idĂ©e/petit ami she stole my idea/boyfriend pousse-toi, tu prends toute la place move up, you're taking up all the space quand ça le ou lui prend, il casse tout familier when he gets into this state, he just smashes everything in sight il est rentrĂ© chez lui et bien/mal lui en a pris he went home and it was just as well he did/, but he'd have done better to stay where he was 5. [surprendre - voleur, tricheur] to catch si tu veux le voir, il faut le prendre au saut du lit if you want to see him, you must catch him as he gets up je t'y prends, petit galopin! caught ou got you, you little rascal! D.[ADMETTRE, RECEVOIR] 1. [recevoir] aprĂšs 22 heures, nous ne prenons plus de clients after 10 pm, we don't let anymore customers in 3. [accueillir - pensionnaire] to take in separable ; [ - passager] to take [engager - employĂ©, candidat] to take on separable nous ne prenons pas les cartes de crĂ©dit/les bagages en cabine we don't take credit cards/cabin baggage 4. [acquĂ©rir, gagner] prendre de l'avance/du retard to be earlier/later than scheduled b. [Ă©claboussures] she got most ou the worst of it E.[CONSIDÉRER DE TELLE MANIÈRE] bien/mal prendre quelque chose to take something well/badly [interprĂ©ter] prendre quelque chose en bien/en mal to take something as a compliment/badly prendre quelque chose/quelqu'un pour a. [par mĂ©prise] to mistake something/somebody for b. [volontairement] to take something/somebody for, to consider something/somebody to be prendre quelque chose/quelqu'un comme to take something/somebody as Ă  tout prendre all in all, by and large, all things considered prendre l'ennemi de front/Ă  revers MILITAIRE figurĂ© to tackle the enemy head on/from the rear F.[ENREGISTRER] 1. [consigner - notes] to take ou to write down separable ; [ - empreintes, mesures, tempĂ©rature, tension] to take prendre quelque chose/quelqu'un en photo to take a picture ou photo ou photograph of something/somebody G.[DÉCIDER DE, ADOPTER] 2. [s'engager dans - mesure, risque] to take b. [aprĂšs avoir hĂ©sitĂ©] to make up one's mind, to come to a decision j'ai un appel pour toi, tu le prends? I've got a call for you, will you take it? ———————— [prɑ̃dr] verbe intransitif 3. [passer] prendre Ă  travers bois/champs to cut through the woods/fields je n'arrive pas Ă  faire prendre le feu/les brindilles I can't get the fire going/the twigs to catch prenons avant la sixiĂšme mesure/Ă  la scĂšne 2 let's take it from just before bar six/from scene 2 ———————— ———————— ———————— ———————— to get caught ou trapped ———————— 1. [se coincer] attention, tu vas te prendre les doigts dans la charniĂšre! careful, you'll trap your fingers ou get your fingers caught in the hinge! ———————— 1. [se laisser aller Ă ] s'y prendre bien/mal s'y prendre bien/mal avec quelqu'un to handle somebody the right/wrong way ———————— ———————— ———————— s'en prendre Ă  quelqu'un/quelque chose a. [l'attaquer] to attack somebody/something b. [le rendre responsable] to put the blame on somebody/something
5 Le porte-manteau. Tu as tendance Ă  laisser trainer tes vĂȘtements partout dans ton kot ou dans ta chambre d’étudiant ? Il est temps de mettre de l’ordre dans ta vie Kevin.
A l'heure oĂč l'on Ă©crit ces lignes, tout semble indiquer que la France et Roland Garros seront sous un cagnard estival et que les premiĂšres traces de sandales devraient apparaĂźtre sur les peaux des rouquins les plus sensibles. Et c'est important, car en ce jour de Saint MĂ©dard, dit "Saint MĂ©dard le Pissard", se joue la mĂ©tĂ©o de toute l'annĂ©e Ă  venir. Le phĂ©nomĂšne est si puissant que nos ancĂȘtres, dans leur sabots de bois et leurs braies, ont rivalisĂ© d'imagination pour thĂ©oriser cette analyse mĂ©tĂ©o par des dictons dont ils avaient le secret. Pleurs de saint MĂ©dard, quarante jours bousards. » Saint MĂ©dard, beau et serein, promet abondance de grain. » Saint MĂ©dard, grand pissard, fait boire le pauvre comme le richard. » S'il pleut Ă  la Saint-MĂ©dard, il pleut quarante jours plus tard, Ă  moins que Saint-BarnabĂ© 11 juin ne lui coupe l'herbe sous le pied. » Ou bien Si Saint-MĂ©dard est un grand pissard, Saint-BarnabĂ©, Dieu soit louĂ© lui reboutonnera la culotte », dans le mĂȘme esprit. Quand il pleut Ă  la saint MĂ©dard, il y a des russes dans le blĂ© noir. » Les "Russes" Ă©tant des plantes. Si on ne le sait pas, ça n'a aucun sens. Quand saint MĂ©dard ouvre les yeux, Ă©coute voir s’il pleut. » Du jour de saint MĂ©dard en juin, le laboureur se donne le soin. » S'il pleut Ă  la visitation 31 mai, pluie de Saint MĂ©dard continuation. » Saint MĂ©dard Ă©clairci, fait le grenier farci. » Quand il pleut Ă  la Saint-MĂ©dard, prends ton manteau sans nul retard ; mais s'il fait beau pour Saint-BarnabĂ©, qui lui coupe l'herbe sous le pied, ton manteau chez toi peut rester ; enfin s'il pleuvait ces deux jours, tu aurais encore Saint-Gervais accompagnĂ© de Saint-Protais qui le beau temps va ramener » La version compliquĂ©e. bonus "Saint MĂ©dard nuageux, tennis fĂ©minin sur France 2" Ok, celui-lĂ , on vient de l'inventer. Et vous, vous faites quel prono pour la mĂ©tĂ©o de juillet ? Source Wikipedia, toujours dans les bons coups.
ĐĄĐŒ таĐșжД ĐČ ĐŽŃ€ŃƒĐłĐžŃ… ŃĐ»ĐŸĐČарях: toux — toux Dictionnaire des rimes. TOUX — RĂ©flexe expiratoire bref et intense qui chasse brusquement l’air des voies français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche take your hat get your hat grab your hat Je prends ton chapeau et ton manteau Vis ta vie, fais ton travail, puis prends ton chapeau. Prends ton chapeau et ton manteau et allons-y. Prends ton chapeau, ton manteau et va te laver. Alors, prends ton chapeau et un taxi et viens vite. Prends ton chapeau et ton chĂ©quier. D'accord, prends ton chapeau. Prends ton chapeau, file ! Prends ton chapeau de paille ainsi que ma vie. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 12. Exacts 12. Temps Ă©coulĂ© 67 ms. Manteaucourt de junarose actuellement en solde Ă  24€, autant dire que c’est la BIG bonne affaire. Je n’ai jamais eu ce type de manteau court . Je n’ai jamais eu ce type de manteau court . Pas fan du jaune , mais plus j’en porte et plus on me dit que ça me va alors je m’habitue a en porter et j’aime bien .

Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal COMMENCEMENT. Corbeille RP terminĂ©s Aller Ă  la page 1, 2AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Jeu 16 DĂ©c - 124 Andrew ayant prit peur de succomber Ă  la tentation de rejoindre son ancien amant, ne savait plus vraiment Ă  quel saint se vouer, et avait demander l'aide du journaliste. Il avait bien sĂ»r aucune mauvaise pensĂ©e derriĂšre cette demande. Juste le besoin d'ĂȘtre secouru, car il sentait qu'il allait sombrĂ© si on ne lui sortait pas la tĂȘte hors de l'eau. Sans vraiment comprendre d'abord pourquoi, le grand brun demanda combien de temps Braddley comptait rester Ă  Sydney. D'aprĂšs ce que l'infirmier avait compris de leur derniĂšre conversation tĂ©lĂ©phonique, il pensait rester la semaine. Bon Ă©coute ! Si tu veux je peux venir chez toi le temps que ça se calme. », proposa Derek. Andrew resta muet pour un temps vraiment surprit par cette proposition. TouchĂ©, il prit la parole C'est adorable de ta part, je sais pas quoi dire.» Son ami avait vraiment le cƓur sur la main, et il avait l'impression lĂ©gĂšrement d'abuser de sa gentillesse. Le journaliste avait sa vie, ses amours Ă  gĂ©rer, il ne pouvait pas lui demander d'emmĂ©nager chez lui, mĂȘme si cela avait Ă©tĂ© pour une nuit. Alors ne dit rien, ça me va aussi. » tout en caressant la joue du journaliste, il accepta par un signe de tĂȘte sa proposition. Ainsi je te garde Ă  l’Ɠil. » Il sourit Ă  cette idĂ©e, sachant qu'il n'aurait rien Ă  craindre, tant qu'il serait avec Morrison, cela, il en avait la conviction. Mais soudain, il pensa Ă  son appartement, Ă  son maigre salon qui faisait cuisine, sa petite salle de bain avec sa toute petite douche, et la seule chambre Ă  coucher, heureusement avec un grand lit. Oui ! Mais on ferra comment ? J'ai un petit appartement. J'aurais mĂȘme pas un canapĂ© Ă  t'offrir... » Et vu l'Ă©tat de la moquette, il n'aurait pas acceptĂ© qu'il dorme sur un matelas au sol. Ce n'Ă©tait pas pour rien que l'infirmier ne quittait pas ses chaussettes dans son appartement... Et bien on est adulte, on peut bien partager un lit, sans incident, n’est-ce pas ? » Incident ? Il le prenait pour qui, il s'amusa Ă  cette pensĂ©e d'une possible tentative de viol dans la nuit. Non, Derek Ă©tait trop important pour son univers pour qu'il fasse quelque chose d'aussi stupide. Au pire, on dormira tĂȘte-bĂȘche ? Je me ferrais un plaisir de te mettre mes pieds dans la figure pendant la nuit. » s'amusa t-il Ă  choses qui suivirent furent plus agrĂ©ables, en commençant par une sucette offert par une petite fille Ă  Andrew. Il n'avait rien Ă  lui offrir, alors il lui dĂ©posa un baiser chaste sur le front, avant de tirer Derek, et enfin rentrer dans cette salle oĂč il devait voir le film Megamind. La main dans la main, ils regagnĂšrent leurs siĂšges, pour goĂ»ter Ă  leur boisson respectives. Le garçon laissa le journaliste piochĂ© dans son pop-corn, bien content de le partager avec son ami. Il ne pensait pas tout manger d'un coup, et avait mĂȘme un plan pour son encas, mais cela serait pour aprĂšs leur sĂ©ance. Drew' lĂącha une moue quand son camarade lui Ă©bouriffa les cheveux. Il fit mine de lui mordre la main avant de le laisser retirer la retirer. L'infirmier avait un grand sourire, pour dire qu'il ne perdait rien pour attendre. Le film commença, et l'infirmier retomba en enfance pendant plus d'une heure. Il se prit d'affection pour le grand mĂ©chant, qui ne l'Ă©tait pas vraiment quand on suivait ses aventures. Il apprĂ©cia sa maniĂšre maladroite de vouloir gagner l'affection de cette journaliste, en se faisant passer pour quelqu'un d'autre, quelqu'un qui pourrait lui plaire. Sully' tourna la tĂȘte vers Derek Ă  la scĂšne du restaurant, se demandant en qui il devait se dĂ©guiser pour plaire au journaliste ? Cette pensĂ©e le troubla, et il reprit le court du film. Il apprĂ©cia l'amitiĂ© entre Megamind et son " Nounou" , le duo comique marcha parfaitement sur le nĂ©o-zĂ©landais, jusqu'Ă  la scĂšne oĂč son compagnon essayait de faire pleurer dans les chaumiĂšres aprĂšs avoir Ă©tĂ© violemment touchĂ©. Un vrai cabotin ! C'Ă©tait bien vrai ! Le final avec la danse sur " Bad " de Michael Jackson, le fit sourire, et effaça un peu cette fin trĂšs amĂ©ricaine, et donc un peu dĂ©cevante. Le film terminĂ©, les lumiĂšres s'allumĂšrent, Andrew fit craquer sa nuque et Ă©tira ses jambes. Il plongea une main pour prendre une poignĂ©e de pop-corn, n'ayant pas encore tout dĂ©vorĂ©. Derek sembla le remarquer et il tourna la tĂȘte pour l'Ă©couter, regardant les parents se presser vers la sortie, qui Ă©tait en bas de la salle. Et bien, je pensais que tu allais finir ton paquet de popcorn trĂšs vite
 » Andrew arqua ses sourcils assez amusĂ© de cette rĂ©flexion. Il porta les trois pop-corn qu'il avait dans sa main et les enfonça de force dans la bouche de Derek pour le faire taire. C'est que vous me connaissez mal, Monsieur D ! J'adore garder le fond pour emmener Ă  la maison. » Dit-il en se levant. Andrew adorait le pop-corn des cinĂ©mas, ils n'avaient pas le mĂȘme goĂ»t que ceux qu'on peut faire au micro-onde. Et, depuis petit, il terminait rarement ses pots. Je me met devant un film, et je le termine tranquillement. » termina t-il de dire en s'Ă©poussetant. Une fois aprĂšs avoir vĂ©rifiĂ©, qu'il avait toutes ses affaires, il descendit une premiĂšre marche, en regardant si Derek le suivait. Sautant de marche en marche jusqu'Ă  la sortie, l'infirmier Ă©tait encore bloquĂ© Ă  l'Ăąge de dix ans. Il aurait bien assez de temps dehors pour redevenir l'adulte sĂ©rieux qu'il Ă©tait. Alors, tu as aimĂ© ? La fin m'a un peu déçu je dois dire. Mais j'ai bien aimĂ© l'aspect de devoir paraitre autrement pour plaire. Et, la danse sur Bad, m'a beaucoup amusĂ©. » Andrew s'arrĂȘta devant une vitrine en sortant par la porte Ă  l'arriĂšre du cinĂ©ma. Il Ă©tait complĂ©tement dĂ©coiffĂ©. Le garçon pouffa de rire devant cette vision. C'Ă©tait la faute de Derek tout cela, il profita que le grand brun est prit de l'avance dans la ruelle, pour arriver par derriĂšre et le pincer de chaque cĂŽtĂ© de la taille. Tu as vu ma tĂȘte ? On dirait que j'ai mis ma tĂȘte dans un ventilateur. » dit-il complĂ©tement hilareDans la grande rue, il se tourna vers le grand brun, encore gĂȘnĂ© Ă  l'idĂ©e qu'il allait le dĂ©ranger. Avec le recul, sa crise de panique lui semblait maintenant complĂ©tement surrĂ©aliste. Pourquoi, Derek bloquerait ses soirĂ©es pour des problĂšmes qui ne regardait que lui. C'est fou ce qu'on peut rationaliser... Mais connaissant le tempĂ©rament de Morrison, le futur mĂ©decin savait que cela serait problĂ©matique s'il revenait sur le choix qu'il avait fait. Il ne voulait ni le vexer, ni le blesser. Le grand brun avait Ă©tĂ© si bon avec lui. L'infirmier ravala donc ce sentiment d'ĂȘtre un poids encombrant et posa une main sur l'Ă©paule de Derek pour lui demander. Je dois dire que je suis un peu fatiguĂ©, la journĂ©e a Ă©tĂ© mouvementĂ©e...Mais tu as peu ĂȘtre des choses Ă  faire ? Tu veux peut ĂȘtre rĂ©cupĂ©rer des affaires chez toi ? On peut se donner rendez-vous Ă  mon appartement plus tard dans la soirĂ©e, si tu veux ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Jeu 16 DĂ©c - 1503 Les lumiĂšres a nouveau allumĂ©, Derek dĂ©tourna la tĂȘte dans un sourire, tentant de ne pas rire de l’état de la tĂȘte qu’avait Andrew. Avec des mĂšches de cheveux qui montaient dans tout les sens
 Il se retint de le prĂ©venir, car c’était tout de mĂȘme amusant. Il se retourna alors vers Andrew, celui-ci ayant fini de s’étirer Ă  son tour. Et bien, je pensais que tu allais finir ton paquet de popcorn trĂšs vite
 » DĂ©jĂ  rien que pour ce qui Ă©tait dĂ©jĂ  parti
 lui n’aurait jamais pu manger tout ça en tout cas. Andrew devait avoir un grand appĂ©tit. A son contraire, qui Ă©tait repu assez rapidement, peut ĂȘtre par habitude depuis qu’il Ă©tait petit. Le journaliste sourit en se retrouvant avec des popcorns en bouche. Les croquant sous la dent, il finit alors par se redresser. C'est que vous me connaissez mal, Monsieur D ! J'adore garder le fond pour emmener Ă  la maison. » Ah
 C’était ce qu’il faisait aussi quand un reste restait en tout cas. Pas question de jeter aprĂšs tout. Derek passa sa main sur les poches de son manteau, vĂ©rifiant que rien n’était tombĂ©. Je me met devant un film, et je le termine tranquillement » C’est une bonne idĂ©e » dit-il en jetant un coup d’Ɠil au siĂšge pour vĂ©rifier que rien n’était laissĂ© sur place et suivit le jeune homme. Une fois prĂȘt des portes, il jeta son coca vide dans la poubelle. Alors, tu as aimĂ© ? La fin m'a un peu déçu je dois dire. Mais j'ai bien aimĂ© l'aspect de devoir paraitre autrement pour plaire. Et, la danse sur Bad, m'a beaucoup amusĂ©. », lui dit l’infirmier une fois qu’ils furent sorti du cinĂ©ma. Refermant un peu son manteau sur lui-mĂȘme, Derek sourit en acquiesçant de la tĂȘte. En gros oui, c’est une bonne histoire. Je pense que je m’attendais Ă  un peu plus drĂŽle quand mĂȘme » Il avait dĂ©jĂ  plus rit pour d’autres animations en tout cas, mais il ne disait pas que le film Ă©tait mauvais, au contraire. Pour ce qui Ă©tait de la fin
 c’était le genre classique, rien de bien original. Voyant que l’infirmier se regardait dans une vitrine, Derek sourit amusĂ© et continua son chemin en riant doucement. Bah quoi ? Andrew avait une tĂȘte amusante, comme ça. Par contre il ne s’attendait pas forcĂ©ment Ă  ce que le jeune homme lui pince la taille. Il eut un lĂ©ger geste de recul, passant par la suite sa main sur son cĂŽtĂ© droit un peu douloureuse. Depuis l’accident ou l’opĂ©ration qui s'en ai suivit, peu importe, ce cĂŽtĂ© ci avait toujours Ă©tait assez fragile. Il pariait qu’il allait avoir un bleu rien qu’à cause de ce pincement. Tu as vu ma tĂȘte ? On dirait que j'ai mis ma tĂȘte dans un ventilateur. » C’est pas grave » rĂ©pondit-il en se lĂąchant et se posa Ă  cĂŽtĂ© du jeune homme. Il leva ses mains pour lui saisir quelques mĂšches par ci par lĂ  pour les relever vers le haut. T’as qu’à lancer une nouvelle mode. Si t’as du succĂšs promet moi de me laisser l’exclusivitĂ© dessus » Et ben oui son Ăąme de journaliste n’allait pas s’envoler pour autant. Gardant un petit sourire, Ă©tant tout simplement bien en compagnie du jeune homme, Derek s’arrĂȘta quand Andrew fit de mĂȘme. Je dois dire que je suis un peu fatiguĂ©, la journĂ©e a Ă©tĂ© mouvementĂ©e...Mais tu as peu ĂȘtre des choses Ă  faire ? Tu veux peut ĂȘtre rĂ©cupĂ©rer des affaires chez toi ? On peut se donner rendez-vous Ă  mon appartement plus tard dans la soirĂ©e, si tu veux ? » Il Ă©tait dĂ©jĂ  un peu tard, presque 22h et un manteau de nuit Ă©toilĂ© avait dĂ©jĂ  revĂȘtu le ciel. Donc pour ce qui Ă©tait de faire quelque chose, non
 Par contre. Oui je vais passer chez moi rĂ©cupĂ©rer quelques trucs et prĂ©venir ma colo, puis je reviens dĂšs que possible. » Il allait surtout pour chercher des habits de rechange, sa brosse Ă  dent et surtout ses somnifĂšres s’il voudrait dormir la nuit. AprĂšs il verrait sur place ce dont il aurait peut ĂȘtre besoin. Je pense que j’y serais dans une petite heure environ. Tu ne fais pas de bĂȘtises, jusque lĂ , promis ? »D’un cĂŽtĂ© ce serait con pour ce Braddley de se manifester encore se soir, vu comment ça a finit y a peu. Donc il doutait qu’il y ait un risque encore en cette fin de soirĂ©e. Si t'en fais, je serais obligĂ© de te punir », rajouta-t-il un peu amusĂ©. Hum... maintenant ça pourrait rapidement ĂȘtre interprĂ©tĂ© d'un mauvais cĂŽtĂ©. Mais non, rien Ă  connotation sexuelle, juste qu'il sĂ©questrerait Andrew chez lui. Et crois moi, tu voudrais pas connaĂźtre ça » le mit il en garde d'un air sĂ©rieux. Pfff, il ne saurait pas quoi faire, mais il trouverait bien le moment venu, vu qu'il n'avait jamais sĂ©questrĂ© quelqu'un de sa vie ^^ InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Jeu 16 DĂ©c - 1946 Andrew, regardant sa montre, rĂ©alisa qu'il serait bientĂŽt vingt-deux heures, une heure assez sage pour les deux adultes qu'ils Ă©taient. La nuit couvrait les buildings et seul l'Ă©clairage des nĂ©ons permettaient d'y voir comme de jour. Ils auraient pu aller boire un verre, manger quelque chose, mais l'infirmier Ă©tait lĂ©gĂšrement Ă©puisĂ© par sa journĂ©e, et l'Ă©motion produit par le coup de fil de Braddley, lui donnait envie de rentrer chez lui. Cependant, conscient qu'il Ă©tait peut ĂȘtre tĂŽt pour un homme comme Morrison, il lui proposa Je dois dire que je suis un peu fatiguĂ©, la journĂ©e a Ă©tĂ© mouvementĂ©e...Mais tu as peu ĂȘtre des choses Ă  faire ? Tu veux peut ĂȘtre rĂ©cupĂ©rer des affaires chez toi ? On peut se donner rendez-vous Ă  mon appartement plus tard dans la soirĂ©e, si tu veux ? » Le reporter devait peut ĂȘtre passer Ă  son bureau pour un article ? Ou encore rĂ©cupĂ©rer son ordinateur portable Ă  son appartement pour faire des recherches ? Peut-ĂȘtre voir quelqu'un ? La rĂ©ponse de Derek arrĂȘta ses tergiversations. Oui je vais passer chez moi rĂ©cupĂ©rer quelques trucs et prĂ©venir ma colo, puis je reviens dĂšs que possible. » Andrew l'Ă©couta, vĂ©rifiant dans ses poches qu'il avait bien les clĂ©s de chez lui. Dans la poche droite ! TrĂšs bien ! Se rassura t-il. Le garçon sortit son trousseau, dĂ©fit une clĂ© minuscule et la posa dans la main de son camarade. Prends ton temps, et fait attention sur la route. Tiens, c'est la clĂ© de mon garage ! L'entrĂ©e est juste devant mon immeuble. » dit-il en souriant. Vu son quartier, si le journaliste dĂ©cidait de venir en moto, il prĂ©fĂ©rait que son vĂ©hicule soit en sĂ©curitĂ©. Je pense que j’y serais dans une petite heure environ. Tu ne fais pas de bĂȘtises, jusque lĂ , promis ? » Andrew afficha une moue coupable, car aprĂšs tout, il allait dĂ©ranger son ami pour une stupide histoire d'ex. Le garçon se trouvait tellement stupide, qu'il se serait donnĂ© des claques. Inquiet, l'infirmier sortit son iphone, sur l'Ă©cran s'affichait 4 MESSAGES – de BRADDLEY JOHNSON ». Sully' ne voulait pas s'humilier Ă  nouveau, en paniquant. Il effaça d'un geste sec devant le grand brec ses messages en absences. Promis ! » dit-il en relevant la tĂȘte et avec un grand sourire. Si t'en fais, je serais obligĂ© de te punir » Derek faisait de l'humour ? C'Ă©tait surprenant, mais trĂšs divertissant. Il y avait bien sĂ»r pour Drew' l'aspect grivois de la chose, mais connaissant Derek, il imaginait qu'il avait rien de pervers dans sa proposition. Ooh ! J'ai peur ! » s'amusa l'infirmier Ă  son tour, en levant les yeux au ciel avec ironie. Il Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  le chahuter, mais aussi Ă  dĂ©dramatiser cette situation. Et crois moi, tu voudrais pas connaĂźtre ça » Andrew sourit simplement. Je vais tout faire pour pas te dĂ©cevoir. » L'Ă©motion montait dans sa gorge, il Ă©tait temps de se dire Ă  plus tard. Drew' s'approcha, l'envie de ses bras ou d'un baiser, revenant Ă  la surface naturellement, mais arrivant Ă  se contrĂŽler, le garçon fit un signe de la main et tourna des talons. L'infirmier fit quelques pas en avant vers le mĂ©tro, sans se retourner, plongeant les mains dans ses poches. Lui, Ă  qui ont avait rien offert, ou presque. Lui, qui avait toujours du se dĂ©brouiller tout seul. Lui, qui avait du mener de front sa vie, et celle de son frĂšre, devenant un Homme bien avant les autres. C'Ă©tait dur de demander de l'aider, et de voir que le reporter avait acceptĂ© sans rien ajouter. Cela l'avait touchĂ© au plus profond de lui mĂȘme. Il ne l'avait mĂȘme pas remerciĂ©, peut-ĂȘtre lui offrir quelque chose ? Des places pour un match ? Des places pour un concert ? En tout cas, il devait faire quelque chose, sa raison lui en donnait l'ordreIl tourna sur lui avec intensitĂ©, et se mit Ă  courir vers Derek qui Ă©tait quelques mĂštres plus loin. Le garçon arriva par derriĂšre et posa une main sur son Ă©paule. Derek ?! » mais alors qu'il pensait qu'un cadeau pourrait donner le change, il se rappela que son compte en banque Ă©tait dans le rouge. Pardon...Mais je voulais te dire que cela me touche beaucoup, ce que tu fais pour moi. » Il avança prĂ©cipitamment son doigt vers la bouche du grand brun sans porter le poser. Je sais...Tu vas me dire que c'est normal. Mais non, c'est loin d'ĂȘtre normal pour moi qui est dĂ» toujours compter que sur moi. Je vais pas te raconter ma vie...mais je voulais juste te remercier. » Qu'est-ce qu'il pouvait bien lui offrir ? Un peu dĂ©sespĂ©rĂ©, Sully' arriva Ă  en fouiller dans ses poches. Non ! Un paquet de chewing-gum Ă  la cerise entamĂ©, cela ne devrait pas faire l'affaire....Un bon gratuit pour un sandwich dans un fast-food, non plus...Puis, tirant sur sa manche, son regard croisa son bracelet indien Ă  son poignet droit, un porte-bonheur. Il avait toute histoire ce bracelet, qui avait appartenu Ă  sa mĂšre, puis Ă  son frĂšre, et maintenant il le portait depuis plus d'un an. Je voulais t'offrir quelque chose pour te remercier, mais j'ai pas grand chose. Donc je voudrais que tu acceptes ceci, et c'est pas nĂ©gociable. » C'Ă©tait un bracelet torsadĂ©, avec des perles vertes et noires, il Ă©tait usĂ© montrant qu'il avait vĂ©cu plusieurs vies, le fermoir en tissu Ă©tait effilĂ©. Andrew le retira de son poignet, et le posa sur le poignet de Derek sans vraiment lui demander son avis. L'Ă©motion Ă©tait si palpable sur son visage, qu'il prĂ©fĂ©rait baisser les yeux. C'est ce que ma mĂšre Ă  offert Ă  mon frĂšre, Chris, avant de partir. Il a veillĂ© sur lui et il ne l'a jamais quittĂ©. Quand je suis partit, mon frĂšre a voulu absolument me l'offrir, pensant que cela me protĂšgerait Ă  mon tour. » Andrew termina de l'attacher, et fit deux pas en arriĂšre, prĂȘt littĂ©ralement Ă  s'enfuir pour ne pas laisser le temps Ă  son ami d'ajouter quelque chose. Je te l'offre Ă  mon tour, pour qu'il veille sur toi et qu'il te protĂšge. Il est un peu vieux, et un peu usĂ©, mais tu verras c'est un porte-bonheur efficace... » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Jeu 16 DĂ©c - 2311 Oui je vais passer chez moi rĂ©cupĂ©rer quelques trucs et prĂ©venir ma colo, puis je reviens dĂšs que possible. » dit Derek, voulant passer chez lui chercher quelques trucs dont il aura besoin les prochains jours, se contantant naturellement du strique nĂ©cessaire, car il ne voulait pas encombrer l’appartement du jeune homme. Donc les habits, il pourrait aller les rechanger dans deux ou trois jours, pour ne pas trop emmener d’un coup avec lui. Prends ton temps, et fait attention sur la route. Tiens, c'est la clĂ© de mon garage ! L'entrĂ©e est juste devant mon immeuble. » Derek lui prit la clef en le remerciant. C’est clair que le garage c’était un plus. Il n’aurait pas trouvĂ© le sommeil mĂȘme avec les somnifĂšres en sachant que son petit bĂ©bĂ© Ă©tait lĂ  dehors pendant toute la nuit sans protection. Je pense que j’y serais dans une petite heure environ. Tu ne fais pas de bĂȘtises, jusque lĂ , promis ? » reprit-il alors pour lui dire environ quand il sera lĂ . Peut ĂȘtre un peu plus d’une heure, tout dĂ©pendait du trafic, mais il doutait qu’il y en ait beaucoup une fois en dehors de la ville. Derek vit l’infirmier sortir son tĂ©lĂ©phone portable et il se demandait s’il y avait eut des appels Ă  nouveau
 mais bon, tant qu’Andrew n’y rĂ©ponde pas, c’était le plus important. Promis ! » Si t'en fais, je serais obligĂ© de te punir » le mit il en garde. Et oui, il saurait prendre son job secondaire trĂšs au sĂ©rieux. S’il le fallait il viendrait mĂȘme chercher Andrew aprĂšs le boulot si c’était pour Ă©viter toute tentation. Ooh ! J'ai peur ! » Ha ha
 L’infirmier plaisantait mais pourtant Derek Ă©tait bien sĂ©rieux, lui. Et crois moi, tu voudrais pas connaĂźtre ça » Je vais tout faire pour pas te dĂ©cevoir. » Bien, parfait. Sage dĂ©cision. » sourit-il alors. Ainsi il n’aurait pas Ă  rĂ©flĂ©chir sur comment punir le jeune homme, ce qui Ă©tait pas si mal. Le reporter lui fit un petit sourire puis hocha de la tĂȘte quand Andrew s’en alla de son cĂŽtĂ©. Derek inspira doucement puis rebroussa chemin pour redescendre la rue et aller vers le parking. Bien
 quelle dĂ©cision quand mĂȘme. Mais il ne la regrettait pas maintenant et il espĂ©rer ne pas la regretter plus tard en tout cas. Pourtant il avait la conviction que tout aller bien se passer. Peut ĂȘtre mĂȘme qu’Andrew n’aurait plus de nouvelle de l’enfoirĂ© qui ne voulait que l’utiliser. Il Ă©tait idiot
 il pensait ça et pourtant il avait fait de mĂȘme ce midi. Certes, une proportion bien moindre, mais il Ă©tait aussi un enfoirĂ© de l’avoir utilisĂ© pour ce baiser. Juste pour savoir
 Il l’avait embrassĂ© sans mĂȘme lui demander son avis avant. Il aurait dĂ», c’est clair. Mais il savait que s’il n’aurait pas fait de suite, qu’il n’aurait pas osĂ© par aprĂšs. En tout cas il s’était promit de ne plus embĂȘter Andrew avec tout ça. Allant traverser la route, le journaliste s’arrĂȘta quand il sentit une main sur son Ă©paule. Derek ?! » Le dit Derek se retourna pour se retrouver Ă  nouveau nez Ă  nez avec Andrew. Tient
 il y avait un truc lĂ . Pardon...Mais je voulais te dire que cela me touche beaucoup, ce que tu fais pour moi. » Derek s’apprĂȘta Ă  lui dire que c’était tout Ă  fait normal d’aider un ami, mais le doigt qui se leva de l’infirmer le fit taire. Je sais...Tu vas me dire que c'est normal. Mais non, c'est loin d'ĂȘtre normal pour moi qui est dĂ» toujours compter que sur moi. Je vais pas te raconter ma vie...mais je voulais juste te remercier. » Il sourit, touchĂ© par le jeune homme. En tout cas, il Ă©tait heureux de pouvoir l’aider en retour maintenant. AprĂšs tout Andrew avait Ă©tĂ© lĂ  pour l’écouter quand il avait eut besoin de parler. Mais c’est bon y a pas de soucis », dit-il alors, regardant l’infirmier enfouir ses mains dans ses poches. Mais que faisait-il ? Il ne demandait absolument rien en retour, au contraire, le fait de venir chez lui pendant quelques jours aiderait Ă  ce qu’ils se connaissent mieux. AprĂšs tout en un mois, ils ne s’étaient vu que trois fois. Je voulais t'offrir quelque chose pour te remercier, mais j'ai pas grand chose. Donc je voudrais que tu acceptes ceci, et c'est pas nĂ©gociable. » Bon quand mĂȘme, il avait son mot Ă  dire, non ? Derek hocha de la tĂȘte. J’ai besoin de rien Andrew ! Le fait de t’aider m’est dĂ©jĂ  suffisant. », dit-il alors, le voyant retirer un bracelet de son poignet. Et pourtant
 son poignet fut rapidement emprisonnĂ© par son voisin et Derek n’osa pas Ă  retirer son bras de peur de briser le bracelet dans ce geste. C'est ce que ma mĂšre Ă  offert Ă  mon frĂšre, Chris, avant de partir. Il a veillĂ© sur lui et il ne l'a jamais quittĂ©. Quand je suis partit, mon frĂšre a voulu absolument me l'offrir, pensant que cela me protĂšgerait Ă  mon tour. » Derek le regarda faire et une Ă©motion bien plus grave s’installa en lui. Comment Andrew pouvait il lui donner un prĂ©sent aussi important ? Je te l'offre Ă  mon tour, pour qu'il veille sur toi et qu'il te protĂšge. Il est un peu vieux, et un peu usĂ©, mais tu verras c'est un porte-bonheur efficace... » Le reporter fit deux pas en avant pour rĂ©duire l’espace entre eux et lui tendit son poignet, ne trouvant pas la situation bien amusante. Si ça aurait Ă©tĂ© un bracelet achetĂ© n’importe oĂč par Andrew lui-mĂȘme, il aurait Ă©tĂ© possible que Derek accepte. Mais là
 un bracelet venant de la mĂšre de celui-ci
 ArrĂȘte ça Andrew ! Je ne peux et ne veux l’accepter. Il vient de ta mĂšre, alors reprend le ! » MĂȘme si l’intention Ă©tait vraiment touchante, il ne comprenait pas pourquoi Andrew faisait ça. Ce bracelet devait rester dans la famille et non revenir Ă  un quasi Ă©trange. Reprend le ! », rĂ©pĂ©ta-t-il avec plus d’insistance. De plus ce bracelet devait ĂȘtre vraiment important, vu l’émotion qui s’était laissĂ© entendre dans la voix de l’infirmier. Je n'ai pas besoin que tu m'offre quelque chose. » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 17 DĂ©c - 1341 Andrew Ă©tait revenu sur ses pas, se sentant coupable d'imposer des chose Ă  une personne qu'il aimait, mais qui ne voulait que de son amitiĂ©. Mais qu'est ce qu'il espĂ©rait vraiment ? Les miracles, comme ceux des fĂȘtes de noĂ«l, n'existent que dans les films. Il Ă©tait clair que l'infirmier allait devoir travailler sur son affliction, pour ne pas finir par souffrir. Car, pour l'instant la soirĂ©e Ă©tait belle, les bras de Derek avaient Ă©tĂ© encore lĂ  pour le soutenir. Mais ils ne seront pas toujours prĂ©sent, et mĂȘme si c'est tout ce qu'il lui avait manquĂ©, et tout ce qu'il avait besoin pour survivre dans ce monde cruel. Il allait devoir s'en passer. L'amitiĂ© c'est bien...Il paraĂźt que cela dur plus longtemps que l'amour, qui finit toujours pas se faner. Bah ! C'est que Sullivan avait entendu... Il n'avait pas assez d'argent pour lui offrir une chose futile que le journaliste aurait pu poser sur son Ă©tagĂšre, et puis l'oublier. Pourtant, en retrouvant le reporter dans la rue avant qu'il ne traverse, l'infirmier avait ce sentiment qu'il devait absolument contre-balancer cet acte complĂ©tement dĂ©sintĂ©ressĂ©. Alors, il le remercia d'abord, car cette phrase Ă©tait si simple et ne coĂ»tait rien. Mais c’est bon y a pas de soucis » La rĂ©action de Morrison Ă©tait exactement ce qu'il pensait se voir confronter. Sa gentillesse Ă©tait touchante, mais pour le futur mĂ©decin qui n'avait pas l'habitude des prĂ©sents, il devait absolument trouver quelque chose Ă  lui offrir en Ă©change. Car, il Ă©tait important de donner dans une juste mesure, ni trop, ni pas assez, cherchant dans ses poches, le garçon pensa Ă  son porte-bonheur Ă  son poignet. Je voulais t'offrir quelque chose pour te remercier, mais j'ai pas grand chose. Donc je voudrais que tu acceptes ceci, et c'est pas nĂ©gociable. » L'objet en lui mĂȘme n'Ă©tait pas important pour l'infirmier, non, Ă©tant scientifique, il avait un peu de mal Ă  croire au monde paranormal, Ă  la magie ou la chance. Pour lui, la seule chance qui existe, c'est celle que l'on crĂ©e chaque jour en continuant de vivre intensĂ©ment chaque jour. Ce qui Ă©tait important par contre, c'Ă©tait la maniĂšre dont le bracelet Ă©tait passĂ© de main en main. Sa mĂšre, mĂȘme si elle avait quittĂ© le foyer pour refaire sa vie avec un riche banquier prĂ©fĂ©rant laissĂ© derriĂšre, son fils handicapĂ© et son ancien Ă©poux alcoolique, elle avait offert cet objet avec amour Ă  Chris. Son frĂšre, il y a an, avant qu'il vienne Ă  son tour rejoindre un centre Ă  Sydney, avait offert ce porte-bonheur car il tenait Ă  Andrew. Son jeune frĂšre voulait qu'il se rappelle de lui, qu'il pense Ă  lui, et que d'une certaine maniĂšre cet objet veille et le protĂšge. C'est dans cette optique de transaction que l'infirmier offrit de bon cƓur ce bracelet indien. Peut-ĂȘtre pour que Derek ne l'oublie pas... J’ai besoin de rien Andrew ! Le fait de t’aider m’est dĂ©jĂ  suffisant. » Pourtant, le garçon Ă©tait dĂ©jĂ  entrain de retirer l'objet de son poignet pour le poser au poignet de son camarade. C'est ce que ma mĂšre Ă  offert Ă  mon frĂšre, Chris, avant de partir. Il a veillĂ© sur lui et il ne l'a jamais quittĂ©. Quand je suis partit, mon frĂšre a voulu absolument me l'offrir {
} mais tu verras c'est un porte-bonheur efficace... » On dit que le rejet est la pire des souffrances, et l'infirmier en sentit toute la froideur, en voyant les rĂ©actions de son ami. Il le laissa se rapprocher et lui tendre son poignet refusant en bloc son cadeau. ArrĂȘte ça Andrew ! Je ne peux et ne veux l’accepter. Il vient de ta mĂšre, alors reprend le ! » Le reprendre ? Alors, il ne voulait rien de lui ? Andrew resta bloquĂ© sur cette phrase, ne sachant que dire devant un rejet aussi affirmĂ©. Il se sentit comme Megamind dans le film du mĂȘme titre, qu'ils venaient de voir. Le reporter ne voudrait surement jamais de ses sentiments amoureux, et ne voulait mĂȘme pas d'un cadeau offert de bon cƓur. C'Ă©tait peut-ĂȘtre trop... Reprend le ! » Non ! Il n'allait pas encore pleurer ? Cela allait devenir ridicule ! Baissant la tĂȘte, le regard vide, il ravala sa peine, il tendit les main pour retirer le bracelet. Ce geste n'ayant aucune consĂ©quence sur Derek, mais sur le nĂ©o-zĂ©landais, ce fut un vrai coup de poignard. Je n'ai pas besoin que tu m'offre quelque chose. » Oui, il n'avait rien besoin de lui, c'Ă©tait une certitude. Derek mĂšnerait sa vie, trouverait l'amour. Comment avait-il pu penser qu'il puisse faire partit de cette vie ? Il Ă©tait temps d'affronter la vĂ©ritĂ©, et d'avancer. Le bracelet dans la main, il referma son poing, vit un signe de tĂȘte pour s'excuser de son dĂ©rangement, et le laissa s'Ă©loigner. Mais juste avant de partir, il lui rappela qu'il habitait au troisiĂšme Ă©tage, l'appartement sur la gauche. Dans sa marche, du mĂ©tro jusqu'Ă  son appartement, il se rĂ©pĂ©ta un millions de fois cette phrase Non, tu ne pleuras pas ! Non, tu ne pleuras pas... » *************L'appartement de Sullivan, Ă©tait en forme de, L. La porte d'entrĂ©e donnait sur un large couloir, encombrĂ© sur les cĂŽtĂ©s par des chaussures de sport, un vĂ©lo, des roller et autres objets. Cela n'empĂȘchait en rien de pouvoir entrer. A la fin de couloir, il avait le salon du jeune garçon. Dans cette espace, sur la droite on trouvait un bureau avec un ordinateur portable, des Ă©tagĂšres avec surtout des ouvrages mĂ©dicaux. Puis sur la gauche, on tombait rapidement sur une cuisine amĂ©ricaine, oĂč les tabourets et le plan de travail se transformaient lors des repas comme table Ă  manger. Enfin, Ă  cĂŽtĂ© de la cuisine on tombait nez Ă  nez avec la salle de bain trĂšs vĂ©tuste, au point qu'il n'y avait mĂȘme pas de porte, et si on continuait on tombait sur l'unique chambre avec son grand lit, mais aussi son en rentrant, avait besoin de se laver la tĂȘte, et il jeta nonchalamment le bracelet sur son bureau. Non, le porter maintenant, c'Ă©tait hors de question, mais il n'Ă©tait pas prĂȘt pour le jeter encore, son frĂšre le tuerait. Il ouvrit le frigo, ayant une petite faim finalement. Le paquet de pop-corn, il l'avait vidĂ© dans le mĂ©tro. L'infirmier sortit un gros plat de Lasagnes qu'il avait fait la vielle. Faire Ă  manger pendant vingt-ans pour trois, avait fait de lui un cuisinier hors paire. Mais mĂȘme sa cuisine et un grand verre de lait ne calma pas sa peine. Il laissa son plat et alla se changer dans sa temps passait tranquillement, et il dĂ©cida de faire du sport, dĂ©jĂ  pour brĂ»ler tout ce qu'il avait pu faire comme excĂšs mais essayer de comprendre comment il allait faire pour oublier ses sentiments pour Derek. Torse nu, en jogging tombant, il commença des exercices au sol; des abdos, du levĂ© de poids, des tractions...Son corps ruisselait, son cƓur s'accĂ©lĂ©rait, et ses muscles se contractaient dans l'effort mais rien n'y faisait. 120, 121, 122...rĂ©flĂ©chissait-il Ă  voix haute en effectuant des pompes. On frappa Ă  la porte, il leva la tĂȘte pour regarder son ordinateur, il allait ĂȘtre bientĂŽt 23h30. Cela devait ĂȘtre Derek. Le sportif fit un bon pour se remettre sur ses deux pieds, et remonta son jogging alors qu'on pouvait dĂ©couvrir sa toison intime. PrĂ©voyant, il regarda dans l'Ɠil de bƓuf, et reconnaissant son camarade, il lui ouvrit. Tout collant et suant qu'il Ă©tait, l'infirmier l'invita Ă  entrer sans le saluer. Je t'en prie, entre ! Je vais te faire un tour rapide... » dit-il, encore essoufflĂ© par l'effort. En parfait hĂŽte, il lui montra son appartement dans sa globalitĂ©, de son salon en passant par la salle de bain, et en terminant par la chambre. L'infirmier lui montra un placard vide oĂč il pouvait poser son sac s'il le souhaitait. VoilĂ  ! Tu as des questions ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 17 DĂ©c - 2047 Derek ne pouvait pas comprendre comment on pouvait se sĂ©parer d’un objet familial. Surtout qu’il avait Ă©tĂ© Ă  la mĂšre du jeune homme qui Ă©tait partie
 alors c’était un souvenir qui devait tout simplement rester Ă  eux, Ă  Andrew et Ă  son frĂšre. C’était impossible qu’il accepte un prĂ©sent aussi important. Reprend le ! » dit-il alors pour que l’infirmier le reprenne. Il aurait pu accepter bien des choses, des petits cadeaux, mais mĂȘme ainsi, il n’en avait pas besoin. Pas pour ĂȘtre remerciĂ© de quelque chose qu’il faisait de bon cƓur. Surtout là
 du coup ça l’a vraiment surpris et le fait de savoir de qui venait Ă  l’origine ce bracelet
 Bah non, il ne pouvait pas c’est tout. Andrew finit alors par le lui retirer et le reporter en fut soulagĂ©. Je n'ai pas besoin que tu m'offre quelque chose. », dit-il plus doucement. Il ne voulait pas qu’Andrew le prenne mal, mais aujourd’hui il avait bien pu voir les rĂ©actions du jeune homme et il vit bien que ça n’allait pas. Andrew ne lui dit rien, ne faisant qu’un signe de tĂȘte. Derek s’en voulu du coup
 mais ils en reparleraient aprĂšs, une fois chez l’infirmier. A plus tard Andrew
 » Derek aurait bien pu s’en gifler une. Lui qui voulait Ă©viter de faire de la peine Ă  l’infirmier
 Bravo, c’était bien rĂ©ussit ! Marchant Ă  reculons pendant quelques pas pour continuer Ă  voir le jeune homme, il finit tout de mĂȘme par se retourner et poursuivre son chemin. Il ralentit un peu en entendant Ă  nouveau la voix d’Andrew
 mais ce ne fut que pour lui dire quel Ă©tage il habitait. Acquiesçant de la tĂȘte, Derek traversa au final la rue pour aller vers le parking. *************Derek repassa Ă  nouveau dans sa chambre pour saisir ses somnifĂšres sur la table de nuit et lança la boite dans son sac Ă  dos. Bon
 il avait prit le nĂ©cessaire de la salle de bain, des habits pour les deux prochains jours et son ordinateur portable pour bosser le soir. Car d’accord rester chez Andrew, mais celui-ci allait rester de nuit Ă  l’hĂŽpital, il en profiterait pour bosser un peu. Le jeune homme ferma son sac Ă  dos, qui Ă©tait bien entassĂ© et pesait un peu, puis le passa sur le dos et alla dans le salon pour saisit un bloc note et y prĂ©venir de son absence pour que Sookie le lise. Il le plaça Ă  cĂŽtĂ© du frigo pour ĂȘtre sĂ»r qu’elle ne le rate pas. Revenant vers le canapĂ©, il s’y pencha pour caresser Moustache qui se mit Ă  ronronner. Ah son compagnon de soirĂ©e
 les choses changent toujours de toute façon. Il vĂ©rifia encore vite qu’il n’ait rien oubliĂ© d’important, puis s’avança vers la porte pour Ă©teindre la lumiĂšre et quitter l’appartement, verrouillant derriĂšre lui. *************Le reporter venait de garer sa moto dans le garage de l’immeuble grĂące Ă  la clef qu’Andrew lui avait donnĂ©. Entrant par la suite au bĂątiment, il monta les escaliers jusqu’au troisiĂšme Ă©tage et jeta un coup d’Ɠil aux deux seules portes pour retrouver celle de son camarade. Il prit son sac en main, Ă©vitant ainsi d’avoir un poids inutiles sur les Ă©paules. Il vit alors Andrew lui ouvrit et faire signe d’entrer, ce que fit donc le journaliste. Je t'en prie, entre ! Je vais te faire un tour rapide... » Derek resta silencieux, observant le jeune homme qui venait trĂšs clairement de faire du sport. Mais ce ne fut pas spĂ©cialement ce qui le frappa en premier. Juste le fait que tout Ă  coup, il lui semblait ĂȘtre reculĂ© encore plus loin qu’à leur premiĂšre rencontre. Derek le suivit, sans pour autant faire vraiment attention Ă  l’appartement. Peu importe comment c’était, il n’allait pas changer d’avis maintenant. Donc ce fut plutĂŽt le jeune homme qu’il ne quitta pas des yeux un seul instant. VoilĂ  ! Tu as des questions ? » Derek dĂ©posa son sac dans le placard pour le moment, remettant Ă  plus tard. Oui j’en ai bien une
 » dit-il en en posant son avant bras contre le placard pour s’y tenir. Pourquoi t’es si distant maintenant ? », demanda-t-il simplement. Il n’avait aucune animositĂ© dans sa voix, mais il voulait juste savoir le fond de la pensĂ©e du jeune homme. Il n’avait pas envie de passer toute une semaine avec ce gouffre entre eux tout Ă  coup. D’un cĂŽtĂ©, peut ĂȘtre ce n’était qu’une question de temps, le temps de laisser Andrew outrepasser ce qui venait d’arriver. S’il y a un truc qui va pas, je prĂ©fĂšre qu’on se le dise » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Sam 18 DĂ©c - 154 Je t'en prie, entre ! Je vais te faire un tour rapide... » lança Andrew plus distant qu'Ă  son habitude. Non, qu'il lui en voulait d'avoir refusĂ© son cadeau, mais juste que ce geste lui avait soulignĂ©, que l'infirmier n'avait aucune chance de faire accepter ses sentiments amoureux. Il rĂ©flĂ©chissait, depuis son retour Ă  son appartement, Ă  la maniĂšre de pouvoir oublier ses sentiments, car Sullivan allait finir par souffrir. Si refuser un bracelet pouvait lui donner l'impression d'une lame brĂ»lante qui lui percerait la poitrine...Qu'est ce que serait le jour oĂč dans un moment de panique, Drew' rĂ©vĂ©lait aimer son camarade ?Le garçon lui fit le tour de son appartement, remarquant bien que le journaliste Ă©tait arrĂȘtĂ© sur son comportement assez distant. Il n'Ă©tait pas froid ou cassant, car il savait que Derek Ă©tait lĂ  pour lui, et uniquement pour lui. Mais, sa gentillesse n'Ă©tait pas le problĂšme, ce qui posait soucis c'Ă©tait ce sentiment grandissant chez l'infirmier. Non, il ne voulait pas perdre son amitiĂ©, alors comment faire ? Cette distance Ă©tait sa seule solution pour l'instant, jusqu'Ă  qu'il trouve quelque chose. Ils arrivĂšrent dans la chambre du futur mĂ©decin, une chambre carrĂ© avec un grand lit, assez ancien avec ses vieux ressorts. La couverture Ă©tait simple, de couleur noire, avec des oreillers de la mĂȘme couleur. Au dessus du lit, il avait dans deux cadres, des poster collector rĂ©tro de Wall-E, qu'il avait trouvĂ© dans une brocante. Comme il aimait beaucoup ce film, le garçon avait complĂ©tement craquĂ©. VoilĂ  ! Tu as des questions ? » demanda qui posa son sac, semblait en avoir une. L'infirmier leva la tĂȘte en se grattant le torse, se notant Ă  lui mĂȘme qu'une douche Ă©tait maintenant primordial. C'Ă©tait loin d'ĂȘtre agrĂ©able pour sa personne de se sentir tout collant et suant. Mais pour le grand brun, voir une personne empestant la sueur, pouvait tout Ă  fait le faire reculer. Ils allaient normalement devoir partager son petit appartement, et il se devait d'ĂȘtre irrĂ©prochable. Oui j’en ai bien une
 » ajouta Derek en posant son bras sur l'Ă©tagĂšre. Andrew, en mouvement, passa sa tĂȘte sous le bras de son camarade et s'arrĂȘta dans l'embrasure de la porte, bien dĂ©cidĂ© Ă  cet instant Ă  prendre une douche. Oui ? » Pourquoi t’es si distant maintenant ? », l'infirmier s'arrĂȘta. Il Ă©tait aussi transparent que cela ? Le reporter semblait avoir lu Ă  travers lui comme dans un livre. Cela le troubla, et il essaya de cacher sa gĂȘne en se grattant le tĂ©ton. Il fit un nouveau pas dans la chambre et s'approcha du grand brun, en Ă©poussetant le coin du lit. Moi ? » Bien sĂ»r, qu'il y avait une raison pour cette maniĂšre d'ĂȘtre aussi distant. Mais, il ne pouvait lui dire lui vĂ©ritĂ©. Lui, qui se prĂ©valait d'ĂȘtre toujours honnĂȘte. Pour une fois, et pour l'avenir de leur relation, Sully' devait se taire. S’il y a un truc qui va pas, je prĂ©fĂšre qu’on se le dise », le garçon Ă  cĂŽtĂ© de lui leva les yeux au plafond. Puis il croisa les bras, gonflant sur le coup ses pectoraux, Drew' regarda Derek. Qu'est ce qu'il devait faire ? Il voulait tout comme le journaliste, que cette semaine se passe bien. Écoute, je pense que je dois ĂȘtre Ă  fleur de peau. Cela ira mieux aprĂšs une bonne nuit de sommeil. » ce qui n'Ă©tait pas faux, et tout en remontant son jogging qui avait la fĂącheuse manie de redescendre. Cela m'a juste chamboulĂ© que tu refuses mon cadeau. Mais je veux pas qu'on se fĂąche. Je tiens Ă  toi et je voulais juste te le montrer. » Les paroles qui Ă©taient sortit tout naturellement choqua le futur mĂ©decin qui fut soudainement gĂȘner. Ne venait-il pas de dire Ă  demi mot qu'il aimait Derek ? Non ! Le reporter le prendrait comme une marque d'amitiĂ©, il n'avait pas Ă  s'en il sourit lĂ©gĂšrement gĂȘnĂ©, et chercha vite une excuse pour prendra la fuite. Dur dans un appartement aussi petit que le sien. C'est pas tout cela, mais il faut que je prenne une douche. » Le garçon disparu plus vite que le bip-bip, et termina dans la salle de bain. Au moins lĂ , son camarade ne devrait pas le suivre, comme il n'y avait pas de porte, s'il venait Ă  entrer il pourrait assister Ă  un strip-tease intĂ©gral. Andrew fit glissĂ© son jogging, se retrouvant les fesses Ă  l'air et sauta dans sa minuscule douche. Non, il n'y avait mĂȘme pas de rideau, donc si Derek avait quelque chose Ă  dire, il allait devoir attendre. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 19 DĂ©c - 122 Pourquoi t’es si distant maintenant ? », venait tout justement de demander Derek. Vraiment il espĂ©rait que ce n’était pas Ă  cause du bracelet, mĂȘme s’il ne voyait que ça. Mais Andrew devait tout de mĂȘme aussi se douter qu’il ne pouvait pas accepter cela. En tout cas le jeune homme vit tout de suite que l’infirmier fut gĂȘnĂ© par la question. Moi ? » Bah oui, lui. AprĂšs tout il n’y avait qu’Andrew dans la piĂšce avec lui. Donc le reporter acquiesça de la tĂȘte. S’il y a un truc qui va pas, je prĂ©fĂšre qu’on se le dise » Mais il savait qu’il y avait parfois des sujet pas forcĂ©ment Ă©vident. Pourtant lĂ  il voulait surtout qu’Andrew s’explique si c’était vraiment liĂ© au bracelet. Derek posa sa main de libre sur sa taille, sans quitter le jeune homme des yeux, qui lui bomba son torse bien saillant. Écoute, je pense que je dois ĂȘtre Ă  fleur de peau. Cela ira mieux aprĂšs une bonne nuit de sommeil. » Bon
 d’accord, il allait donc voir comment Andrew allait rĂ©agir demain soir, vu que pendant la journĂ©e ils allaient tout deux ĂȘtre occupĂ© au boulot
 et encore, faudrait qu’Andrew ne reste pas pendant la nuit lĂ  bas
 Cela m'a juste chamboulĂ© que tu refuses mon cadeau. Mais je veux pas qu'on se fĂąche. Je tiens Ă  toi et je voulais juste te le montrer. » Le journaliste lĂącha un lĂ©ger souffle, baissa les yeux deux secondes au sol puis porta son regard Ă  nouveau sur l’infirmier. Mais je le sais que tu tiens Ă  moi, tout comme je tiens Ă  toi aussi, sinon je ne serais sĂ»rement pas ici Ă  l’heure actuelle. Mais tu n’as pas besoin de te sĂ©parer d’un souvenir de ta mĂšre pour me le prouver. », rĂ©pondit-il en voyant Andrew encore agitĂ©. C'est pas tout cela, mais il faut que je prenne une douche. » Derek le suivit deux pas mais s’arrĂȘta devant la salle de bain. Bien
 » lĂącha-t-il alors. Et
 son regard se posa sur l’encadrement dans le mur qui
 Ă©tait sans porte. Hein
 Pourquoi y avait pas de porte pour la salle de bain ? Du coup, il eut une lĂ©gĂšre grimace en dĂ©couvrant ce dĂ©tail. Bon
 il verrait ça plus tard. Le journaliste retourna au salon, laissant son regard aller dans la piĂšce, tout en entendant l’eau de la douche couler. Comme le lui avait dit Andrew, l’appartement Ă©tait assez petit. Naturellement pour une personne ceci pouvait dĂ©jĂ  ĂȘtre suffisant. Derek passa dans la cuisine et alla se trouver un verre qu’il finit par remplir avec de l’eau. Il en bu une gorgĂ©e, restant contre la table de travail Ă  prendre ses aises dans les lieux. AprĂšs deux minutes, il rempli Ă  nouveau le verre et retourna dans la chambre, en prenant bien soin de ne surtout pas regarder dans la salle de bain. Allant dĂ©poser le verre sur la table de nuit, il regarda un moment le lit, se demandant oĂč il aller rester
 mais vu qu’Andrew venait de remettre ce cĂŽtĂ© du lit en ordre, surement que Derek allait occuper le cĂŽtĂ© opposĂ©. Reprenant son verre, il alla donc faire le tour du lit pour le redĂ©poser ailleurs. Il alla ensuite vers son sac Ă  dos pour l’ouvrir et sortir sa boĂźte. L’ouvrant, il laissa tomber un cachet dans sa paume puis regarda son paquet. Et merde » Il en avait plus qu’un
 et il n’allait pas tout de suite pouvoir en redemander. Il soupira en fermant le paquet , sachant qu'il allait devoir se procurer du doxylamine et le lança Ă  nouveau dans son sac, puis alla dĂ©poser le cachet prĂšs du verre pour le prendre avant d’aller dormir. Derek retira son manteau pour le dĂ©poser au pied du lit puis dĂ©boutonna sa chemise en se dirigeant Ă  nouveau vers son sac Ă  dos. Retirant la chemise, il la lança sur le lit et passa sa main sur sa taille droite, vĂ©rifiant un peu
 et comme il s’en doutait, une ecchymose Ă©tait dĂ©jĂ  visible sur place. Il prit ensuite un t-shirt de son sac pour l’enfiler rapidement. Un t-shirt un peu plus large, qui lui irait bien pour passer les nuits. Il Ă©tait plutĂŽt habituĂ© Ă  dormir torse nu et en caleçon, mais lĂ , il Ă©tait tout Ă  fait clair pour lui de garder un t-shirt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 19 DĂ©c - 1411 Andrew avait Ă©tĂ© distant, non pour punir Derek, mais uniquement car il savait plus comment gĂ©rer ses sentiments, de peur d'ĂȘtre Ă  nouveau rejetĂ©, comme il l'avait Ă©tĂ© avec ce bracelet. Et, encore une fois, le journaliste avait lu Ă  travers lui comme dans un livre, remarquant sa gĂȘne, comme sa distance. Bizarrement, cela le rassura de le voir aussi prĂ©venant, et il dĂ©cida de baisser ce mur entre eux, au moins pour ce soir se considĂ©rant peut ĂȘtre Trop Ă  fleur de peau, pour vraiment rĂ©flĂ©chir. Cela m'a juste chamboulĂ© que tu refuses mon cadeau. Mais je veux pas qu'on se fĂąche. Je tiens Ă  toi et je voulais juste te le montrer. » Il avait aussi la question que pour l'homme qu'il Ă©tait, chaque acte mĂ©rite salaire, mĂȘme si c'Ă©tait par amitiĂ©, et complĂ©tement dĂ©sintĂ©ressĂ©. Andrew serait trĂšs tĂȘtu sur ce dernier point, il ne lĂącherait pas l'affaire, avant de pouvoir offrir quelque chose en Ă©change de cette gentillesse qui l'avait touchĂ© au plus profond de lui. Mais je le sais que tu tiens Ă  moi, tout comme je tiens Ă  toi aussi, sinon je ne serais sĂ»rement pas ici Ă  l’heure actuelle. Mais tu n’as pas besoin de te sĂ©parer d’un souvenir de ta mĂšre pour me le prouver. », rĂ©pondit Derek. Tout comme ? Il en doutait mais cela faisait du bien Ă  entendre, en tout cas cette conversation serait reportĂ© tout Ă  l'heure, car il avait besoin de faire quelque chose. C'est pas tout cela, mais il faut que je prenne une douche. », lança t-il en quittant la piĂšce prĂ©cipitamment pour se jeter dans la salle de bain. Le garçon son bas de pantalon et posa un pieds dans la douche quand la voix du grand brun lui fit tourner la tĂȘte. Bien... » Surprit, Drew' faillit s'Ă©crouler. Il n'allait pas rentrer quand mĂȘme ? Non, fausse alerte, il alluma la douche et fit courir l'eau chaude et brĂ»lante sur ses muscles endolories. Le petit coup de fouet fit son effet, et ses problĂšmes se dĂ©robĂšrent dans la bouche d'Ă©vacuation. AprĂšs tout peu importe qu'il puisse avoir mal, il avait souffert presque toute sa vie. Non, qu'il soit vraiment Ă  plaindre, des gens souffraient bien plus que lui. Mais entre le rejet et dĂ©part de sa mĂšre, l'attitude de son pĂšre et son poing facile Ă  tomber sur Chris, puis sa maniĂšre de l'enfermer pour qu'il ne soit pas vu. La maladie incomprise par son entourage de son frĂšre, et enfin le cas Braddley dĂ©jĂ  bien Ă©voquĂ©. La venue de Morrison dans sa vie Ă©tait peut ĂȘtre la plus belle chose jusqu'Ă  prĂ©sent, et il n'allait pas tout envoyer balader pour un stupide cadeau. Les cheveux en arriĂšre, secouant lĂ©gĂšrement la tĂȘte alors que l'eau s'engouffrait dans sa bouche et jaillissait sur son torse oĂč un gel douche faisait dĂ©jĂ  son office. Une mousse s'Ă©paississait sur son torse saillant, oĂč des effluves aux saveurs chocolat et d'AcĂ©rola montaient Ă  ses narines. Drew' frotta ensuite Ă©nergiquement chaque partie de son corps, n'oubliant aucune zone, mĂȘme celle la plus intime. L'infirmier arrĂȘta l'eau, pour sortir de la douche, le temps des caresses Ă©taient terminĂ©s. Il sĂ©cha ses cheveux rapidement, enfila une serviette autour de sa taille et se rendit le plus naturellement vers sa chambre. AprĂšs tout, il Ă©tait chez lui ?Derek venait d'enfiler un long tee-shirt, cela allait peut-ĂȘtre poser problĂšme qu'il garde ses sous vĂȘtements dans son armoire ? Et, puis peu importe, le garçon allait faire comme Ă  la plage. Il ouvrit son placard en regardant Derek d'un cĂŽtĂ© du lit. Il remarqua aussitĂŽt le verre d'eau, et le cachet. Ca va ? Si tu as besoin de quelque chose, tu n'hĂ©sites pas ? Un deuxiĂšme oreiller ? Quelque chose pour dormir ? Je te rappelle que je suis infirmier. » dit-il en plongeant une main dans le haut de son placard. Un sous-vĂȘtements Abercrombie, tout de blanc dans la main. Il se baissa pour commencer Ă  passer une premiĂšre jambe, tout en voulant reprendre leur dernier sujet de conversation avant sa douche. Donc, pour revenir Ă  ce qu'on disait, je comprends ce que tu me dis Ă  propos du souvenir de ma mĂšre. Mais il faut que tu comprennes que c'est important pour moi de te faire quelque chose pour toi. Comme je t'ai dit, on a jamais fait quelque chose pour moi jusqu'Ă  prĂ©sent... » Il continua son Ă©trange acrobatie, en lĂąchant sa serviette, et posant ses deux mains sur son sous-vĂȘtements pour enfiler la deuxiĂšme jambe. Je pourrais te faire ton check-up sur ta moto ? Tu n'as pas une piĂšce Ă  peindre chez toi ? Je peux te faire du bricolage ? » dit-il sentant sa serviette se dĂ©faire. Non ! S'il perdait sa serviette maintenant, Derek allait croire qu'il l'avait fait exprĂšs. Le garçon essaya de remonter rapidement son caleçon avant que la serviette ne tombe Ă  terre. Trop tard, il se retrouva nu comme un ver....Bon, il ne savait pas vraiment ce qu'avait vu le journaliste. AprĂšs, tout il avait peut-ĂȘtre dĂ©tournĂ© la tĂȘte. Drew' claqua l'Ă©lastique autour de sa taille et s'approcha de son cĂŽtĂ© du lit pour sauter sous les couvertures. Non, il n'avait pas honte du tout ! Non, il n'Ă©tait pas rouge comme une tomate ! Quelques secondes pour oublier ce moment, et l'infirmier sortit la tĂȘte hors des draps pour se tourner vers son camarade. VoilĂ , tu me diras ce que je peux faire pour toi, et je te prĂ©viens je lĂącherais pas l'affaire » dit-il en s'installant plus confortablement sur son oreiller, couchĂ© sur le cĂŽtĂ© ne pouvant se dĂ©faire de Derek. Il souriait tout simplement, sa main sous sa nuque, ce petit regard plus Ă©tincelant que jamais, car il Ă©tait avec celui qu'il rĂȘvait d'ĂȘtre. Il allait dormir avec lui, c'Ă©tait tellement beau, qu'il pouvait y croire. Je peux te faire ta compta, Je peux essayer de draguer une vieille voisine aigrie si tu veux qu'elle te lache la grappe ? Et sinon, j'ai fait deux mois de stage chez un kinĂ©, je pourrais te masser ? », Andrew ne s'arrĂȘtait pas, et il avait encore pleins de propositions. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 19 DĂ©c - 1653 Derek venait justement de lĂącher son t-shirt, qu’il tourna la tĂȘte pour voir Andrew entrer dans la chambre. Ca va ? Si tu as besoin de quelque chose, tu n'hĂ©sites pas ? Un deuxiĂšme oreiller ? Quelque chose pour dormir ? Je te rappelle que je suis infirmier. » Il hocha nĂ©gativement de la tĂȘte, mĂȘme si c’était gentil de la part du jeune homme d’ĂȘtre aussi prĂ©venant. Non ne t’en fais pas, j’ai besoin de rien » Il n’était pas difficile aprĂšs tout. Tant qu’il avait un lit et une couverture ça lui allait. Le coussin n’était pas obligatoire, car ça lui arrivait de s’énerver et de le balancer plus loin, donc il n’avait surement pas besoin d’un deuxiĂšme du coup. Donc, pour revenir Ă  ce qu'on disait, je comprends ce que tu me dis Ă  propos du souvenir de ma mĂšre. Mais il faut que tu comprennes que c'est important pour moi de te faire quelque chose pour toi. Comme je t'ai dit, on a jamais fait quelque chose pour moi jusqu'Ă  prĂ©sent... » Derek acquiesça de la tĂȘte, car ça il le comprenait bien qu’Andrew veuille faire quelque chose pour lui. Il dĂ©tourna la tĂȘte, s’avançant vers la fenĂȘtre pour regarder au dehors, et laisser le jeune homme se changer tranquillement. D’accord, mais
 tu m’as dĂ©jĂ  aider en Ă©tant lĂ  pour m’écouter, et maintenant je t’aide
 Donc c’est dĂ©jĂ  Ă©quitable », rĂ©pondit-il, son regard toujours vers l’extĂ©rieure. Vraiment il n’avait pas besoin qu’on fasse quelque chose pour lui seulement pour l’en remercier d’une autre. MĂȘme, il savait qu’Andrew pourrait l’aider une fois qu’il en aurait besoin, donc pour ça il ne se faisait pas de soucis. Je pourrais te faire ton check-up sur ta moto ? Tu n'as pas une piĂšce Ă  peindre chez toi ? Je peux te faire du bricolage ? » Le journaliste sourit amusĂ©, tout en suivant une ombre dans la rue. Laisser quelqu’un toucher Ă  sa moto
 mouais, bon Ă  part qu’il soit avec pour vĂ©rifier que tout allait bien, il n’aimerait pas trop, mĂȘme s’il doutait qu’Andrew puisse faire quelque chose qu’il ne saurait pas faire. Il entendit alors du bruit derriĂšre lui et tourna la tĂȘte vers Andrew qui Ă©tait vraisemblablement sous le drap. Oui de toute il Ă©tait quasi minuit et ils fallait certainement qu’ils se lĂšvent tout deux tĂŽt pour aller bosser. Derek s’avança en un pas vers le lit et vit la tĂȘte de son ami sortir de sous les couvertures. VoilĂ , tu me diras ce que je peux faire pour toi, et je te prĂ©viens je lĂącherais pas l'affaire » lui dit-il dĂ©jĂ  bien allongĂ© dans son lit. Derek sourit et acquiesça de la tĂȘte. Si j’ai besoin de ton aide pour quelque chose, promis, je te prĂ©viendrais. » Ahlala
 quand mĂȘme. Derek s’assit sur le bord du lit, Ă©tant de dos au jeune homme et se dĂ©fit de ses chaussures et des chaussettes, les laissant dans le coin. Je peux te faire ta compta, Je peux essayer de draguer une vieille voisine aigrie si tu veux qu'elle te lache la grappe ? Et sinon, j'ai fait deux mois de stage chez un kinĂ©, je pourrais te masser ? » Le reporter sourit amusĂ©, voyant que l’infirmier ne lĂąchait toujours pas l’affaire. Oui oui, on verra ça plus tard », dit-il le sourire aux lĂšvres et se releva pour dĂ©faire les boutons de son pantalon et le laissa glisser vers le bas. Il sortit ses pieds de lĂ  puis se baissa pour ramasser l’habit et sa chemise sur le lit par la suite. Tu te lĂšve a quelle heure le matin ? », demanda-t-il alors. C’était toujours mieux de savoir pour ne pas forcĂ©ment ĂȘtre surpris. Il dĂ©posa ses affaires prĂšs de son sac Ă  dos revint vers le lit pour saisir son manteau et en sortit son iPhone pour le dĂ©poser sur la table de nuit et alla Ă©galement ranger le manteau. Si tu finis aprĂšs 18h, hĂ©site pas Ă  me prĂ©venir, je pourrais venir te chercher Ă  l’hĂŽpital. », le prĂ©vint Derek. En temps normal, il pouvait partir du boulot mĂȘme Ă  17h, mais il aimait rester sur place un peu, souvent Ă©tant parfois un des derniers ou le dernier Ă  partir. De toute, ainsi il pouvait se prendre le temps d’aller le chercher et ĂȘtre lĂ  Ă  l’heure si Andrew finissait vers les 18h. Derek s’assit Ă  nouveau sur le bord du lit et saisit son cachet qu’il mit en bouche et prit son verre pour boire quelques gorgĂ©es d’eau. RedĂ©posant le verre d’eau, le reporter se mit Ă  son tour en dessus des couvertures, lĂąchant un petit sourire. C’était toujours agrĂ©able de retrouver le lit aprĂšs une bonne journĂ©e. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 19 DĂ©c - 2036 D’accord, mais
 tu m’as dĂ©jĂ  aider en Ă©tant lĂ  pour m’écouter, et maintenant je t’aide
 Donc c’est dĂ©jĂ  Ă©quitable »C'est ce qu'annonça Derek, alors qu'Andrew dĂ©cidait, lui, d'enfiler quelque chose. Car simplement vĂȘtu de sa serviette de bain autour de sa taille, il n'allait quand mĂȘme pas dormir tout nu, dĂ©jĂ  que ce n'Ă©tait pas Ă  son habitude, et avec Derek cela pourrait poser problĂšmes. S'il devait vivre pour un temps ensemble dans un mĂȘme endroit, il se devait de le respecter. Cela ne l'empĂȘchait pas d'ĂȘtre pas entiĂšrement d'accord avec son camarade. Peut-ĂȘtre, mais pour moi, nous sommes pas encore Ă©quitable. Je te dirais quand cela sera le cas. »Andrew continua de proposer des choses, tout en enfilant avec difficultĂ© un sous-vĂȘtement, heureusement Derek Ă©tait de dos, Ă  regarder par la fenĂȘtre. Le problĂšme de sa serviette qui tomba ne fut donc pas un problĂšme, et finir dans le lit pour cacher sa gĂȘne soudaine qui ne fut mĂȘme pas remarquĂ© heureusement. Andrew aurait pu dormir en tee-shirt et caleçon mais se connaissant, c'Ă©tait un coup Ă  qu'il passe la nuit Ă  suer pour rien. Il n'avait donc pas envie d'empester les draps, ou de dĂ©ranger le grand brun. VoilĂ , tu me diras ce que je peux faire pour toi, et je te prĂ©viens je lĂącherais pas l'affaire » dit-il en s'installant plus confortablement. Si j’ai besoin de ton aide pour quelque chose, promis, je te prĂ©viendrais. » Andrew sourit, mais il n'aimait pas ce genre de rĂ©ponse, commençant Ă  connaĂźtre son compĂšre, il serait du genre Ă  ne pas vouloir l'embĂȘter avec des futur problĂšmes. Il regarda Derek s'installer sur le bord du lit pour dĂ©faire ses chaussures et le reste. Le garçon lorgna son dos puissant. Une main sur celui-ci, serait clairement une limite Ă  ne pas enfreindre ! Il secoua ses idĂ©es et reprit de plus belle Je peux te faire ta compta, Je peux essayer de draguer une vieille voisine aigrie si tu veux qu'elle te lĂąche la grappe ? Et sinon, j'ai fait deux mois de stage chez un kinĂ©, je pourrais te masser ? » L'infirmier tapota son oreiller, et s'installa sur le cĂŽtĂ©, en posant une main sous sa nuque. Oui oui, on verra ça plus tard » lui annonça Derek. Andrew continua de profiter du spectacle mĂȘme s'il ne voyait rien, ce qu'il pouvait supposer c'est qu'il enlevait son pantalon Ă  la façon qu'avait le grand brun de se tortiller sur le lit. Dans sa tĂȘte, il eut le petit frisson de se dire qu'il avait droit Ă  son petit strip-tease privĂ©. Oui, oui tout Ă©tait dans son esprit, mais c'Ă©tait cela qui Ă©tait le plus beau. Car il pouvait imaginer ce qu'il voulait, que cela soit les jambes fortes de Morrison, ses genoux sportifs – Tient !? Est-ce qu'il Ă©tait poilu ? Ou lĂ©gĂšrement imberbe ? - Tient, le journaliste se levait pour poser ses affaires. Son oeil un peu coquin, pouvait remonter et s'arrĂȘter sur son caleçon, large ou moulant ? Blanc ou noir ? Sourire en essayant de percevoir ce qu'il pouvait se cacher Ă  l'intĂ©rieur, comme un cadeau de noĂ«l qu'on voudrait ouvrir avant l'heure. Il fallait qu'il secoue Ă  nouveau ses idĂ©es, c'Ă©tait quoi ses pensĂ©es coquines ? Tu te lĂšve a quelle heure le matin ? », demanda Derek. C'Ă©tait parfois, pour reprendre ses idĂ©es, Drew' se mit Ă  Ă©claircir sa voix en toussant. Vers les 7h et toi ? Sauf si on m'appelle dans la nuit... », ajouta t-il avant de se lever prĂ©cipitamment. Ah oui ! Son portable ! Il quitta la chambre pour revenir quelques secondes aprĂšs, pour dĂ©poser son iphone de son cĂŽtĂ© du lit. Sully' allait s'apprĂȘter Ă  se remettre sous les couvertures quand son camarade lui posa une question. Si tu finis aprĂšs 18h, hĂ©site pas Ă  me prĂ©venir, je pourrais venir te chercher Ă  l’hĂŽpital. »L'infirmier se gratta la tĂȘte, les horaires dans son travail Ă©tait trĂšs alĂ©atoire, il pouvait tout Ă  fait commencer demain Ă  4h du matin s'il avait une urgence, et faire 48 heures de garde si on avait besoin de lui. C'Ă©tait trĂšs difficile Ă  dire, et Ă  prĂ©voir. Il essaya quand mĂȘme de donner une rĂ©ponse assez claire. Écoute, je sais pas ce que sera ma journĂ©e. Ce qui est embĂȘtant c'est que demain je peux tout Ă  finir Ă  3h du matin, comme Ă  20h. Je t'appellerais demain dans la journĂ©e, ok ? » demanda t-il en souriant. Il prĂ©fĂ©rait faire ainsi, pour pas embĂȘter Derek. Et, mĂȘme s'il prĂ©fĂ©rait se serrer derriĂšre lui, accrocher Ă  sa moto. Il prendrait le mĂ©tro demain, il le dĂ©rangeait dĂ©jĂ  assez comme cela. Il profita que Derek prenne place pour avaler son cachet, pour tourner autour du lit, et tirer les rideaux devant les fenĂȘtres. Il monta ensuite sur le lit, de son cĂŽtĂ© et profita pour rentrer dans les couvertures Ă  nouveau. Le garçon se pencha de son cĂŽtĂ© pour Ă©teindre la lampe de chevet qui Ă©clairait la chambre. La nuit s'engouffra dans la piĂšce, les lumiĂšres de la rue s'arrĂȘtant contre les rideaux pourpres. Bonne nuit, Derek... »Andrew toussa, ils devaient dormir maintenant ? Il se mit sur le dos, soufflant lentement. Comment pouvait-il trouver le sommeil alors que l'homme qu'il dĂ©sirait le plus Ă©tait prĂšs de lui. C'Ă©tait une torture horrible, car il savait qu'aux moindres gestes dĂ©placĂ©s, Derek serait dĂ©jĂ  dehors. L'infirmier ferma les yeux, en regroupant ses bras sur son torse. Le sommeil ne venait pas pourtant, il se retourna, puis se mit sur le cĂŽtĂ© deux minutes aprĂšs. Il essayait tant bien que mal de trouver une position, comme un chat qui tournerait et se retournerait pour trouver sa place. Derek ? Je peux te poser une question ? »L'infirmier souffla tout l'air dans ses poumons, et se tourna du cĂŽtĂ© de son camarade. DĂ©s, qu'il fermait les yeux, il revoyait ce baiser qu'il avait Ă©changĂ© avec le grand brun. Sully' se mit en position foetale, s'avançant sans pourtant empiĂ©ter sur l'espace du journaliste. Le garçon ne voulait pas lui donner l'impression qu'il voulait tenter quelque chose, pourtant une question maintenant tournait dans sa tĂȘte. Il devait avoir une rĂ©ponse, sinon il sentait qu'il ne pourrait trouver le sommeil. Le nĂ©o-zĂ©landais s'accrocha Ă  son coussin pour se donner un peu de force. Bon, je me lance...Pourquoi tu m'as embrassĂ© ce midi ? Je veux dire, pourquoi moi ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 19 DĂ©c - 2322 Tu te lĂšve a quelle heure le matin ? », demanda Derek pour savoir vers quand il devrait mettre son alarme sur son iPhone. Surtout qu’en temps normal il se lĂšve Ă  six heures du matin, voulant naturellement prendre le temps de bien se rĂ©veiller. Mais lĂ  vu qu’il Ă©tait bien plus prĂȘt du boulot, il n’aurait pas forcĂ©ment besoin de se rĂ©veiller deux heures en avance. Surtout qu’il ne lui faudrait qu’un quart d’heure pour aller au boulot plus ou moins. Vers les 7h et toi ? Sauf si on m'appelle dans la nuit... » Hum mais oui, ĂȘtre infirmier, c’était aussi avoir des horaires bien variĂ©. Derek acquiesça de la tĂȘte alors, tout en changeant l’horaire de son alarme. Vers 7h ça va parfaitement. » Le reporter observa Andrew quitter le lit pour sortir de la chambre. Si tu finis aprĂšs 18h, hĂ©site pas Ă  me prĂ©venir, je pourrais venir te chercher Ă  l’hĂŽpital. », lui proposa Derek, une fois que l’infirmier Ă©tait revenu dans la chambre. Écoute, je sais pas ce que sera ma journĂ©e. Ce qui est embĂȘtant c'est que demain je peux tout Ă  finir Ă  3h du matin, comme Ă  20h. Je t'appellerais demain dans la journĂ©e, ok ? » D’accord pas de problĂšme Andrew. Mais ça ne me dĂ©range pas de venir te chercher s’il est encore tĂŽt. » Donc voila
 vu qu’il ne risquait pas de rentrer tout de suite aprĂšs le boulot, il pouvait bien l’attendre si nĂ©cessaire. Puis ainsi, le jeune homme n’aurait pas Ă  prendre le mĂ©tro et serait ici plus rapidement. Derek s’assit sur le lit et avala son cachet, supposant qu’ils allaient dormir maintenant. Reposant son verre sur la table de nuit, le jeune homme se mit sous les couvertures, laissant Ă  Andrew le soin de tirer les rideaux pour empĂȘcher les lueurs de l’extĂ©rieure de les dĂ©ranger. Ayant dĂ©jĂ  fermĂ© les yeux, il sentit l’infirmier se mettre Ă  nouveau au lit et vit que la lumiĂšre fut Ă©teinte Ă  son tour. Bonne nuit, Derek... » Bonne nuit
 », murmura-t-il doucement en levant sa main gauche pour se frotter doucement son Ɠil et de la laisser du coup devant son visage, tournĂ© Ă  l’opposĂ© d’Andrew. Son avant bras droit, il le laissa reposer sur son ventre, restant allongĂ© sur le dos. Le journaliste entendit un peu l’agitation d’Andrew Ă  cĂŽtĂ© de lui, mais ne s’en faisait pas trop, surtout que grĂące Ă  son puissant somnifĂšre, le sommeil arrivait dĂ©jĂ  peu Ă  peu aprĂšs cet un quart d’heure de passĂ©. Derek ? Je peux te poser une question ? »Etant dans un mi-sommeil, Derek rĂ©alisait plus ou moins la question posĂ© par son ami. Il eut un lĂ©ger mouvement de tĂȘte, mais ne changea pas pour autant de place, son visage retombant doucement contre sa main. Humhumm
 » laissa-t-il sortir dans un lĂ©ger murmure sans s’en rendre compte. Peut ĂȘtre que s’il aurait entendu tout de suite la suite qu’il se serait rĂ©veillĂ© pour rĂ©pondre, mais du coup, MorphĂ©e vint tout de mĂȘme l’accueillir dans ses bras pour une autre nuit dĂ©pourvu de rĂȘve. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 20 DĂ©c - 1407 Bonne nuit, Derek... » Bonne nuit
 » Les lumiĂšres Ă©taient Ă©teints et en fermant les yeux, il sentit ses muscles se dĂ©tendre. Sentant, se petit fourmillement dans ses jambes, le garçon commença Ă  rĂȘver, et les premiĂšres choses qui vinrent Ă  son esprit, furent les alĂ©as de cette journĂ©e. Mais surtout, ce baiser avec le journaliste, celui qu'il n'avait pas commandĂ©, ni demandĂ©. C'Ă©tait fou comme la mĂ©moire pouvait jouer des tours. A chaque fois qu'il se retournait dans son grand lit, un flash puissant des lĂšvres de Derek revint lui entaillait le cerveau. Derek ? Je peux te poser une question ? »MĂȘme s'il faisait nuit dans cette chambre, les yeux de l'infirmier s'habituĂšrent Ă  l'obscuritĂ©. Il ne pouvait voir avec prĂ©cision son camarade, mais il pouvait voir qu'il Ă©tait sur le dos, il dĂ©celait sa tĂȘte et son bras sur son torse. Le garçon se tourna donc vers lui, le corps sur le cĂŽtĂ©, et une main sur sa nuque pour la soutenir. Il devait savoir, pourquoi il l'avait embrassĂ© ? Il devait le savoir pour trouver le sommeil, sinon il passerait une nuit trĂšs difficile. Pour qu'il puisse penser Ă  autre chose, et arrĂȘter d'imaginer des choses. Des choses comme; qu'il lui plaisait peut ĂȘtre ? Qu'il avait peut ĂȘtre un fond de sentiment amoureux ? Bon, je me lance...Pourquoi tu m'as embrassĂ© ce midi ? Je veux dire, pourquoi moi ? » Mais comme seule rĂ©ponse, il vit la tĂȘte de Derek retomber doucement contre sa main avec ce doux Humhumm
 » L'infirmier aurait pu rire Ă  ce moment, rire de sa dĂ©tresse, rire de ce destin tout Ă  fait curieux. Celui qui avait fait l'embrasser, mais qui avait aussi plongĂ© Derek dans les bras de MorphĂ©e. Andrew fit un rapprochement, posant sa tĂȘte prĂȘt de la tĂȘte du journaliste, tout ce qu'il voyait dans cette obscuritĂ© c'Ă©tait le nez de celui-ci. Dormait-il vraiment ? Oui, ce que le jeune homme avait prit avec son verre d'eau devait ĂȘtre un somnifĂšre puissant. Tant mieux...Car une envie soudaine traversa son esprit. Andrew voulait l'embrasser, lui rendre ce baiser, ou simplement l'embrasser pour savoir s'il allait ressentir les mĂȘmes sentiments. Mais prendre ses lĂšvres, c'Ă©tait un vol, et mĂȘme si c'Ă©tait un ancien Chasseur, il restait sur l'idĂ©e que s'il devait un jour Ă  nouveau donner un baiser Ă  Derek, cela serait quand il serait conscient, qu'il soit d'accord ou non. Alors, il posa simplement une main sur la joue de son camarade. Il caressa sa joue du bout de son pouce. Fais de beaux rĂȘves Derek...J'espĂšre que j'aurais un jour la force de dire que je t'aime... » , termina t-il par dire en s'approchant et dĂ©posant un baiser brĂ»lant sur le front du reporter. Il se leva ensuite dĂ©licatement pour sortir hors du lit. L'infirmier se rendit dans son salon et s'installa devant son ordinateur. Sully' devait trouver le sommeil, et pour cela, il dĂ©cida de regarder quelques films d'animations, des sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©s, et diffĂ©rentes choses sur internet. Ce cirque dura plusieurs heures, et quand ses yeux commencĂšrent Ă  se fermer, Ă©puiser littĂ©ralement, et qu'il ne pouvait lutter contre la fatigue. Le garçon retourna dans le lit avec dĂ©licatesse, faisant attention de ne pas dĂ©ranger son invitĂ©. Il se cala de l'autre cĂŽtĂ©, tournant le dos Ă  Derek, s'enfouissant dans les draps complĂ©tement, le corps et la tĂȘte. Dans la chaleur de ses couvertures, il ferma les yeux, et la nuit recouvrit ses rĂȘves. Comme Ă  son habitude, il ne rĂȘva pas, juste un trou noir, qui se remplissait de lumiĂšres et d' vers les trois heures et demi, que le futur mĂ©decin ouvrit les yeux Ă  nouveau, son tĂ©lĂ©phone vibrait sur sa table basse. Le corps toujours sous les draps, il tendit la main machinalement, mais il n'arriva pas Ă  atteindre la commode. Quelque chose Ă©tait diffĂ©rent ? Son oreiller semblait plus dur, le matelas Ă©trangement plus chaleureux. Relevant la tĂȘte, il dĂ©couvrit bientĂŽt avec stupeur qu'il Ă©tait couchĂ© sur le torse de Derek, une jambe posĂ©e sur les siennes, et son bras droit entourant le journaliste. Depuis combien de temps dormait-il comme cela ? Drew' gĂȘnĂ©, se souleva dĂ©licatement et reprit place de l'autre cĂŽtĂ© du lit, avant de se lever et de fuir cette chambre avec son portable dans les mains. Une fois dans son salon, il dĂ©crocha, ressentant encore la chaleur et l'odeur de Morrison qui couvrait son corps, comme son esprit. Allo ? » , dit-il Ă  voix basse. Sullivan ? Nous avons un carambolage sur la route 66, proche de Crown Street. Il faut que tu sois lĂ  dans une heure. Ordre du grand patron ! » , demanda une voix fĂ©minine. Bien sĂ»r ! J'arrive tout de suite. » La jeune femme Ă  l'autre bout du fil raccrocha. Le garçon s'approcha de sa salle de bain, mais pensa que s'il prenait une douche, il risquait de rĂ©veiller Derek. Pour des vĂȘtements propres, c'Ă©tait le mĂȘme problĂšme. Il s'habilla donc avec des vĂȘtements sales qu'il avait oubliĂ© dans sa salle de bain. Il se laverait Ă  l'hĂŽpital, et s'habillerait avec des affaires qu'il avait laissĂ© dans son casier. Mais avant de partir, Sully' voulait faire quelque chose. C'Ă©tait peut ĂȘtre idiot mais il voulait offrir un petit dĂ©jeuner quand Derek se lĂšverait. Une fois dans la cuisine, il prĂ©para assez rapidement une pĂąte Ă  pancake avec ce qu'il avait dans son frigo. Une poĂȘle en main, il fit sauter une dizaine de pancake, qu'il fit juste dorĂ© avant de les servir dans un grand plat. L'infirmier nettoya sa cuisine aprĂšs avoir terminĂ© ce petit dĂ©jeuner improvisĂ©, et il programma la cafetiĂšre pour les 7h du matin. Puis le garçon enfila ses chaussures, et prĂ©para son sac avec toutes ses affaires pour la journĂ©e. VoilĂ  ! Il Ă©tait prĂȘt Ă  avant de claquer la porte, il attrapa un post-it et se mit Ă  Ă©crire Bonjour le dormeur ! J'espĂšre que je t'ai pas trop dĂ©rangĂ© cette nuit ? Je dois aller au travail, je t'ai fait le petit dĂ©jeuner, en espĂ©rant que tu aimes les pancakes ; Je t'appellerais dans la journĂ©e. Bises, beau gosse. Puis il le colla sur la cafetiĂšre, en se notant qu'il allait essayer d'envoyer un sms vers les 7 heures pour savoir si tout allait bien. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 20 DĂ©c - 1542 Derek se rĂ©veilla, laissant un lĂ©ger grognement sortir d’entre ses lĂšvres en entendant son iPhone sonner. Il tendit son bras, tĂątant la table de nuit pour le trouver, mais ne toucha rien. Il ouvrit donc les yeux lĂ©gĂšrement, relevant sa tĂȘte du coussin et
 Ah oui. C’est vrai, il Ă©tait chez Andrew et
 et Andrew Ă©tait oĂč ? Il se retrouva seul dans le lit
 mais les questions aprĂšs, son tĂ©lĂ©phone ne cessait de sonner. Se retournant sur le dos, il tendit son bras vers l’autre table de nuit oĂč il l’avait laissĂ©. Refermant les yeux, il porta le tĂ©lĂ©phone Ă  son oreille. Oui
 ? », demanda-t-il, retenant un bĂąillement qui aurait pu lui dĂ©crocher la mĂąchoire. Derek ! RĂ©veille toi, allez, il faut que tu viennes au journal, il y a du boulot aujourd’hui ! » Derek passa sa main sur ses yeux et se redressa alors. Jess
 ? Pourquoi tu me tĂ©lĂ©phone si tĂŽt ? Il est quelle heure ? » Oh vraiment ?! Gros nounours ! Il est 6h10, je pensais que t’étais dĂ©jĂ  rĂ©veillĂ© Ă  cette heure ci ? » Je le suis
 normalement. Enfin
 ouais, je vais venir tout de suite », lui dit-il mĂȘme s’il ne savait pas encore pourquoi. D’accord, car il faut qu’on finisse d’autres trucs plus vite. T’as un match de boxe ce soir. » Derek cilla des yeux pour se rĂ©veiller et passa sa main derriĂšre son dos pour se gratter un peu. Quoi ? Attend lĂ , je fais pas la section sport moi
 C’est Fred qui s’en occupe. » Je sais, mais Fred est malade et coincĂ© au lit, donc t’y va a sa place, c’est le patron qui m’a dit. C’est Ă  20h le match et dĂšs que c’est finit, tu dois Ă©crire l’article et me l’envoyer pour que je le lui montre et le mettre en impression. » Ouais, ouais, ok, bon on se voit aprĂšs, laisse moi le temps de me prĂ©parer. » Ok, tu veux que je vienne passer te prendre ? » , demanda-t-elle. Non... ça ira, je suis pas chez moi de toute façon. » , rĂ©pondit-il en levant sa main sur sa tĂȘte. Ah... bon ok... a plus tard. » Le journaliste l’entendit raccrocher et soupira en se laissant tomber Ă  nouveau sur le coussin. Il se tourna sur le cĂŽtĂ©, serrant le coussin dans ses bras, contre lui. Cette odeur
 il aurait pu se rendormir si bien maintenant. Pourtant, il se redressa, comme prit d’un Ă©lectrochoc et quitta rapidement ce lit et alla s’engouffrer dans la salle de bain pour sauter dans la douche et se rĂ©veiller avec une eau bien froide. Restant une dizaine de minutes sous l’eau, Derek en ressortit, saisissant une serviette pour se sĂ©cher. Il se demandait quand Andrew avait bien pu partir
 Mais bon, il lui Ă©crirait plus tard pour avoir de ses nouvelles. Prenant son t-shirt et son caleçon qui avaient Ă©tĂ© laissĂ© nĂ©gligemment par terre, le jeune homme retourna dans la chambre pour s’habiller. Il en profita pour ranger un peu dans le coin de l’armoire qu’Andrew lui avait laissĂ© et de retirer son ordinateur portable de son sac. Prenant son manteau, il y rangea son tĂ©lĂ©phone et s’approcha de la cuisine. L’odeur le frappa tout de suite et il eut un petit sourire en voyant quelques pancakes de fait. Il s’approcha alors de la cafetiĂšre, y voyant une note collĂ© dessus et la prit en main. Citation Bonjour le dormeur ! J'espĂšre que je t'ai pas trop dĂ©rangĂ© cette nuit ? Je dois aller au travail, je t'ai fait le petit dĂ©jeuner, en espĂ©rant que tu aimes les pancakes ; Je t'appellerais dans la journĂ©e. Bises, beau gosse. Derek sourit, et au lieu de jeter le mot dans la poubelle, il l’enfouit dans sa poche puis actionna la cafetiĂšre. Il avait comme habitude de prendre toujours un petit dĂ©jeuner dans un cafĂ© prĂȘt du journal et de manger Ă  son bureau, mais avec cette dĂ©licate attention, il allait se prendre le temps de manger ici. S’installant sur la chaise, il prit un pancake pour croquer dedans, le temps que la tasse se remplisse de cafĂ©. Un match de boxe
 mouais, il n’avait jamais Ă©tĂ© spĂ©cialement intĂ©ressĂ© par ce sport, mais bon, il Ă©tait journaliste et allait faire son boulot, tout en essayant de garder un Ɠil critique. Faudrait juste qu’il se prenne un peu de temps pour rĂ©viser les noms de quelques frappes et ne pas faire d’erreur. Derek se releva pour aller chercher sa tasse de cafĂ© et Ă©teignit la cafetiĂšre pour revenir Ă  sa place et se prendre quelques minutes pour profiter de ce petit dĂ©jeuner fait par Andrew. Ainsi donc quelques minutes plus tard, ayant finit son cafĂ©, mais pas mangĂ© tout les pancakes, qui Ă©taient tout de mĂȘme nombreux et bien trop pour lui, Derek rangea un peu la table avant de reprendre son manteau et de quitter l’appartement de son camarade, verrouillant derriĂšre lui. Donc en avant pour une nouvelle journĂ©e. Il passerait au journal vĂ©rifier un peu ce qu’il y avait Ă  faire puis irait a la station de police pour prendre des nouvelles de l’affaire d’enlĂšvement du petit garçon. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 20 DĂ©c - 2159 Comme convenue Andrew, profita d'une pause vers les sept heures pour s'isoler dans la salle des internes. Il ralluma son iphone, car avec tout les appareils aux urgences, il Ă©tait interdit d'avoir un tĂ©lĂ©phone allumĂ©. Le garçon pianota tout joyeusement sur son clavier, malgrĂ© les heures passĂ©s Ă  essayer de sauver des vies. C'est que penser Ă  Derek, lui procurait un grand sentiment de joie. Il termina son message et l'envoya. Citation Chalut, Cha va ? J'espĂšre que tu as bien dormi, et que tu as trouvĂ© mon petit mot ? D'aprĂšs ce que j'ai vu de mon planning, je termine Ă  20h ce soir. Mais je rentrerais de mon cĂŽtĂ©, si cela ne te dĂ©range pas ? Je t'ai prĂ©vu une surprise. HĂ©hĂ© ! Non, je ne dirais rien Andrew rangea son iphone dans sa veste, et repartit au travail. Dans sa tĂȘte, cette surprise, il l'avait eu il y a quelques heures en soignant un patient, aprĂšs un autre. L'infirmier avait dĂ©cidĂ© de faire un repas au journaliste. Non, pas une part de pizza rĂ©chauffĂ©, un vrai dĂźner avec une entrĂ©e, un plat, un dessert. Toujours dans l'optique, qu'il pourrait un jour avouer ses sentiments Ă  son ami, il pensait que l'adage, que la sĂ©duction passe par l'estomac pouvait tout Ă  fait opĂ©rer chez le grand brun. Bien sĂ»r c'Ă©tait sans savoir que Morrison ne serait pas libre ce soir, et qu'il aurait un match Ă  couvrir. La journĂ©e passait assez rapidement, et la pause dĂ©jeuner arriva Ă  grand pas, un moment propice pour souffler et oublier un peu les horreurs de la matinĂ©e. Le garçon avala son plateau repas assez fade, mais la nourriture Ă  l'hĂŽpital n'est pas reconnu pour ĂȘtre un dĂ©lice. Il faut dire que dans son esprit, l'infirmier Ă©tait dĂ©jĂ  dans l'Ă©laboration de son futur repas pour ce soir. Comme il l'avait promis, il profita d'un moment sur le canapĂ© dans la salle de repos pour appeler son ami. Derek ? Je te dĂ©range peut-ĂȘtre ? Je vais ĂȘtre rapidement t'inquiĂšte pas. » La vie de journaliste devait ne pas ĂȘtre de tout repos, et il ne voulait pas le dĂ©ranger en plein travail, pourtant le ton de sa voix Ă©tait guillerette et enjouĂ©e. Tu travailles ce soir, dis moi ? ». En posant la question, il savait trĂšs bien que le reporter pouvait ĂȘtre emmener Ă  travailler ce soir. Il Ă©couta calmement sa rĂ©ponse, et leva les yeux au plafond pour savoir comment il allait pouvoir faire. Écoute, ma porte reste ouverte, je vais te laisser ma clĂ© sous mon paillasson. Et, si je suis encore dĂ©bout, tu auras droit Ă  ma surprise. Allez bon courage pour ta journĂ©e, je t'embrasse. »Il raccrocha et continua le reste de son aprĂšs-midi Ă  faire son travail. Ce fut pas une mauvaise journĂ©e, quand les dix-neuf heures approchĂšrent, pas de mort, pas d'accident, et il aida mĂȘme pour un accouchement. C'Ă©tait ses petits moments de bonheur, d'entendre les premiers cris d'un enfant qui lui faisait aimer son mĂ©tier. Andrew quitta donc son poste plutĂŽt heureux, et dirigea vers la centre ville de Sydney pour faire quelques courses. Il avait dĂ©jĂ  prĂ©vu dans sa tĂȘte ce qu'il allait faire Ă  son heure plus tard, il Ă©tait chez lui, les mains dans les petits plats, d'abord il allait prĂ©parer l'entrĂ©e. Ne connaissant pas trop les goĂ»ts de Derek, il opta pour quelque chose de plutĂŽt simple, en tout cas pour lui; des bouchĂ©s farcis Ă  la viande. Sully' les prĂ©para assez rapidement, les roula dans la farine et les fit dorĂ©es au four. Mais il arrĂȘta dix minutes avant la fin de la cuisson, pour les faire rĂ©chauffer uniquement quand son invitĂ© serait lĂ . Andrew fit une petite pause, et regarda dehors, il pleuvait Ă  torrent, le garçon ne put s'empĂȘcher d'avoir une petite pensĂ©e pour Derek, en espĂ©rant qu'il allait faire attention sur la route avec sa moto. Il Ă©tait temps de prĂ©parer son plat principal, un magret de canard aux petits oignons et ses pommes de terres sautĂ©es. Sully' suivit la recette Ă  la lettre, et se retrouva bientĂŽt devant son canard qui mijotait calmement quand on frappa Ă  la porte. Il regarda prĂ©cipitamment sa montre; ving-deux heure dix huit. Un sourire s'installa sur son visage, cela devait ĂȘtre Morrison ! L'infirmier se hĂąta, le torchon encore dans les mains pour aller ouvrir sa porte. Salut, Andrew ! Tu difficiles Ă  joindre toi ! » lança Braddley en personne. Il se tenait les mains sur les hanches, complĂ©tement trempĂ© de la tĂȘte au pieds. Son ancien amant profita de la surprise, pour entrer dans l'appartement sans y ĂȘtre inviter. Andrew retrouvant ses esprits, ferma violemment la porte avant de se tourner vers son ex meilleur ami. Tu fais quoi ici ? Tu as eu comment mon adresse ? » Ton pĂšre ! Il me l'a trĂšs gentiment donnĂ©... », ajouta Braddley qui s'Ă©broua dans le salon du jeune homme. Le cƓur du futur mĂ©decin commença Ă  s'agiter dans sa poitrine, alors qu'il ne voulait qu'une chose, lui crier de sortir de chez lui. C'Ă©tait Ă©trange de revoir le charmant minois de son ex-amant, qui ressemblait Ă©trangement Ă  cet acteur de sĂ©rie-tĂ©lĂ©visĂ©e. L'Ă©tranger essora son tee-shirt sans la moindre complaisance pour le tapis en dessous de ses pieds. Tu n'aurais pas une serviette pour moi ? Car je suppose que tu vas pas me faire un cĂąlin ? » demanda Braddley. Sully' pesta, mais se dirigea quand mĂȘme vers sa salle de bain, pour offrir de quoi se sĂ©cher. Un allez-retour, avec une serviette Ă©ponge dans les mains, il chercha l'Ă©tranger qui avait disparu de son champ de vision. Braddley ? » demanda Andrew qui ne voyait plus personne dans son salon. Je suis lĂ  ! », lui indiqua son ex-amant. La voix venait de sa chambre, il ne pouvait y croire, il n'allait pas lui faire ce genre de plan ? Il croyait vraiment qu'il allait cĂ©der ? Sort de cette chambre, espĂšce de... », mais il fut coupĂ© par la vision de son ex-amant en boxer devant lui. MĂȘme en colĂšre contre lui, et mĂȘme s'il le dĂ©testait de tout son ĂȘtre maintenant. Le corps lui, le dĂ©sirait. Le corps lui, voulait goĂ»ter au moins une derniĂšre fois. Drew' secoua ses idĂ©es, et tourna le dos pour quitter cette piĂšce qui empestait l'envie et le sexe. Mais avant qu'il ne puisse faire un pas de plus, les bras puissants de Braddley passĂšrent autour de lui. Il l'embrassa dans le cou, et l'infirmier ne put s'empĂȘcher de frissonner. Sullivan ferma les yeux, les mains de son ex-amant glissĂšrent sur son torse, et il oublia sa colĂšre pendant quelques instants. Johnsson profita de ce moment pour enlever le haut du garçon, et le fit tourner sur lui pour le jeter sur le lit comme un simple fichu de paille. Mais, tu crois quoi ? Si tu viens ici pour baiser ! Cela sera sans moi ! » hurla Andrew qui reprit ses esprits. Il repoussa de toutes ses forces les caresses brĂ»lantes de son ex-meilleur ami. Pourtant, Braddley s'installa tant bien que mal sur lui. Ils roulĂšrent en un instant sur le matelas, retournant la piĂšce, Ă©clatant la lampe de chevet, repoussant les oreillers, se heurtant contre les armoires. La lutte fut tellement violente que l'une des portes du placards s'Ă©croula. Mais Ă  la fin, son ex-amant semblait avoir gagnĂ© une petite respirait avec difficultĂ©, allongĂ© sur le sol de sa chambre au pied de son lit. Le coude de Braddley sous sa gorge, et les jambes puissantes de son adversaire empĂȘchant toute fuite. Il cru entendre un bruit dans son salon, mais la colĂšre concentrait toute son attention. Plein de fureur, il n'osait mĂȘme pas regarder celui qui l'empĂȘchait de bouger. Et, tu vas faire quoi maintenant ? » demanda Sully' le cƓur palpitant. Je pourrais faire cela... », ajouta Braddley en plongeant sa main dans le bas de jogging de celui qu'il voulait reconquĂ©rir. Mais, il ne voulait pas qu'il le touche. La main agrippa quelque chose, et le garçon serra les dents. Il pensa avec force Ă  Derek, si quelqu'un devait le toucher, surtout Ă  cet endroit, cela serait uniquement le journaliste. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 21 DĂ©c - 023 Derek sortit de l’ascenseur, se dirigeant vers son coin de travail en saluant un collĂšgue qui gardait quelques exemples du journal lancĂ© ce matin. Il s’en prit un, pour vĂ©rifier Ă  quelle page son article du python avait Ă©tĂ© placĂ© et surtout si on l’y voyait bien. Et le journaliste fut bien heureux de constater que son article n’était pas mit forcĂ©ment dans un coin, sans ĂȘtre pourtant celui mit le plus en avant, mais il Ă©tait tout de mĂȘme content de lui. AprĂšs tout, il avait commencĂ© dĂ©jĂ  bien plus petit que ça. Le fait qu’il se soit tant donnĂ© pour son travail cette derniĂšre annĂ©e, a vite fait que son patron l’apprĂ©cie bien. Il alla s’assoir devant son ordinateur portable et dĂ©posa le journal Ă  cĂŽtĂ© de lui, remarquant sans peine que Jess n’était pas lĂ . Il sortit son tĂ©lĂ©phone et vit qu’il avait un message d’Andrew et l’afficha pour le lire. Il lui rĂ©pondit alors rapidement. Citation Oui et merci beaucoup pour le petit dĂ©jeuner. Je rentrerais plus tard par contre, je t’en dirais plus aprĂšs. Donc fait attention en rentrant. Le journaliste dĂ©posa son tĂ©lĂ©phone Ă  cĂŽtĂ© de lui et releva la tĂȘte en entendant la voix de Jess. Ah te voila. Le match de ce soir oppose Mundine contre Hart, c’est une revanche attendu, donc le patron veut que ce soit un article de taille » Oui comme toujours, je ferais de mon mieux » rĂ©pondit-il en allumant l’ordinateur. Le patron veut le meilleur », rĂ©pliqua Jessica. Surpris Derek releva les yeux sur elle. Oui ça je sais aussi. Mais ce n’est pas mon domaine, ça se voit que c’est pas toi qui doit le faire » Non c’est pas moi, mais toi ! » Du coup, le journaliste en avait assez. Je peux savoir ce qui te prends ? Si t’es de mauvaise humeur, va te dĂ©fouler sur quelqu’un d’autre et fou moi la paix ! » , lĂącha-t-il mĂ©content. Franchement, elle se prenait pour qui de l’agressait ainsi. Fallait il qu’il lui rappelle qu’elle n’était que stagiaire et que son Ă©valuation Ă©tait aussi prise par lui, vu qu’ils travaillaient ensemble ? Et lĂ  il n’avait aucune envie d’ĂȘtre un punching-ball pour ses mauvais jours. Il vit Jess s’assoir Ă  sa place sans rien dire de plus. Sa matinĂ©e se passa par la suite dans la calme, vu qu’il avait quittĂ© le journal pour enquĂȘter un peu sur cette affaire d’enlĂšvement. Ce fut quand il sortit de la station de police, qu’il entendit la sonnerie de son iPhone. Derek le sortit de sa poche et vit le nom d’Andrew dessus et dĂ©crocha. Derek ? Je te dĂ©range peut-ĂȘtre ? Je vais ĂȘtre rapidement t'inquiĂšte pas. » Non ça va, j’ai quelques minutes lĂ  », rĂ©pondit-il, mais d’un cĂŽtĂ©, peut ĂȘtre qu’Andrew ne tĂ©lĂ©phonait que pour avoir rapidement des nouvelles. Tu travailles ce soir, dis moi ? » Oui, Ă©coute, je dois assister Ă  un match de boxe Ă  vingt heures ce soir pour en faire un article, donc je rentrerais dĂšs que j’aurais fini. », le prĂ©vint-t-il. Le journaliste espĂ©rait qu’un KO rapide serait prononcĂ© par l’arbitre pour que ce soit un match rapide, mais en ayant un peu fouillĂ© le palmarĂšs des boxeurs, il doutait que la match allait se jouer en plusieurs rounds. Écoute, ma porte reste ouverte, je vais te laisser ma clĂ© sous mon paillasson. Et, si je suis encore dĂ©bout, tu auras droit Ă  ma surprise. Allez bon courage pour ta journĂ©e, je t'embrasse. » Bien a plus tard, mais ne m’attends pas si je tarde », lui rĂ©pondit-il ne voulant pas que le jeune homme reste debout rien que pour lui. Surtout si Andrew avait du se rĂ©veiller tĂŽt ce matin. Le reste la journĂ©e se passa ici et lĂ , Ă  aller prendre des informations sur une bagarre qui s’était dĂ©clenchĂ© dans un bar et qui avait tout saccagĂ©, et entre un accident de la route, oĂč il ne souhaita qu’en finir au plus vite et d’autres petites affaires, il se retrouva peu avant le dĂ©but de match de boxe, dĂ©jĂ  installĂ© devant le ring, ordinateur portable devant lui et prĂȘt Ă  prendre des notes. Il fut quand mĂȘme surpris de voir autant de monde et ça seulement pour observer deux mecs se taper dessus
 Il soupira et garda son stylo prĂȘt Ă  l’emploie pour noter tout ce qu’il verrait. Le match dura en tout douze rounds et heureusement que ce fut finit, car il commençait vraiment a perdre patience. Il avait bien fait de ne pas se diriger vers la section sport en tout cas
 DĂšs que le match fut finit, le journaliste se mit Ă  taper son article sur Word pour rĂ©sumer ce qu’il venait de voir en jetant de temps en temps un coup d’Ɠil Ă  ses notes Ă  cĂŽtĂ© de lui. Il resta le plus professionnel possible et l’envoya Ă  Jess dĂšs qu’il eut finit l’article. Rangeant son ordinateur portable dans sa sacoche, Derek quitta aussitĂŽt l’immeuble et prit son tĂ©lĂ©phone pour tĂ©lĂ©phoner Ă  Jess, mais tomba sur son rĂ©pondeur. Jessica, je t’ai envoyĂ© l’article. Si le patron veut que je change quelque chose prĂ©viens moi, je le ferais dĂšs que je serais rentrĂ©. Merci et Ă  demain. » , dit-il en raccrochant et allant vite vers sa moto. Ah ce qu’il n’aimait pas quand il pleuvait
 Refermant bien le manteau sur lui, il monta sur la moto en se mettant le casque, voulant rentrer au plus vite. Une demi-heure plus tard, il gara la moto dans le garage de l’immeuble de l’appartement d’Andrew. Il jeta un coup d’Ɠil Ă  sa montre, voyant qu’il n’était pas encore onze heures, peut ĂȘtre qu’alors Andrew n’était pas encore au lit. Il se demandait, ce qu’était cette fameuse surprise en tout cas. Derek monta les marches des escaliers rapidement, voulant seulement avaler un truc rapide, se prendre une bonne douche et se reposer, en espĂ©rant ne pas devoir retravailler son article. Mais un rapide coup d’Ɠil Ă  son tĂ©lĂ©phone et il vit qu’il n’avait aucun message laissĂ© par Jess, donc peut ĂȘtre que l’article Ă©tait bien comme tel. Arrivant devant la porte de l’appartement, Derek alla chercher la clef laissĂ© par Andrew et ouvrit la porte, tout de mĂȘme doucement, au cas oĂč l’infirmier devait ĂȘtre en train de se reposer dĂ©jĂ . Mais la lumiĂšre du salon Ă©tait allumé  pourtant il ne vit pas le jeune homme. Derek referma doucement la porte derriĂšre lui et dĂ©posa la sacoche de son ordinateur portable prĂšs de la cuisine. Il inspira les bonnes odeurs qui en venaient et alla se prendre une biĂšre au frigo. C’était ça la surprise d’Andrew ? Ce dĂźner ? En tout cas, il mourrait de faim, n’ayant pas mangĂ© depuis midi. Derek dĂ©capsula la biĂšre et se dirigea vers la chambre quand il entendit la voix de son ami. Et, tu vas faire quoi maintenant ? » Hum ? Derek arqua un sourcil, portant la bouteille Ă  ses lĂšvres pour en boire un peu. Je pourrais faire cela... » Le reporter s’arrĂȘta Ă  l’encadrement de la porte, voyant par terre deux hommes, l’un d’entre eux Ă©tant naturellement son camarade. Son cƓur s’était tout Ă  coup Ă©lancĂ© dans sa cage thoracique. Comment
 il n’arrivait pas Ă  croire ce qui se dĂ©roulait devant ses yeux. L’inconnu Ă©tant dĂ©jĂ  quasi dĂ©vĂȘtu et Derek n’avait pas Ă  ĂȘtre devint pour savoir ce que cette main entre leur deux corps Ă©tait en train de toucher. Pourtant son regard ne les quitta pas et un calme troublant le gagna. Ne vous arrĂȘtez surtout pas pour moi », dit-il d’une voix monocorde, le regard impassible en levant la biĂšre Ă  nouveau vers ses lĂšvres pour en boire, tout en restant contre l’encadrement de la porte. Pas une semaine
 Andrew ne pouvait pas attendre une semaine ? Surtout en sachant qu’il allait rentrer ? InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 21 DĂ©c - 158 Braddley Ă©tait lĂ , Ă  Sydney, dans son appartement, comment le destin pouvait ĂȘtre aussi cruel ? Ils auraient pu parler, essayer de comprendre et surtout de se pardonner ? Mais son ex-amant l'avait piĂ©gĂ©, et semblait tout Ă  fait savoir ce qu'il voulait. L'immense garçon avait investit sa chambre bien dĂ©cidĂ© Ă  lui mettre le grappin dessus par tout les moyens. Comment il avait pu ĂȘtre aussi bĂȘte ? Ne pas l'avoir jetĂ© hors de chez lui depuis la premiĂšre minute oĂč il l'avait reconnu. Mais, tu crois quoi ? Si tu viens ici pour baiser ! Cela sera sans moi ! » lui hurla Andrew. Pourtant, aprĂšs une lutte pour reprendre le contrĂŽle qui Ă©branla toute la chambre. L'infirmier avait perdu la bataille, torse nu, son jogging tombant sur son ventre, humiliĂ©, et de plus prisonnier de son amant. Ils Ă©taient allongĂ©s sur le sol de sa chambre au pied de son lit. Le coude de Braddley sous sa gorge, et les jambes puissantes de son adversaire qui l'empĂȘchait de bouger. Et, tu vas faire quoi maintenant ? » demanda Sully' le cƓur palpitant. Je pourrais faire cela... », ajouta Braddley en plongeant sa main dans le bas de son jogging. Le regard absent sur le cĂŽtĂ©, scrutant le dessous de son lit, Andrew ne vit mĂȘme pas l'ombre de Derek dans l'embrasure de la porte de sa chambre. Pourtant, cela lui aurait donnĂ© le courage de lutter une nouvelle fois pour se dĂ©faire de l'emprise de son adversaire. Ne vous arrĂȘtez surtout pas pour moi » L'infirmier tourna la tĂȘte avec violence. Ce n'Ă©tait pas possible ? C'Ă©tait un cauchemar ! Pourtant, derriĂšre l'Ă©paule de son ex-amant, Derek se tenait debout, sa biĂšre Ă  la bouche, le regardant comme s'il n'avait qu'un animal. Derek ? C'est pas ce que tu crois... » essaya de se justifier Sullivan. NĂ©anmoins, l'homme au dessus de lui l'empĂȘcha de prononcer un autre mot en appuyant avec plus de force avec son coude sur sa gorge. Cela lui coupa la respiration pendant quelques s'agita, essayant de repousser Braddley avec toute sa force, ne voulant pas ĂȘtre vu comme cela plus longtemps. Pourtant, c'est le grand inconnu qui parla en premier en tournant lui aussi sa tĂȘte vers le journaliste. Je comprends maintenant pourquoi tu ne rĂ©pondais pas Ă  mes coups de fils...C'est lui que tu te tapes maintenant ? » demanda son ex-meilleur ami qui toisa mĂ©chamment Derek de haut en bas. Il retira sa main de son jogging. Il se leva tout naturellement, relĂąchant avec cette lourde pression sur le corps de Sulli' qui roula sur le cĂŽtĂ© pour reprendre enfin le contrĂŽle sur son corps. Tu me déçois...Je te voyais avec quelque chose de meilleure qualitĂ©. Il a l'air tout bancal celui-lĂ . Tu crois que si je souffle sur lui, il va tomber ? » Braddley marcha vers le reporter en roulant des mĂ©caniques, et tout prĂȘt de lui. Il lança son bras comme pour lui assener son poing dans la figure, mais s'arrĂȘta dans son mouvement. Et, profita de sa diversion pour voler la biĂšre dans la main du grand brun, qu'il tira avec rapiditĂ© vers lui. Il faut ĂȘtre plus rapide, petite bite ! Surtout avec Andrew, il est du genre Ă  aimer quand tu donnes bien Ă  fond jusqu'au bout de la nuit, si tu vois ce que je veux dire ? » lui lança le jeune homme en sifflant la biĂšre de Derek sans gĂȘne. Il but une grande gorgĂ©e en lui lançant un clin d'Ɠil cruel. Andrew se relevait difficilement en se tenant la gorge. Il s'aida de son lit pour remonter ses jambes. Il reprenait Ă  peine ses esprits, mais il Ă©tait encore chez lui, et Braddley n'avait plus aucun pouvoir sur lui. Mais il n'arrivait pas Ă  regarder Derek dans les yeux quand mĂȘme. Il se sentait tellement honteux. Sully' devait mettre dehors son ex-meilleur ami, il donc s'approcha en menaçant son ex-compagnon. Braddley !! Casse toi ! Tu as fait assez de mal comme cela ! » , lança t-il avec fureur en cherchant son tee-shirt en tĂątonnant au sol. Il le trouva enfin et l'enfila, en espĂ©rant qu'il n'aurait juste Ă  le menacer pour qu'il prenne la porte. C'est bon, j'ai compris ! Je vais y aller. Sauf, si ton nouveau mec veut faire un truc Ă  trois. En sandwich cela peut ĂȘtre sympa. » dit-il en lançant la biĂšre qu'il avait volĂ©, en direction de Derek pour qu'il l'attrape en vol. Puis Braddley recula pour rĂ©cupĂ©rer ses affaires au sol. Il tomba sur son jeans derriĂšre le lit. Ton petit copain, il doit avoir la classe Ă  quatre pattes. Il doit aimer prendre en profondeur, je sens ! » nargua t-il en enfilant une premiĂšre jambe, tout en ne lĂąchant pas le journaliste. Il semblait l'avoir prit en grippe. Mais, tout cela ne plaisait plus Ă  l'infirmier, qui n'osait pas regardait Derek. Il ne laisserait pas une personne comme Johnsson manquer de respect Ă  une personne qu'il aimait Ă  bondit jusqu'Ă  son ex-amant et l'attrapa par le bras. Andrew n'Ă©tait pas une frĂȘle crĂ©ature, et il avait de la force. Il dĂ©cida de l'utiliser, serrant de toutes ses forces le bras Ă  son disposition. Je te prĂ©viens, Braddley ! Tu t'en vas ou je t'en met une ! Je te laisserais pas manquer de respect Ă  mon copain !! », lança t-il avec fureur avant de balancer Braddley en avant qui heurta l'armoire dans le mĂȘme temps. Il se sentit mĂȘme pas coupable, comment avait-il pu ĂȘtre amoureux de lui ? Comment avait-il pu pleurer pour lui ? Comment avait-il pu dĂ©primer en espĂ©rant le retrouver ? Maintenant quand il voyait son amant, il n'avait qu'un sentiment, le dĂ©gout. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 21 DĂ©c - 300 Derek bu plusieurs gorgĂ©e, sans les quitter des yeux. En tout cas pour une surprise, c’en Ă©tait bien une ! S’il aurait sĂ», certainement qu’il ne serait pas venu. Encore bien qu’il c’était pressĂ© de venir, sinon qu’aurait il vu, en venant un quart d’heure plus tard ? Oh il ne voulait mĂȘme pas le savoir. Derek ? C'est pas ce que tu crois... » lĂącha Andrew, mais Derek posa sur lui un regard plus furieux que voulu. Ah oui ? Bien sĂ»r, je suppose qu’il a trĂ©buchĂ© sur toi par accident ?! », lĂącha-t-il sĂšchement. Derek aurait voulu ĂȘtre calme, mais du coup, la colĂšre bouillonnait ardemment en lui. Il ne supportait pas de savoir qu’un autre puisse ĂȘtre dans les bras d’Andrew ! Le journaliste serra sa main sur la bouteille de la biĂšre. Je comprends maintenant pourquoi tu ne rĂ©pondais pas Ă  mes coups de fils...C'est lui que tu te tapes maintenant ? » entendit Derek de la part de l’inconnu. Qu’était ce gars pour lui parler ainsi. Les coups de fils
 Quand mĂȘme
 serait-ce ce Braddley ? En tout cas, n’ayant aucun moyen de le savoir, le jeune homme, ne rĂ©agit nullement au dĂ©visagement de la tierce personne. Du coup en quittant Andrew des yeux, Derek reprit un regard neutre, observant les gestes de l’inconnu. Tu me déçois...Je te voyais avec quelque chose de meilleure qualitĂ©. Il a l'air tout bancal celui-lĂ . Tu crois que si je souffle sur lui, il va tomber ? » Oh ça
 qu’il vienne. MĂȘme s’il pouvait avoir l’air bancal » comme le disait cet homme, il Ă©tait loin d’ĂȘtre un petit minet et avait su aussi apprendre Ă  se battre dans le quartier oĂč il avait vĂ©cu, malgrĂ© qu’il n’était pas fan de la violence. Et il savait trĂšs bien se dĂ©fendre. Donc du coup en voyant le poing de l’inconnu arriver, Derek releva sa main de libre pour la lui saisir. Pourtant voyant que ce n’était que du bluff, Derek devina que les paroles de celui-ci ne devaient Ă©galement qu’en ĂȘtre. Le reporter le laissa lui prendre la biĂšre, oĂč il n’avait plus l’intention d’y toucher. Il faut ĂȘtre plus rapide, petite bite ! Surtout avec Andrew, il est du genre Ă  aimer quand tu donnes bien Ă  fond jusqu'au bout de la nuit, si tu vois ce que je veux dire ? » Derek eut un lĂ©ger sourire en coin de lĂšvre. Vraiment
 ces grandes gueules, Ă  parler et parler
 sans agir. Tentait-il de l’impressionner ou de lui faire peur ? Voir les deux ? Braddley !! Casse toi ! Tu as fait assez de mal comme cela ! » Et bien voila ! Voila LA confirmation qu’il voulait avoir depuis que ce petit malin avait sortit sa langue de vipĂšre. Derek retira son manteau, qu’il laissa Ă©crouler sur le meuble Ă  cĂŽtĂ© de lui. C'est bon, j'ai compris ! Je vais y aller. Sauf, si ton nouveau mec veut faire un truc Ă  trois. En sandwich cela peut ĂȘtre sympa. » Le journaliste resta toujours silencieux, attrapant la bouteille que Braddley lui lança. Naturellement, en le voyant si calme, on aurait pu penser qu’il s’en foutait de la situation, oĂč qu’il soit bien trop faible pour savoir se dĂ©fendre
 mais Derek tentait surtout de ne pas perdre le nord. Il dĂ©posa la bouteille sur le meuble Ă  cĂŽtĂ© de son manteau puis plia les manches de sa chemise, l’une aprĂšs l’autre. Ton petit copain, il doit avoir la classe Ă  quatre pattes. Il doit aimer prendre en profondeur, je sens ! » Je te prĂ©viens, Braddley ! Tu t'en vas ou je t'en met une ! Je te laisserais pas manquer de respect Ă  mon copain !! », Derek s’avança vers eux, posant sa main sur l’épaule d’Andrew, sans le regarder, pour le faire reculer et se mettre entre eux. Mais laisse le donc s’exprimer, chĂ©ri », dit-il en prononçant plus clairement le dernier mot. Ils voulaient donc jouer Ă  ça ? Derek garda un sourire sur les lĂšvres, le regard curieusement plus doux. Toi, t’es du genre Ă  prendre ce que tu veux, quand tu veux, j’imagine ?» demanda-t-il en laissant marcher ses deux doigts sur le torse de l’homme en face de lui. Whao
 c’est tellement viril et puissant » continua Derek d’une douce voix. Exactement
 ce que
 j’aime
 ! » lĂącha le journaliste en se rapprochant mot par mot de l’homme contre l’armoire. Ah du coup, on aurait pu croire, que Derek serait sur le point d’embrasser Braddley. Mais la suite se passa bien rapidement. D’un coup de genou derriĂšre les jambes de l’homme, il s’aida de sa main sur le torse de celui-ci pour le faire violemment tomber au sol. Et le coup de poing s’ensuivit rapidement pour frapper fortement l’Ɠil et le nez de celui-ci. La prochaine fois que t’auras envie de baiser, je te conseille de ne pas penser Ă  Andrew, pigĂ© ?, », demanda-t-il la colĂšre s’exprimant et le dĂ©goĂ»t pour cette personne grandissant en lui. Lui saisissant les cheveux, il Ă©crasa la tĂȘte de Braddley subitement sur le sol. T’es qu’une merde, tu le sais ça ? » Derek se redressa et saisit la chemise qui trainait au sol et la lui balança a la figure. Habille toi et casse toi d’ici. La prochaine fois que t’importune Andrew, je ne serais pas aussi clĂ©ment. » lĂącha-t-il sans le quitter des yeux. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 21 DĂ©c - 1810 Ton petit copain, il doit avoir la classe Ă  quatre pattes. Il doit aimer prendre en profondeur, je sens ! » Je te prĂ©viens, Braddley ! Tu t'en vas ou je t'en met une ! Je te laisserais pas manquer de respect Ă  mon copain !! », menaça Andrew qui ne reconnaissait pas son ancien amant. Il ne l'avait jamais vu ainsi, et mĂȘme si l'infirmier pouvait lui reprocher beaucoup de choses, le garçon sentait bien qu'il devait ĂȘtre aboie. Car au grand jamais, Johnsson n'avait montrĂ© un tel comportent, on aurait dit qu'il voulait qu'on lui fasse du mal. Mais laisse le donc s’exprimer, chĂ©ri » , lança Derek qui c'Ă©tait dĂ©jĂ  mis entre eux, et qui avait lĂ©gĂšrement repoussĂ© le futur mĂ©decin en posant une main sur son Ă©paule. ChĂ©ri ? Le garçon resta en arriĂšre lĂ©gĂšrement interdit. Braddley se pavanait devant le journaliste en roulant des yeux. Toi, t’es du genre Ă  prendre ce que tu veux, quand tu veux, j’imagine ?» Pourquoi ? Tu es intĂ©ressĂ© ? Tu veux prendre un ticket ? », ajouta Braddley en baissant les yeux pour montre son service trois piĂšces entre ses jambes. Les doigts de Derek sur son torse, le fit bomber le torse avec un petit sourire carnassier. Whao
 c’est tellement viril et puissant » Je savais que cela te plairait, ma jolie ! » , rĂ©pondit-il tout en se laissant complĂ©tement roulĂ© par le jeu du reporter. Andrew lui en arriĂšre, connaissant maintenant assez son ami pour savoir que tout cela Ă©tait ironique. Il ne savait pas ce qui allait se passer exactement, mais cela allait mal finir pour Braddley, mais il ne prĂ©fĂ©ra pas intervenir. Exactement
 ce que
 j’aime
 ! » , le grand blond roucoula presque Ă  ses paroles et descendit sa main pour saisir l'entre-jambe de l'homme qu'il pensait sĂ©duit par ses charmes. Et, bien on va s'amuser nous deux, laisse moi d'abord si tu as ce qu'il me convient dans le paquet... » Mais avant qu'il ne puisse finir son geste, il se retrouva Ă  genoux sans vraiment comprendre pourquoi. Il leva la tĂȘte et encaissa de plein fouet le poing qui tomba sur son visage. La prochaine fois que t’auras envie de baiser, je te conseille de ne pas penser Ă  Andrew, pigĂ© ? » Sullivan ne poussa aucun crie mais fut choquĂ© par cette violence soudaine. Son cerveau resta figĂ© sur cette image, ne sachant pas quoi faire. Il resta sans rien dire, la bouche ouverte alors que Derek attrapa son ex-amant par les cheveux pour lui Ă©craser la tĂȘte au sol. L'Ă©tranger poussa un juron Ă  peine audible mais ne poussa encore cri, retenant toute sa colĂšre. Mais c'est pas celle-ci qui intĂ©ressa le futur mĂ©decin, Derek, lui faisait peur, il s'approcha doucement et la main hĂ©sitante, il agrippa l'Ă©paule de son camarade. Derek ? Calme-toi, s'il te plait...Il n'en vaut pas la peine. » dit-il avec une voix aussi calme et apaisante possible. Habille toi et casse toi d’ici. La prochaine fois que t’importune Andrew, je ne serais pas aussi clĂ©ment. » lĂącha Morrison en se redressant et retournant la chemise de l'inconnu Ă  son visage. Braddley resta sol, mais commença par s'accroupir en s'adossant au pied de l'armoire. Il enfila son tee_shirt et rĂ©cupĂ©ra une de ses longues bottes sur le cĂŽtĂ©, tout en regardant les deux personnes face Ă  lui, le nez en sang et l'Ɠil complĂ©tement amochĂ©, il se mit quand mĂȘme Ă  rire. Andrew qui avait Ă©tĂ© dĂ©goutĂ©, Ă©tait maintenant triste de le voir ainsi. Mais qu'est ce qu'il pouvait lui ĂȘtre arrivĂ© pour en arriver Ă  des extrĂȘmes pareilles ? Il n'y avait de la dĂ©tresse sous ce rire, et celle-ci lui fit plus mal que tout. Vous me faites rire les lavettes ! Toi, mec ! tu frappes comme une gonzesse !! Et, saches qu'Andrew Ă©tait ma pute bien avec toi » dit-il en Ă©clairant de son sourire couvert de son propre sang, en s'adressant d'abord Ă  Derek puis tourna vers son ex-amant. Et, qu'il le veuille ou non, nous deux c'est pour toujours » Andrew voulut le stopper dans sa folie, lui dire Ă  nouveau qu'il n'avait plus aucun sentiment pour lui, mais il n'en eut pas le temps. Alors qu'il allait ouvrir la bouche, Braddley rĂ©gurgita le sang qui s'Ă©tait accumulĂ© dans a bouche et le cracha violemment au en direction du visage de Derek, avec une prĂ©cision assez surprenante. Un Ă©clat de sang et salive vola vers le journaliste. Mais qu'est ce qu'il voulait encore faire, celui lĂ  ? Le cracheur profita de sa diversion pour plonger une main dans sa botte pour en sortir un long couteau de chasse. L'infirmier connaissait bien celui-ci, c'Ă©tait un cadeau de son pĂšre et il l'avait jamais vraiment lĂąchĂ©. Mais comment ils ont pu laissĂ©s passer cela aux douanes ? Il sortit son couteau de son fourreau et le brandit tout en se relavant pour empĂȘcher toutes approches. Alors ? Tu fais plus le malin ? Tu veux goĂ»ter Ă  mes 30 centimĂštres, hein ? » , fondant l'air avec agressivitĂ© et menaçant plus particuliĂšrement Derek. Pour l'avoir vu dĂ©pecer des animaux avec, l'infirmier savait que le couteau Ă©tait plus que coupant. Le futur mĂ©decin essaya d'avancer mais son Johnsson le repoussait avec force en s'agitant de droite Ă  gauche. Pourtant, Andrew ne s'inquiĂ©tait pas pour sa vie, ou celle de Braddley, mais pour celle de Derek. Pour lequel, il ne pouvait s'empĂȘcher de le regarder du coin de l'Ɠil, s'inquiĂ©tant grandement de la situation. Le visage de son ex-meilleur ami changea, quelque chose de sombre prit le pouvoir sur sa main toujours aussi agitĂ©. On va se calmer je pense...Tu crois pas que c'est un peu excessif ? », dit-il en se dĂ©plaçant lentement vers Derek. Tu vas poser ce couteau et on va discuter ... » essaya t-il de dire les mains en l'air. Mais Braddley semblait dĂ©cidĂ©, et il leva son couteau pour planter sauvagement le grand brun. Andrew poussa un cri Non !! » et s'interposa en se plaçant devant son ami, son bras droit comme son dĂ©fense. Le couteau de chasse fendit l'air, le temps sembla s'arrĂȘta, et un filet de sang perla sur les pieds de l'infirmier. Une douleur aiguĂ« s'Ă©chappa de sa gorge, alors qu'il plongea son regard dans celui du journaliste, le premier depuis cette nuit. Une blessure Ă©paisse se forma le long de son avant-bras, et le sang continua de s'en Ă©chapper. Braddley resta stoĂŻque, puis il prit la parole en regardant son couteau. RĂ©alisant peut-ĂȘtre ce qu'il avait fait ? Tu l'aimes vraiment alors ? », lĂącha t-il avec un Ă©norme trĂ©molo dans la voix. Il ne demanda aucune rĂ©ponse, le grand blond reprit, son visage emplit de colĂšre, et poussa violemment Andrew qui chuta contre Derek. Il prit la fuite aussi vite qu'il Ă©tait venu sans dire un autre mot, mais en rĂ©cupĂ©rant toutes ses affaires avec lui, et avant mĂȘme que Sully' puisse avoir l'idĂ©e de se relever, il entendit la porte claquer. Andrew ne rĂ©alisant pas encore que les Ă©vĂšnements soient allĂ©s aussi loin, se releva, n'osant plus regarder son camarade. Le regard absent, il scruta le sang qui perla sur les affaires du journaliste et ne sortit qu'un faible. Je suis dĂ©solĂ©...Je suis entrain de te tacher de partout... », Drew' posa une main sur sa plaie, mĂȘme si elle pouvait faire peur, son expĂ©rience en mĂ©decine le rassura; ce n'Ă©tait qu'une blessure superficielle. Il se dĂ©tacha de Derek, et enleva son tee-shirt pour couvrir sa blessure. Le garçon se sentait tellement honteux...Son tee-shirt devint rouge grenat, mais alors qu'il restait impassiblement de dos, il ne s'inquiĂ©ta pas pour lui. Ça va ta main ? J'ai de la glace si tu veux... » demanda t-il tout simplement. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 22 DĂ©c - 205 Mais laisse le donc s’exprimer, chĂ©ri » , lança Derek qui vint se mettre entre les deux personnes, sans quitter Braddley des yeux. Il ne voulait pas qu’Andrew s’y mĂȘle, surtout que celui-ci en avait certainement assez fait. Ou pas, Andrew n’en avait surtout pas fait assez pour faire partir Braddley. Toi, t’es du genre Ă  prendre ce que tu veux, quand tu veux, j’imagine ?», continua-t-il, bluffant Ă  son tour. Pourquoi ? Tu es intĂ©ressĂ© ? Tu veux prendre un ticket ? » Pas vraiment, mais ça pas la peine de le dire en tout cas, surtout qu’il voyait que cet idiot croyait vraiment Ă  ce qu’il puisse ĂȘtre intĂ©ressĂ© par lui. Whao
 c’est tellement viril et puissant », rajouta-t-il en voyant l’étranger bomber son torse sous ses doigts. Je savais que cela te plairait, ma jolie ! » Franchement
 il ne savait pas si c’était commun chez eux de parler ainsi, mais mĂȘme s’il s’avĂ©rerait gay, hors de question qu’on lui adresse la parole de cette maniĂšre. En tout cas pas tant qu’il n’aurait pas donnĂ© son feu vert. Exactement
 ce que
 j’aime
 ! » Et, bien on va s'amuser nous deux, laisse moi d'abord si tu as ce qu'il me convient dans le paquet... » Et bien lĂ  fallait pas rĂȘver et Derek n’avait plus aucune envie de jouer aux petits intĂ©ressĂ©s. De mĂȘme qu’il Ă©tait hors de question que cet imbĂ©cile le touche. Alors, le journaliste le mit Ă  terre, aprĂšs violent coup de poing. La prochaine fois que t’auras envie de baiser, je te conseille de ne pas penser Ă  Andrew, pigĂ© ? », lĂącha-t-il furieusement en agitant un instant sa main, avec laquelle il venait de le frapper. Mais il n’y prĂȘta pas plus attention et Ă©crasa la tĂȘte de Braddley au sol. T’es qu’une merde, tu le sais ça ? » Et la merde ça se trouvait par terre, lĂ  oĂč ce salaud mĂ©ritait largement d’ĂȘtre. Il n’arrivait toujours pas Ă  comprendre comment Andrew avait pu ĂȘtre amoureux ou simplement intĂ©ressĂ© par cette personne. Morrison ne se calma pas, ni mĂȘme en sentant la main d’Andrew sur son Ă©paule. Derek ? Calme-toi, s'il te plait...Il n'en vaut pas la peine. » Il s’en dĂ©fit d’un coup d’épaule, ne voulant rien savoir d’Andrew pour le moment. Il Ă©tait tout simplement blessĂ©. MĂȘme s’il ne comprenait et ne voulait ni comprendre maintenant ce qu’il ressentait. Habille toi et casse toi d’ici. La prochaine fois que t’importune Andrew, je ne serais pas aussi clĂ©ment. » lĂącha-t-il en lançant le t-shirt de l’imbĂ©cile Ă  la face de celui-ci. Et de voir le nez en sang de Braddley, ne lui fit Ă©prouver ni culpabilitĂ©, ni aucune satisfaction. Il voulait simplement que cette personne s’en aille, pour qu’il sache qu’Andrew soit tout seul, car il ne comptait pas rester tout de suite sur place. Il n’avait qu’une envie depuis qu’il les avait vu au sol, c’était de s’en aller. Vous me faites rire les lavettes ! Toi, mec ! tu frappes comme une gonzesse !! Et, saches qu'Andrew Ă©tait ma pute bien avec toi » Derek serra son poing, se retenant, car mĂȘme son coup de pied le dĂ©mangeait. Mais il savait qu’il ne devait pas donner d’importance Ă  ces paroles. Et, qu'il le veuille ou non, nous deux c'est pour toujours » Je t’ai dis de ne plus jamais l’approcher ! », lĂącha-t-il tout de suite en s’approchant d’un pas de l’individu. Il Ă©tait hors de question qu’il y ait quoi que ce soit entre eux ! Mais le fait qu’il se soit approchĂ© a donnĂ© occasion Ă  Braddley de lui cracher dessus. Faisant un geste de recul, il passa rapidement le dos de sa main sur ses yeux pour s’essuyer. Mais du coup, il recula, en voyant que l’homme avait dĂ©gainĂ© un couteau. Alors ? Tu fais plus le malin ? Tu veux goĂ»ter Ă  mes 30 centimĂštres, hein ? » MalgrĂ© le calme apparent de Derek, il n’était pas vraiment rassurĂ©. Il n’avait pas envie que quelqu’un se fasse blesser, que ce soit lui ou Andrew. Vraiment impressionnant de se cacher derriĂšre un couteau
 » dit-il, le regard sĂ©vĂšre, mais Ă  l’affut de tout geste de la part de Braddley. On va se calmer je pense...Tu crois pas que c'est un peu excessif ? Tu vas poser ce couteau et on va discuter ... » Derek lança un regard vers Andrew et tendit la main vers lui, ne voulant pas que le jeune homme s’approche, ayant bien vu que Braddley en avait aprĂšs lui et non l’infirmier. Pourtant en voyant le geste de la tierce personne, Derek voulu l’éviter, mais ce ne fut sans attendre qu’Andrew se jette devant lui. Non !! » Rien qu’en le voyant agir ainsi, le cƓur du journaliste s’élança en lui. Il saisit le bras de son camarade, mais ce fut trop tard, l’entendant lĂącher une plainte douloureuse. Son regard furieux, se posa sur Braddley, ayant pu lui faire payer ce geste, mais prĂ©fĂ©ra vĂ©rifier que l’état d’Andrew ne fut pas alarmant. Tu l'aimes vraiment alors ? » Qu’était-ce comme question ? Mais peu importe, Derek captura Andrew dans ses bras pour le tenir loin de Braddley. En tout cas, heureux, que l’étranger s’en alla sans demander son reste. Derek n’aurait pas Ă©tĂ© encore patient bien longtemps, couteau en main ou pas. Je suis dĂ©solĂ©...Je suis entrain de te tacher de partout... » Vraiment ? C’était tout ce qu’Andrew avait Ă  lui dire ? Derek la lĂącha et le laissa s’éloigner de lui, reculant lui-mĂȘme jusqu’à l’encadrement de la porte. Ça va ta main ? J'ai de la glace si tu veux... » Non ça ne va pas ! », lĂącha-t-il mais sans parler de sa main. Oh et puis laisse », grommela-t-il mĂ©content en sortant de la chambre et se dirigea dans la salle de bain pour aller y fouiller un peu et trouver un peu ce dont il avait besoin pour soigner cette blessure. Derek revint dans la chambre, laissant tomber ce qu’il avait en main sur le lit et saisit Andrew pour l’y faire s’assoir. Le regard fermĂ©, il saisit le t-shirt du jeune homme pour voir la plaie, qui saignait toujours. Il tenta d’essuyer le sang, puis prit le dĂ©sinfectant pour en imbiber du coton et nettoyer la blessure. Je te laisse tĂ©lĂ©phoner s’il faut qu’on vienne te chercher ou te soigner davantage sur place. », dit-il en prenant le rouleau de bandage pour entourer la blessure de son camarade plusieurs fois et en couper ce qui Ă©tait de trop. Le journaliste resta silencieux, ramassant ce qu’il avait ramenĂ© pour aller les ranger Ă  leur place. Sachant qu’Andrew Ă©tait hors de danger et qu’aucun Braddley n’allait l’importuner maintenant, Derek alla vers son manteau et retira son paquet de cigarette pour s’en aller sans mot dire. Ouvrant la porte d’entrer, il la ferma un peu plus durement derriĂšre lui et descendit les escaliers jusqu’à l’entrĂ©e de l’immeuble et de sortir devant la porte. Portant une cigarette Ă  ses lĂšvres, il sortit son briquet du paquet pour l’allumer, puis le rangea Ă  sa place pour ensuite mettre le paquet dans la poche arriĂšre de son pantalon. Le journaliste fit quelques pas en avant, sentant tout de suite la pluie lui coller la chemise sur sa peau. Ses cheveux suivirent le mĂȘme sort en retombant sur son front. Mais malgrĂ© la pluie, il alla s’assoir au petit muret qui dĂ©limitait le territoire du bĂątiment. Il prit sa cigarette en main, laissant la fumĂ©e s’échapper de son nez doucement. Se penchant en avant, il posa son front sur sa main, dont le coude Ă©tait posĂ© sur sa cuisse. Il continua Ă  fumer sur place, se demandant encore pourquoi les choses venaient de tourner ainsi. Tout lui semblait bien trop chambouler. Il
 n’aurait pas du rĂ©agir ainsi. Mais il ne comprenait pas pourquoi ça le dĂ©cevait autant, ni pourquoi ça le dĂ©rangeait. Derek resserra fortement ses doigts sur sa tĂȘte, serrant en mĂȘme temps les yeux, en passant sa main qui tenait la cigarette par-dessus, pour retirer les larmes qui s’en Ă©chappaient. Il en avait assez de ces questions
 surtout de cette peur qu’il avait ressentie, celle de pouvoir le perdre. Il laissa la cigarette entre ses lĂšvres, et passa ses mains sur ses cheveux, se penchant en avant, et tenter de se calmer un peu. Il ne voyait pas pourquoi, il Ă©tait là
 ni a quoi il se serait attendu. Il n’en savait rien et pourtant ça lui faisait mal. Le journaliste laissa tomber la cigarette au sol, et passa sa chaussure dessus pour l’éteindre. Il inspira alors bruyamment en levant son visage au ciel, laissant l’eau lui tomber dessus. Derek passa sa main sur son visage, soufflant comme pour se dĂ©barrasser des sentiments qui Ă©taient incomprĂ©hensible en lui. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 22 DĂ©c - 353 Braddley avait enfin dĂ©cidĂ© de prendre la poudre d'escampette, blessant au passage Andrew en voulant frapper le journaliste au visage. Le garçon ne pouvait pas laisser celui pour lequel il avait des sentiments ĂȘtre atteint. C'Ă©tait pas du courage, non, car cela aurait pu finir trĂšs mal, c'Ă©tait juste de inconscience. Il n'avait pas rĂ©flĂ©chi un seul instant, il n'avait que son cƓur et ne regrettait pas son geste. Je suis dĂ©solĂ©...Je suis entrain de te tacher de partout... » dit Andrew, sentant bien dans le regard de Derek, qu'il attendait une autre entrĂ©e en matiĂšre. Une explication surement...Mais il sentait tellement honteux, et si fautif, que le garçon prĂ©fĂ©ra mettre de la distance en s'Ă©loignant. Il s'Ă©tait bien sĂ»r, entre temps occupĂ© de couvrir sa plaie avec son tee-shirt de quoi commencer Ă  arrĂȘter le saignement. Ça va ta main ? J'ai de la glace si tu veux... », c'Ă©tait pas ce qu'il voulait lui demander mais c'est les seuls mots qui sortirent de sa bouche. Mais ce qu'il voulait savoir c'Ă©tait comme il allait, si voir ce triste spectacle de sa vie, avait heurtĂ© leur amitiĂ© ? Non ça ne va pas ! », Andrew dĂ©glutit, sachant pertinemment qu'il ne parlais pas de sa main. Il l'avait déçu ! Rien de surprenant aprĂšs le passage de Braddley et de ses rĂ©vĂ©lations peu flatteuses. Le futur mĂ©decin la gorge serrĂ©, essaya de s'excuser. Je suis... » Oh et puis laisse » , alors il ferma sa bouche. Drew' regarda Derek sortit de la chambre, et il tomba sur le bas du lit. Il faudrait s'occuper de sa blessure, son tee-shirt tout blanc ayant prit une couleur rouge Ă©carlate. Sully' sentait la douleur le long de son bras, mais ce qui faisait le plus de mal, c'Ă©tait que le reporter est pu entendre toutes les horreurs de son ex-amant. Quel image son camarade allait avoir de lui ?Un gay dont la vie ne tourne qu'autour du sexe ? Qui ne peut pas attendre une journĂ©e sans tirer son coup ? Mais ce qui faisait le plus mal dans tout cela, c'Ă©tait d'avoir pu avoir Ă©tĂ© amoureux de Braddley. D'avoir attendu pendant cinq ans cette homme qui Ă©tait prĂȘt Ă  le violer Ă  mĂȘme le sol...Un homme qui Ă©tait prĂȘt Ă  sortir une arme pour blesser...Tout Ă©tait terminĂ© ? Le futur mĂ©decin qui pensait pouvoir un jour sĂ©duire Morrison, comment pouvait-il le plaire aprĂšs cela ? Il se leva pour voir ce que faisait Derek, il avait besoin de le voir, de s'expliquer. Cependant, il le devança et revint dans la chambre avec tout le matĂ©riel nĂ©cessaire pour le soigner. Andrew retomba sur le lit, se laissant faire, alors qu'il cherchait comment commencer. Il laissa le grand brun retirer le tee-shirt sur son bras. Les mots ne venaient toujours pas, mais le garçon le regarda avec des yeux humides, tellement dĂ©solĂ© de lui avoir imposer ce spectacle. Je suis dĂ©solĂ© Derek...Tu dois avoir une image de moi maintenant ? » , mais comme seule rĂ©ponse, c'est le coton sur sa plaie imbibĂ© de produit dĂ©sinfectant qui lui coupa toute envie de parler pendant un instant. Je te laisse tĂ©lĂ©phoner s’il faut qu’on vienne te chercher ou te soigner davantage sur place. » Ah ? c'est tout ce qu'il avait envie de lui dire ? Drew' le regarda s'occuper de lui en entourant un bandage autour de sa blessure. Mais, lui, il ne voulait pas s'occuper de son entaille, il voulait surtout savoir ce qui pouvait se dĂ©rouler dans la tĂȘte de son ami. Et, est-ce qu'il Ă©tait toujours son ami ? Je voulais pas le laisser rentrer, je te jure. Mais on a sonnĂ© Ă  la porte, et je pensais que c'Ă©tait toi. Je me suis pas mĂ©fiĂ© et j'ai ouvert...Je voulais pas coucher avec lui, je suis pas comme cela. Il m'a piĂ©gĂ© ! Il faut que tu me crois... » essaya de se justifier le garçon. AprĂšs avoir terminĂ© sa tache, Andrew pensait que Derek allait lui rĂ©pondre mais il prĂ©fĂ©ra quitter la chambre pour attraper son manteau, et en tirer un paquet de cigarette. Il n'allait pas partir ? Il n'allait pas le laisser comme cela ? Il le dĂ©testait ? Et, pour l'avoir suivit dans le salon, et jusqu'Ă  sa porte d'entrĂ©e, l'infirmier l'interpella. S'il te plaĂźt, regarde moi Derek ! Dis quelque chose, n'importe quoi ! Je suis pas comme Braddley m'a dĂ©peint, je te le jure...Ne me dĂ©testes pas... », mais la porte claqua quand mĂȘme, Sullivan se retrouva seul les larmes aux yeux et le cƓur en vrac. Ne me laisses pas... », mais ses mots lĂ , il Ă©tait trop tard pour que son ami les entendent. Il marcha lentement vers la cuisine, s'occupa d'arrĂȘter son plat qui mijotĂ©, sa surprise pourrait maintenant finir Ă  la poubelle maintenant. Mais, il n'avait pas la force de s'en occuper ce soir, le garçon ne voulait plus qu'une chose se coucher. Il laissa donc les casseroles et ses plats le temps d'une nuit. Drew' se traina avec difficultĂ© jusqu'Ă  son lit. Est-ce que son ami allait revenir ? C'est qu'il n'avait pas prit ses affaires, mais cela ne voulait rien dire. Est-ce qu'il devait l'attendre ?En tout cas, il n'avait plus envie de discuter, il passa par la salle de bain pour avaler plusieurs anti-douleurs et somnifĂšres, il clopina ensuite jusqu'Ă  sa chambre et roula sur les couvertures, sans se changer, sans se laver, tout cela attendrait demain. Sully' avait sa main sur le bandage qu'avait fait le grand brun, c'Ă©tait peut-ĂȘtre la derniĂšre chose qu'il ferrait pour lui ? Alors, jamais il ne le retirait...Les images de cette altercation tournĂšrent en boucle dans sa tĂȘte, les mots de Braddley cognant dans sa poitrine comme des placards. Son ex-amant avait raison ce n'Ă©tait qu'une pute, et pour les garçons comme lui, trouver l'amour Ă©tait impossible. Il n'avait plus qu'une chose Ă  faire, fermer les yeux, et sans vraiment contrĂŽler son propre corps, des larmes inondĂšrent son oreiller. Heureusement, le sommeil arriva plus rapidement que prĂ©vu grĂące aux mĂ©dicaments. Le noir recouvrit ses rĂȘves, le dĂ©sespoir remplaça tout ses espoirs en un seul instant. Tout ce qu'il avait pu imaginĂ© pour lui et Derek, s'envoleraient Ă  son rĂ©veil comme ses larmes qui auront sĂ©chĂ©es au premiĂšre lueur du jour... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Page 2 sur 2Aller Ă  la page 1, 2Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille RP terminĂ©s

ConcepciĂłnet Curanipe, du 23 fĂ©vrier au 4 mars 2019. ConcepciĂłn, un petit dinosaure pour la route, Dans trois jours, nous devons ĂȘtre Ă  Curanipe pour commencer un deuxiĂšme "woofing" (bĂ©nĂ©volat) ; cette fois dans une ferme qui produit des fraises bio. En regardant les liaisons de bus, j'ai un itinĂ©raire qui nous fait faire
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Jem'explique : la longueur de dos dĂ©termine la longueur de votre manteau, c'est donc Ă  vous de dĂ©terminer quelle longueur de manteau vous dĂ©sirez avoir. LARGEUR ÉPAULES Pour obtenir la largeur de vos Ă©paules, il faut partir de l'acromion (l'os pointu qui marque l'intersection entre votre Ă©paule et votre bras) d'un cĂŽtĂ© pour aller jusqu'Ă  l'acromion de l'autre
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois polonais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche pƂaszcz m kurtka f futro n sierƛci pƂaszczyk marynarkę sierƛć Coat Suggestions Personne ne payera pour votre manteau. Więc nikt panu nie zapƂaci za twĂłj pƂaszcz. DĂ©solĂ©e, c'est mon manteau. Przykro mi, ale to jest mĂłj pƂaszcz. Je pense que j'ai laissĂ© mon manteau dans la laverie. Myƛlę, ĆŒe zostawiƂam kurtkę w pralni. Chapeau blanc, manteau et jupe rose. BiaƂą czapkę, rĂłĆŒową kurtkę i spĂłdnicę. Regarde Jerry qui se pavane avec son manteau et son sac. Silvio, spĂłjrz na Jerry'go. Paraduje w tym futrze i w dodatku z torebką. Je suis curieuse Ă  propos de la demoiselle en manteau de Vison. Jestem ciekawa o damę w futrze z norek. Le shĂ©rif voudrait savoir Ă  qui appartenait ce manteau. Szeryf ma nadzieję, ĆŒe powie nam pan, czyj jest ten pƂaszcz, w ktĂłry byƂ pan ubrany. Chaussures, manteau, et un petit sac. Laisse-moi prendre un manteau, on y va. Wezmę tylko pƂaszcz i idę z tobą. Mais j'ai laissĂ© mon manteau, donc j'y suis. ChociaĆŒ zostawiƂem mĂłj pƂaszcz na krzeƛle więc myƛlą, ĆŒe tam ciągle jestem. Prends le manteau du monsieur et laisse les grands causer. WeĆș od pana pƂaszcz i daj dorosƂym porozmawiać. VoilĂ . Mettez mon manteau pour couvrir le sang. ZaĆ‚ĂłĆŒ mĂłj pƂaszcz, ĆŒeby zakryć krew. Oh non, Dib, pas le manteau. Kurczę, Dibie, tylko nie pƂaszcz. Alors prends ton manteau, on doit faire vite. To Ƃap pƂaszcz, bo czas ucieka. Je devrais t'acheter un manteau vert, en chemin. Po drodze kupię ci zielony pƂaszcz. Si vous avez un lymphome des cellules du manteau et des problĂšmes de foie. Jeƛli u pacjenta występuje chƂoniak z komĂłrek pƂaszcza i problemy z wątrobą. Ce manteau coĂ»te une fortune, mais il vaut son prix. Ten pƂaszcz kosztuje majątek, ale jest wart swojej ceny. Ce manteau n'est pas Ă  vendre. Ten pƂaszcz, nie jest na sprzedaĆŒ. Si sĂ©rieusement qu'elle refuse de me vendre ce manteau. Tak bardzo, ĆŒe nie pozwala mi kupić tego pƂaszcza. Ce manteau n'est pas Ă  vendre. PƂaszcz nie jest na sprzedaĆŒ i nie moĆŒe zostać kupiony. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. Suggestions qui contiennent manteau RĂ©sultats 3001. Exacts 3001. Temps Ă©coulĂ© 119 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200
LidĂ©e est simple : vous dĂ©posez sur un cintre le manteau que vous voulez donner et celui qui en a besoin le prend. C’est rapide et sans intermĂ©diaire. “Cette idĂ©e toute simple s’est rĂ©pandue partout en Hongrie”, explique Andrea Hayagos, notre correspondante “Plus de cent lieux comme celui-ci ont vu le jour et plusieurs milliers de manteaux ont dĂ©jĂ  trouvĂ© un ï»żCarte interactive Ă  visualiser sur le blog C’est trĂšs compliquĂ© de satisfaire toute une... Carte Ă  visualiser sur le blog. Trajet trĂšs court, passage de frontiĂšre, arrivĂ©e sur... Ou plutĂŽt Sarrebourg-Strasbourg! Carte Ă  visualiser sur le blog. Avec la pluie, les nuits... Quelques jours passĂ©s dans la Meuse Ă  l’occasion du centenaire de la bataille de... Quand on trouve du rĂ©seau mobile suffisant pour l’utiliser, l’appli Park4night est trĂšs utile... Carte Ă  visualiser sur le blog. L’un des avantages principaux du camping-car, en basse... En ce jour de visite de la maison natale de la Pucelle Jeanne qui... Carte Ă  visualiser sur le blog. Difficile d’illustrer ce post avec une photo car... Carte Ă  visualiser sur le blog. PremiĂšre Ă©tape de notre voyage initiatique en maison... 1916-2016, Centenaire de la Bataille de Verdun. Une visite en Lorraine s’imposait donc pour...
PuisQuel type de manteau est le plus chaud ? Les manteaux en duvet sont chers mais ce sont les plus chauds et les plus durables. Le duvet est l’isolant par excellence. En gĂ©nĂ©ral, on recommande 80 % de duvet et 80 % de plumes. Par contre, une fois mouillĂ©, le duvet isole moins bien et prend du temps Ă  sĂ©cher.

Dans le train, on s’aperçoit que notre guide central Europe » ne comprend pas l’Italie
tant pis, on fera sans guide, laissons nous porter!! Face Ă  la gare de Trieste se trouve la gare routiĂšre et un quartier dĂ©saffectĂ© d’anciens docks, de la grande Ă©poque du port dynamique
 Aujourd’hui, les diffĂ©rents services mairie, rĂ©gion
 sont en contentieux sur l’avenir de cet espace aux multiples possibilitĂ©s
 On profite du dĂ©but d’aprĂšs-midi pour faire une attraction touristique le tram di Opicina. C’est un trajet mixte tramway et funiculaire lorsque la pente est trop raide jusqu’à 26% quand mĂȘme
. Dans un wagon avec bancs en bois, on profite pour 1,35€/personne, enfant de moins d’un mĂštregratuit d’un panorama Ă  couper le souffle sur le golfe de Trieste. On peut s’arrĂȘter Ă  chaque arrĂȘt, se balader possibilitĂ© de rejoindre des chemins de randonnĂ©e et reprendre le tram. Le billet est normalement valable 60 minutes mais personne n’a contrĂŽlĂ© les nĂŽtres! Au terminus, un bar avec quelques siĂšges Ă  l’ombre pour manger des glaces!! Le lendemain, nous avons profitĂ© de la fraĂźcheur matinale lol pour nous balader en centre-ville, croiser des grenouilles dans le grand canal
 Écouter les canons de Pachelbel devant l’Eglise de Sant’Antonio en attendant la sortie de la messe
. Admirer l’architecture d’une Ă©glise orthodoxe serbe
 Et entreprendre la montĂ©e jusqu’au Castello di San Giusto par l’escalier des gĂ©ants!! En redescendant, petit arrĂȘt devant l’arc de Ricardo, Piazza del Barbacan, porte romaine construite par Auguste au Ier siĂšcle
.je vous rappelle quand mĂȘme qu’Octave Auguste est le premier empereur de Rome
 DeuxiĂšme partie de la visite on a un guide!! Enfin, UNE guide!! On a retrouvĂ© ma copine Anna, que je connais depuis nos annĂ©es prĂ©pa Ă  Massena. Anna vit Ă  Trieste depuis plusieurs annĂ©es et elle propose de nous restaurer dans une Osmiza. C’est une maison de particuliers qui accueille Ă  certaine pĂ©riode de l’annĂ©e des gens pour manger des produits cultivĂ©s par leurs soins!! C’est trĂšs allĂ©chant et les enfants adorent l’idĂ©e du jeu de piste! On trouve ce type de maison sur le plateau karstique qui domine Trieste, dans des villages oĂč s’est regroupĂ© la communautĂ© slovĂšne! D’ailleurs, le menu est bilingue!! On les retrouve grĂące Ă  des flĂšches rouges et une branche d’arbuste placĂ©e tĂȘte en bas!! On se retrouve au paradis terrestre, Ă  l’ombre d’un magnolia, avec une vue imprenable sur le golfe
 On se rĂ©gale de vin de la maison les vignes sont sur le cĂŽtĂ©, de plateaux de charcuterie et de fromage, de pain maison et de pĂȘches au vin
 Bref, un endroit que l’on quitte Ă  regret! Le soir, certains viennent avec guitare et accordĂ©on
 On y accĂšde en voiture, ou en bus mais c’est plus compliqué  Direction le formagino ou petit fromage, Ă©glise catholique de Ste Marie MĂšre et Reine, construite dans les annĂ©es 1950 en surplomb de la ville, et qui a la forme du parmesan d’oĂč son nom
!! À l’intĂ©rieur se dĂ©roule une cĂ©rĂ©monie pour les saints slovĂšnes, Cyrille et MĂ©thode. On en profite pour Ă©couter l’immense orgue qui trĂŽne au 2Ăšme Ă©tage! Depuis la terrasse, magnifique vue sur trois pays
.Admirez! On se laisse encore conduire jusqu’au chĂąteau Miramare, au bord de l’eau
rĂ©sidence d’étĂ© de la famille impĂ©riale autrichienne
 Le chĂąteau est entourĂ© d’une rĂ©serve marine oĂč l’on peut apercevoir des cormorans! On se dit que Sissi devait ĂȘtre bien ici
. AprĂšs cette journĂ©e riche en dĂ©couvertes, rien de tel qu’une bonne biĂšre fraĂźche face au coucher de soleil
 Il y a peu de plages » Ă  Trieste mais les habitants squattent les trottoirs de la longue avenue qui va Ă  Miramare et sautent directement depuis les rochers
ou descendent par les quelques escaliers installĂ©s Ă  cet effet! Les Triestins sont super bien Ă©quipĂ©s, c’est impressionnant!! GlaciĂšre, transats, natte de plage
tout ça sur le trottoir dans une bonne ambiance!! On en profite pour se tremper les pieds dans l’Adriatique
 et les enfants trouvent d’autres enfants pour jouer au ballon et aux raquettes
langage des signes obligatoire!! Le long de l’avenue, plusieurs bars se succĂšdent mais Anna nous emmĂšne dans la pinĂšde, dans une barraca » qu’elle connaĂźt!! Le soleil se couche, il fait presque 30*C, il y a de la bonne musique
voilĂ !! On serait restĂ© lĂ  jusqu’à trĂšs tard
 Mais les Mini routards doivent se coucher
 Merci Anna pour cette magnifique journĂ©e qui nous a donnĂ© trĂšs envie de revenir Ă  Trieste
.!!!

Jai mis une semaine environ. Je ne me suis pas mise la pression et je suis allĂ©e Ă  mon rythme. J’avoue, j’étais un peu le nez dans le guidon car j’avais trĂšs envie de le voir fini. Mais ce n’est pas une course. En plus, ce n’est clairement pas le moment de mettre un manteau, ici on est encore aux 20 degrĂ©s la journĂ©e.
Agon-Coutainville // Juillet 2020Choix de papiers / SatinĂ© Tirage Fine Art sur papier HahnemĂŒhle barytĂ© 315g/ Mat Tirage Fine Art HahnemĂŒhle 305gChoix du format / S image 20 x 30 cm et Passe-Partout 30 x 40 cm/ M image 24 x 36 cm et Passe-Partout 40 x 50 cmPour d’autres formats, veuillez me contacter par / Cadre Premium Aluminium brossĂ© noir Ă©paisseur 19mm/ Cadre Bois Noir Ă©paisseur 30mm/ Cadre Bois Naturel Ă©paisseur 30mm/ Avec Passe-Partout prĂȘt Ă  encadrerFabriquĂ© en France Finition Cadre Bois Noir Bois naturel Alu noir Sans Cadre
Ouije prends soin de vous car un lecteur malade est un lecteur qui reste chez lui et qui va sur le PC. bon ok tombez malade. Peau d’ours en guise de manteau. Je vous rassure, il ne s’agit pas d’une vĂ©ritable peau d’ours mais bien d’une imitation : Fun n’est-ce pas ? Il a l’air trop doux en plus, comment ne pas craquer ? Bon
Du 30 juin au 7 juillet 2018. Le vol entre Hong-Kong et HanoĂŻ est passĂ© trĂšs vite deux petites heures. C’est frais et dispos que l’on s’approche du comptoir de l’immigration Ă  l’aĂ©roport d’HanoĂŻ. A notre gauche une Ă©norme file d’attente occupe tout l’espace. C’est le comptoir qui dĂ©livre les visas. Nous, on a prĂ©vu le coup, on a obtenu un visa de 30 jours par internet. C’est le mĂȘme prix et ça nous permet de passer tranquillement devant le douanier sans avoir Ă  attendre. Sur ce coup lĂ , on n’est pas peu fier de nous. On a dĂ©cidĂ© de rester 6 jours Ă  HanoĂŻ et en plus on a pris un hĂŽtel plus haut de gamme que d’habitude cadeaux d’anniversaires
. Dans le Lonely, ils recommandent fortement de passer par l’hĂŽtel pour rĂ©server un taxi car les arnaques seraient trĂšs nombreuses Ă  l’aĂ©roport. Le ton est donnĂ©. C’est ce que l’on fait et Ă  la sortie de l’aĂ©roport, notre chauffeur nous attend avec un Ă©criteau. Sur la route, on a eu le temps de se rendre compte que l’ambiance est trĂšs diffĂ©rente ici ; des scooters par milliers, pas un seul gratte-ciel. On arrive ainsi Ă  l’hĂŽtel situĂ© en plein centre touristique d’HanoĂŻ dans une ruelle aussi Ă©troite que bondĂ©e. L’accueil est des plus chaleureux, cocktail de bienvenue et assiette de fruits nous sont servis pendant que la gĂ©rante nous prĂ©pare la facture. C’est un peu plus tard, une fois installĂ©e dans la chambre que le drame survient. Je me rends compte que le taux de conversion utilisĂ© par l’hĂŽtel est complĂštement fantaisiste et largement Ă  leur avantage. Je trouve d’ailleurs la facture qu’un client a laissĂ© dans la chambre ; et lui aussi s’est fait facturĂ© plus que prĂ©vu. Pour nous, c’est 6 nuits achetĂ©es, 1 Ă  payer en plus ; drĂŽle de promotion
 Je demande Ă  la rĂ©ception le remboursement mais apparemment un mystĂ©rieux grand chef, absent pour une longue pĂ©riode, refuserait. Ça sent l’arnaque Ă  plein nez et on est au Vietnam depuis Ă  peine une heure. Je mets quelques heures minutes Ă  dĂ©colĂ©rer. MĂȘme si la sensation d’ĂȘtre accueillie de cette maniĂšre est trĂšs dĂ©sagrĂ©able, je finis par relativiser, avec l’aide de François qui en avait marre de me voir faire la tĂȘte, en me disant que Booking m’aidera Ă  obtenir un remboursement. Deux mois plus tard et des dizaines de mail plus tard, j’attends encore. Bref, l’hĂŽtel est bien placĂ©, on a envie de partir dĂ©couvrir la ville. C’est sans compter sur la chaleur insupportable en journĂ©e du style 40 degrĂ©s Ă  l’ombre. On n’a pas eu de chance de ce cĂŽtĂ© car aux infos ils expliquent qu’une vague de chaleur s’abat sur le pays. Il a donc fallu adapter notre rythme de visite aux tempĂ©ratures. La journĂ©e, on reste volontiers dans la fraĂźcheur de l’hĂŽtel pour ne sortir qu’en fin de journĂ©e, et lĂ  encore il fait quand mĂȘme trĂšs chaud. Ces essaims de scooters sont usant pour le piĂ©ton dessĂ©chĂ© par le soleil
 HanoĂŻ est une vĂ©ritable fourmiliĂšre. Des milliers de scooters se frayent un chemin dans les rues Ă©troites de la vieille ville. Ici les trottoirs ont beaucoup de fonctions sauf celle de permettre aux piĂ©tons de circuler. François et sa souplesse ont adorĂ© ces petits tabourets 😉 Scooters, restaurants de rue, magasins, nous sommes bien souvent obligĂ©s de marcher sur la route. Traverser est aussi une vraie gageure. Point, ou peu, de feus rouges et des passages piĂ©tons complĂštement bafouĂ©s. Si comme moi vous ĂȘtes plutĂŽt craintif en terme de sĂ©curitĂ© routiĂšre, une seule solution, vous laissez guider par une personne plus dĂ©gourdie, en l’occurrence François qui a trĂšs vite maĂźtrisĂ© le slalome entre les scooters mĂȘme s’il s’est arrachĂ© les cheveux Ă  plusieurs reprises voyant des scooters prĂ©fĂ©rant faire une embardĂ© dangereuse plutĂŽt que de poser pied Ă  terre. Le plus important est de sauter au moment de l’impact », disait-il
 Petit moment de dĂ©tente sur un trottoir sans scooter
 Le simple fait d’aller manger dans un des restaurants, que nous avions repĂ©rĂ©s au prĂ©alable dans les blog, Ă©tait une expĂ©dition. Heureusement Ă  HanoĂŻ, on a trĂšs bien mangĂ©. DĂšs le premier soir on dĂ©couvre ravis, le Bun Bo. Ce dĂ©licieux plat est une soupe vietnamienne de vermicelles de riz au bƓuf sautĂ©, accompagnĂ© de soja, d’herbes et de cacahuĂštes. Au fil de la semaine, on poursuit notre dĂ©couverte avec les Banh mi, petit sandwich trĂšs bon marchĂ©, trĂšs goĂ»teux. C’est le sandwich vietnamien d’inspiration française qui vous permet de manger pour moins d’un euro
 Les Bun Cha soupe aux vermicelles de riz au porc grillĂ©, accompagnĂ© de bouillon de lĂ©gumes et tous les autres mets que nous propose le pays, ont agrĂ©mentĂ©s notre semaine. Il Ă©tait tant, aprĂšs un mois en Chine
 MĂȘme le cafĂ© est bon et pas cher, on profite pleinement on vous rappelle qu’en Chine le marchĂ© du cafĂ© ne marche pas trĂšs fort. Le lait de maĂŻs, ma nouvelle passion ! En plus, au grand dĂ©sespoir de François les siĂšges sont vraiment trĂšs bas au Vietnam et quand on a une hanche rebelle, ce n’est pas Ă©vident. On a dĂ©couvert une autre spĂ©cialitĂ© bon marchĂ© du Vietnam, les massages. On a profitĂ© de la canicule pour prendre le temps d’en profiter. Dans notre rue, on a dĂ©couvert un institut vraiment pas mal du tout. La spĂ©cificitĂ© de cet endroit est qu’il emploie des masseurs non-voyants. François y testera le premier massage de sa vie. Test rĂ©ussi, puisqu’il y retournera deux jours plus tard. Mais je vous rassure, on a quand mĂȘme trouvĂ© l’énergie pour faire quelques visites. On a adorĂ© la vieille cathĂ©drale Saint-Joseph d’HanoĂŻ qui, le soir venu, est le lieu de priĂšres collectives. La cathĂ©drale Saint-Joseph d’HanoĂŻ. La ferveur qui y rĂšgne nous a saisi. Les manifestations religieuses sont trĂšs frĂ©quentes Ă  la cathĂ©drale Saint-Joseph Mais la cathĂ©drale, n’est pas le seul lieu de dĂ©votion Ă  HanoĂŻ. Un bon matin, Ă  l’aube, nous sommes partis vaillamment visiter le mausolĂ©e d’Ho Chi Minh. AprĂšs une marche d’une heure sous un soleil Ă©crasant, nous arrivons sur le lieu de pĂšlerinage. On avait hĂąte de dĂ©couvrir cet endroit parce le Lonely nous expliquait qu’on allait y croiser des Vietnamiens Ă©mus de rendre hommage Ă  leur ancien leader. Seulement voilĂ , aux abords du mausolĂ©e, point d’entrĂ©e en vue. On suit la foule et nous nous retrouvons dans le musĂ©e Ho Chi Minh. Y sont reconstituĂ©s la maison d’enfance de l’oncle Ho, sa maison d’adulte, son bureau de travail
. Mais nous passons rapidement car le mausolĂ©e ferme bientĂŽt et nous, c’est le mausolĂ©e que l’on veut voir en prioritĂ©. Oui mais voilĂ , une fois sortis, toujours pas d’entrĂ©e du MausolĂ©e. Il faut bien se faire Ă  l’idĂ©e, le mausolĂ©e est bel et bien fermĂ© et on ne nous laisse pas retourner dans le musĂ©e Ho Chi Minh. Échec sur toute la ligne, on retourne penaud et assommĂ© par la chaleur vers notre hĂŽtel. Il faut savoir que l’oncle Ho va en vacance en Russie de tant en tant pour se refaire une petite beautĂ©. On a dĂ» lui rendre visite au mauvais moment
 On aura vu le mausolĂ©e de l’extĂ©rieur
 C’est dĂ©jĂ  ça
 En chemin, on s’est rattrapĂ© en allant visiter la prison dans laquelle les Français dĂ©tenaient les nationalistes vietnamiens pendant la colonisation. Plus tard, c’est lĂ  que les Vietnamiens ont dĂ©tenu les pilotes amĂ©ricains fait prisonniers pendant la guerre du Vietnam. Concernant la pĂ©riode française, le musĂ©e dĂ©peint les conditions de dĂ©tentions extrĂȘmement dures et les tortures infligĂ©es aux prisonniers par les autoritĂ©s françaises. Aux murs, des courriers de l’administration pĂ©nitentiaire française tĂ©moignent de ces sombres heures de l’Histoire de France. Les diffĂ©rents directeurs de l’établissement y font l’inventaire des mesures coercitives mises en place contre les prisonniers. Une SPIP ne peut s’empĂȘcher de visiter des prisons
 Ces documents m’ont semblĂ© d’autant plus troublants que, des dĂ©cennies plus tard, la mise en page des courriers de cette administration, que je connais bien, n’a pas beaucoup changĂ©. La partie sur les conditions de dĂ©tention des pilotes amĂ©ricains m’a laissĂ© plus songeuse. On y voit les pilotes faire du sport, prĂ©parer une dinde pour NoĂ«l, faire le sapin de noĂ«l, se faire soigner par des mĂ©decins locaux et tout un tas d’autres activitĂ©s les plus agrĂ©ables les unes que les autres. Ça ressemble presque au programme d’une colonie de vacances. En sortant, on a fortement soupçonnĂ© les responsables du musĂ©e de ne pas ĂȘtre parfaitement objectifs sur cette Ă©poque prĂ©cise. En tout cas, la visite nous a bien plu pour la partie française ». En fin d’aprĂšs-midi, nous nous sommes rendus au cĂ©lĂšbre pont Long BiĂȘn d’HanoĂŻ en passant par les rails qui traversent des rues trĂšs Ă©troites, obligeant les trains Ă  frĂŽler les habitations. Il n’y a pas des trains tous les 5 minutes
 Mais c’est impressionnant ! Le pont Long BiĂȘn d’HanoĂŻ ! Nous avons quittĂ© pour la premier fois le centre touristique. Nous ne nous sommes pas forcĂ©ment sentis Ă  l’aise dans ces ruelles marquĂ©es par la pauvretĂ©. Et François qui voulait traverser le pont Ă  pied en disant qu’il n’y aurait pas de train Ă  cette heure là
 Le dernier jour, François dĂ©cide de braver seul des tempĂ©ratures assommantes pour aller visiter la citadelle. Site classĂ© au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2010, la citadelle d’HanoĂŻ est vendue comme l’un des plus beaux monuments de la capitale vietnamienne. Il semble avoir prĂ©fĂ©rĂ© la visite au bĂątiment militaire D67 qui abrite des bunkers situĂ©s au cƓur des cet Ă©difice millĂ©naire. Ceux-ci servirent de quartier gĂ©nĂ©ral de l’ArmĂ©e populaire vietnamienne jusqu’à la fin de la guerre en 1975. La fraĂźcheur des bunkers
 En chemin, il rencontre ce gros fruit. Un dĂ©but de passion pour les fruits asiatiques est nĂ© en lui
 Il vous en parlera plus tard. ??? La nuit Ă  HanoĂŻ Le soir, la chaleur tombant, nous en profitions pour nous promener dans tout le centre. La traversĂ©e de la rue de la biĂšre nous a beaucoup amusĂ©. Elle est envahie de rabatteurs particuliĂšrement insistants qui, sortant de nul part, vous encerclent pour ne plus vous lĂącher. On se croirait dans une scĂšne de film de zombies. Il faut jouer des coudes pour traverser la Beer Street 😉 Dommage, on se serait bien installĂ© sur un des milliers de minuscules tabourets qui occupent la rue pour y boire une biĂšre, mais la pression des rabatteurs et des vendeurs en tout genre nous en a dissuadĂ©. Se promener autour du lac Hoan Kiem paraĂźt plus calme mais attention une fois encore aux arnaques. Le site du ministĂšre des affaires Ă©trangĂšres le mentionnait, des jeunes gens vous y abordent en expliquant qu’ils veulent pratiquer leur anglais avec vous. Le site explique qu’ensuite ils vous emmĂšnent dans un bar qui vous applique des tarifs exorbitants. Et c’est vrai qu’on s’est fait abordĂ©s plusieurs fois. Arnaque ou pas, nous ne le saurons jamais, nous avons dĂ©clinĂ© les demandes des jeunes vietnamiens. Le lac Hoan Kiem, un peu de fraĂźcheur dans cette chaleur Ă©touffante
 On a dĂ©cidĂ© de nous rendre dans la baie d’Halong aprĂšs HanoĂŻ mais pas facile car les transports publics ne sont pas pratiques, les gares sont excentrĂ©es et on nous a prĂ©venus dans les bus, comme dans les taxis, les arnaques sont monnaie courante. On ne peut pas demander Ă  notre hĂŽtel en qui nous n’avons absolument pas confiance. On trouve finalement une auberge de jeunesse qui comme la plupart des hĂŽtel propose des transports. Notre car nous prend Ă  notre hĂŽtel et nous dĂ©pose dans la ville de Bai Chay. Ça promet de belles aventures ! Dernier soir, France-Uruguay. Le dernier soir avant de quitter Hanoi, on change d’hĂŽtel sans arnaque cette fois et on trouve un tout petit bar pour regarder le quart de finale en compagnie d’un client s’endormant sur l’épaule de François et du patron. François on ne passera jamais les quarts avec cette Ă©quipe lĂ  » Et les Vietnamiens dans tout ça ? On avait beau venir de Chine, c’est Ă  notre arrivĂ©e au Vietnam que nous avons connu notre premier vrai choc culturel du voyage. DĂšs le premier jour, les relations avec les Vietnamiens nous ont dĂ©contenancĂ©s. L’accueil dans les restaurants et dans les magasins a Ă©tĂ© parfois froid. AprĂšs notre expĂ©rience Ă  l’hĂŽtel, notre crainte de se faire arnaquer nous a surement empĂȘcher d’ĂȘtre dĂ©tendus ; d’autant que rĂ©guliĂšrement nous nous sommes aperçus que les additions Ă©taient lĂ©gĂšrement gonflĂ©es 3 fois sur les 4 premiers repas. A chaque fois ce ne sont que de petites sommes en jeu, rien de bien mĂ©chant, mais si je suis parfaitement honnĂȘte, ces pratiques ont un peu terni l’image que j’ai du Vietnam. On quitte donc HanoĂŻ en espĂ©rant que la suite du voyage sera plus facile. Avec un peu de recul, mon rĂ©cit reste peut-ĂȘtre un peu nĂ©gatif, mais au final, nous sommes contents d’avoir visitĂ© cette ville aussi dĂ©routante que dĂ©paysante. DĂ©jĂ  2 mois que nous sommes partis
 EBM 57Followers, 73 Following, 16 Posts - See Instagram photos and videos from Prends Ton Manteau, On S'en Va (@onsenvaprendstonmanteau) *************************************************************** *************************************************************** Ce film avait pour contrainte d’ĂȘtre un cinĂ©-concert, le groupe a donc pensĂ© une mise en scĂšne qu’on ne voit pas dans cette vidĂ©o. Le son lors de la projection a Ă©tĂ© enregistrĂ© puis rajouter sur cette vidĂ©o. *************************************************************** *************************************************************** Allez viens on fait des films en 48h ! Rendez vous Ă  Lexos, pas en GrĂšce, mais dans le Tarn et Garonne ! Rendez-vous vendredi 17 juin 2022 Ă  18h pour faire des Ă©quipes, dĂ©couvrir le thĂšme "Tout part Ă  vau-l’eau, prends ton manteaux, on s’en va" et les contraintes par groupe puis Ă©crire, tourner et monter un film en 48h ! On finit le weekend en regardant nos films le dimanche soir Ă  19h autour d’un verre et d’une petite restauration !— - Un Kino c’est quoi ? En 24h, 48h ou une semaine, plusieurs groupes de personnes, amateurs, passionnĂ©s, novices ou professionnels de l’image, se rĂ©unissent, Ă©crivent, tournent et montent un court mĂ©trage diffusĂ© Ă  la fin de la session.— - Vous voulez participer Ă  celui de l’an prochain, contactez nous !

Bonjour J’adore ton manteau rouge et blanc j crew. Je le cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment. J’ai vu qu’ils le font encore en rouge mĂȘme si je prĂ©fĂšre le tien! (Ta photo sous la neige est superbe!) Peux tu me dire quelle taille as-tu? Je pense avoir la mĂȘme morphologie que toi. Je prends en gĂ©nĂ©ral du 36 en manteau. Merci pour ta rĂ©ponse

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 On a dĂ©cidĂ© de rester 6 nuits au bord de la mer du Japon, histoire de souffler avant d’attaquer la Chine et de profiter de cette ville qui nous rappelle d’emblĂ©e notre chĂšre citĂ© ocĂ©ane. Une fois installĂ©s et le soleil revenu, nous partons dĂ©couvrir cette ville que je souhaitais visiter depuis si longtemps. Une premiĂšre diffĂ©rence avec le reste de la SibĂ©rie nous saute aux yeux les touristes ! Il y en a plein dans le centre et en grande majoritĂ© des CorĂ©ens. Ils sont nombreux, se prennent en selfie en permanence et peuvent vous organiser des chorĂ©graphies Ă  tous moments. Quand on n’est pas habituĂ© ça peut surprendre ! Une autre diffĂ©rence de taille, ici, il y a la mer et mĂȘme une promenade bordĂ©e de bars et de restaurants. On prendra vite l’habitude de regarder le coucher de soleil en prenant un verre au bord de l’eau. C’est presque aussi bien qu’au Havre
 Le soir, le rivage s’anime
 On a beaucoup marchĂ© pendant notre sĂ©jour Ă  Vladivostok. La ville est Ă©tendue et en pleine Ă©volution comme en tĂ©moignent les nombreux immeubles en constructions et notre visite sur le plus point de vue de la ville nous l’a confirmĂ©. Point de vue sur la rade de Vladivostok Notre moment le plus fort a Ă©tĂ© la soirĂ©e que nous avons passĂ©e Ă  l’opĂ©ra de Vladivostok pour y voir le ballet » la Belle au bois dormant ». Le bĂątiment, neuf, est somptueux et voir un ballet en Russie est toujours une aventure en soi. En plus, les prix sont variables en fonction de la place ; on n’a pas Ă©tĂ© obligĂ© de se ruiner. AprĂšs le spectacle, le bus nous ramĂšne en centre ville en passant par le pont principal, ce qui nous permet d’admirer les grattes-ciels illuminĂ©s. Autre visite, autre ambiance, un ancien sous-marin a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© en musĂ©e. Une partie a Ă©tĂ© laissĂ© dans son Ă©tat d’origine ce qui permet d’imaginer la vie des sous-mariniers. Vladivostok Ă©tant l’un des principal et rare port russe ; le port est rempli de bateaux militaires et de portes conteneurs ça nous a fait un bien fou d’en revoir. A Vladivostok, les touristes asiatiques ne sont jamais bien loin du cadre
 François s’est aussi lancĂ© dans une randonnĂ©e de 15 km pour atteindre le phare d’Egersheld, postĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© de la ville. Le phare d’Egersheld fondĂ© en 1876, est un des phare les plus vieux de l’ExtrĂȘme-Orient. Le phare d’Egersheld Six jours dans une mĂȘme ville, cela nous a permis de reprendre de petites habitudes. Celle de prendre des verres en bord de mer Ă©videmment, mais nous avons aussi dĂ©couvert une chaĂźne de resto chinoise qui nous a permis de se mettre en condition pour le pays d’aprĂšs. Enfin ça c’était ce que l’on croyait avant de dĂ©couvrir la vraie nourriture chinoise
 Nous avons adorĂ© Vladivostok, mĂȘme si c’est la ville qui nous a paru la moins russe de SibĂ©rie. Elle nous a fait pensĂ© au Havre mais aussi un peu Ă  l’AmĂ©rique du Nord. Nous n’avons pas regrettĂ© d’y ĂȘtre restĂ©s aussi longtemps. Notre Petite Rade nous manque souvent, mais on arrive Ă  y remĂ©dier
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ConcepciĂłn et Curanipe, du 23 fĂ©vrier au 4 mars 2019. ConcepciĂłn, un petit dinosaure pour la route, Dans trois jours, nous devons ĂȘtre Ă  Curanipe pour commencer un deuxiĂšme woofing » bĂ©nĂ©volat ; cette fois dans une ferme qui produit des fraises bio. En regardant les liaisons de bus, j’ai un itinĂ©raire qui nous fait faire escale deux jours Ă  ConcepciĂłn, une grande ville situĂ©e dans le centre du Chili. Castro-ConcepciĂłn, il y a dix heures de route. Le bus partant Ă  5h30, nous passons nos premiĂšres heures de trajet Ă  dormir. C’est vers midi que, nous estomacs criant famine, nous commençons Ă  nous demander quand aura lieu le prochain arrĂȘt pour manger. La rĂ©ponse est jamais »  C’est un mystĂšre que nous n’avons jamais Ă©lucidĂ© en AmĂ©rique du Sud ; certains bus s’arrĂȘtent pour vous laissez manger ou servent carrĂ©ment de la nourriture, d’autres ne font rien de tout cela. Impossible de savoir Ă  l’avance. Vous n’ĂȘtes jamais sĂ»rs de pouvoir manger pendant le trajet. C’est donc affamĂ©s et crevĂ©s que nous arrivons dans la trĂšs non-touristique ville de ConcepciĂłn. Elle a quasiment 500 ans, un for bel Ăąge. Mais ça ne se voit pas du tout car les tremblements de terre, trĂšs courants dans le coin, l’ont dĂ©truite Ă  plusieurs reprises. Le seul taxi prĂ©sent Ă  la gare nous amĂšne sans encombre dans la rue piĂ©tonne oĂč se trouve notre hĂŽtel. A peine les sacs jetĂ©s dans la chambre, nous nous prĂ©cipitons vers la rue des restaurants et engloutissons une Ă©norme pizza avec une biĂšre. Note Ă  nous mĂȘme toujours prendre Ă  manger quand on fait un trajet en bus en AmĂ©rique du Sud. Le lendemain, un dimanche, est notre seule journĂ©e sur place. Cela semble suffisant pour parcourir cette ville dont les principaux arguments touristiques que nous avons trouvĂ©s sont les quelques dinosaures qui ont Ă©tĂ© Ă©rigĂ©s dans un parc pour enfants. Et vu que nous sommes toujours de grands enfants
 Bouuhh ! ou plutĂŽt Grrrr ! Au final, nous passons une journĂ©e calme et agrĂ©able, Ă  profiter d’un autre aspect du Chili. JournĂ©e tranquille
 A part les goĂ©lands qui Ă©taient quand mĂȘme de grande taille
 Une journĂ©e intense, Pour rejoindre Curanipe, qui est une petite ville cĂŽtiĂšre, il nous d’abord atteindre la ville de Talca et changer de bus. Au Chili, les bus sont souvent luxueux. Bien souvent on a mĂȘme un wifi gratuit Ă  bord. Le temps passe quand mĂȘme plus vite, quand il fonctionne
 AprĂšs 3h30 de trajet de bus nous arrivons ; c’est alors une cohue sans nom qui nous assaille. Il y a des gens partout, des bus partout, l’endroit Ă  l’air d’ĂȘtre un nƓud de transport important. Nous trouvons finalement une cafĂ©tĂ©ria un peu au clame et dĂ©gustons un plat bien gras Ă  la Chilienne. François me fait remarquer la prĂ©sence d’un VRP de Coca Cola au comptoir
 Ces derniers sont vraiment partout dans ce pays. Nous reprenons la route aprĂšs deux heures de pause Ă  Talca. Encore 3h30 et nous voilĂ  enfin arrivĂ©s Ă  Curanipe. La petite ville est vraiment mignonne. Ici l’ambiance est celle d’une station balnĂ©aire. AprĂšs une heure d’attente sur la petite place centrale, Jorge, notre logeur, arrive enfin au point de rendez-vous. C’est toujours une drĂŽle de sensation de commencer un woofing ». Parce qu’aller vivre chez des inconnus, c’est toujours un pari. Jorge a un pick-up. Je monte devant avec lui et François se retrouve dans le coffre pour les 15 km qu’il nous reste Ă  faire. C’est parti pour une derniĂšre demi-heure de trajet
 Une Ă©trange arrivĂ©e, En arrivant dans la maison de bois, flambant neuve, de Jorge, Gabriela et la petite Mathilda de 5 mois, nous faisons la connaissance de Sabrina et Max, un couple Franco-Suisse qui vient de passer une semaine de bĂ©nĂ©volat. C’est leur derniĂšre soirĂ©e, ils doivent repartir demain. Et mĂȘme s’ils ne nous disent rien, nous sentons directement un certain malaise ambiant. Jorge et Gabi nous expliquent le fonctionnement de la maison, en insistant sur certains points. On les sent un peu tendus ; tout cela nous met la pression. Nous nous mettons Ă  table tous les quatre ; Jorge et Gabi eux s’affairent dans la maison sans s’assoir avec nous. On est un peu Ă©tonnĂ©s de cette entrĂ©e en matiĂšre, car le concept du woofing » repose principalement sur l’échange. Et comment dire
 le menu nous a semblĂ© trĂšs, trĂšs lĂ©ger. Une banane, quelques fraises pour quatre adultes et un bout de pain avec du pĂątĂ© chacun. Lorsque nous allons nous coucher, nous nous sentons un peu mal. Par contre, en allant rejoindre la tente dans laquelle nous dormons, nous dĂ©couvrons un magnifique ciel Ă©toilĂ©. Je n’avais jamais rien vu de tel mĂȘme en NZ. On aperçoit la voie lactĂ©e, c’est magique mĂȘme si François dit qu’il a dĂ©jĂ  vu la voie lactĂ©e Ă  Saint-Pierre-en-Port. AprĂšs une nuit glaciale, le rĂ©veil est rude. Le petit dĂ©jeuner est lui aussi trĂšs lĂ©ger. Sabrina et Max, qui ont dĂ©cidĂ© de descendre en Patagonie en stop, sont dĂ©jĂ  partis. Dans quelques semaines nous les croiserons au PĂ©rou pour un petit dĂ©briefing de toutes nos aventures. Nous leur souhaitons bon vent, eux qui sont toujours en voyage
 Pour cette premiĂšre journĂ©e de travail, Gabi nous emmĂšne dans une cabane oĂč nous passerons les cinq heures Ă  venir, tous les deux François et moi, Ă  couper des fraises. On en mangerait bien quelques-unes ? Non ? Qu’est-ce que tu en penses ? Pour ĂȘtre honnĂȘtes, Ă  ce moment, nous nous sentons un peu plus dĂ©sappointĂ©s. Ca ne nous dĂ©range pas de travailler, nous sommes venus pour ça, mais nous comprenons vite que nous remplaçons la main d’oeuvre que Jorge ne peut payer. Le midi, nous mangeons en tĂȘte Ă  tĂȘte avec Gabi. Jorge est dĂ©bordĂ© de travail, il est parti livrer des fraises Ă  ConcepciĂłn, ça lui prend toute la journĂ©e. L’aprĂšs-midi Ă©tant libre, nous partons dĂ©couvrir la plage situĂ©e Ă  un petit kilomĂštre. Elle est magnifique, dĂ©serte, ensoleillĂ©e. Point question de nous baigner, il fait bien trop froid et les vagues sont trĂšs fortes. Nous regardons plutĂŽt les nombreux pĂ©licans qui vont et viennent. L’endroit est incroyable. Un autre type de pĂ©lican
 En revenant Ă  la ferme, une bonne surprise nous attend, un nouveau woofeur » vient d’arriver. Oscar, anglais et surfeur de son Ă©tat, fait un petit tour des plages de surf en AmĂ©rique du Sud et finance son pĂ©riple par le bĂ©nĂ©volat et les petits boulots. On sympathise vite avec ce nouveau compagnon de fortune. Le soir, nous mangeons tous les cinq. L’ambiance est plus dĂ©tendue, on se sent mieux. En revanche, nous partageons deux tomates et un avocat Ă  cinq. MĂȘme avec un bout de pain chacun, c’est un peu juste Ă  mon goĂ»t. Pour la deuxiĂšme nuit consĂ©cutive, nous nous couchons le ventre gargouillant. Dans les fraises
 Le matin du mercredi, les choses sĂ©rieuses commencent la cueillette des fraises. Jorge nous montre comment faire et nous laisse tous les trois Ă  notre tĂąche. Elle est ardue, la terre est bien basse. Une certaine souplesse est exigĂ©e. On bout de trois heures sans arrĂȘt, je sens que je manque de force. J’ai la tĂȘte qui tourne ; le rĂ©gime de ces deux derniers jours fait effet. Je suis Ă  deux doigts de tomber dans les fraises ! François me dit que je suis toute blanche. D’ailleurs je mange quelques fruits de temps en temps pour tenir le coup. Soit dit en passant, elles sont dĂ©licieuses et sans pesticide, s’il vous plait. Selon Jorge, il est le seul exploitant bio de la rĂ©gion. Et Dieu sait qu’il y en a des fraises dans le secteur
 Merci Ă  Oscar d’avoir fait le photographe pendant nos heures de ramassage 😉 AprĂšs une petite pause que nous nous auto-octroyons, Ă  10 h, et un petit cafĂ© qui fait plaisir, il est enfin temps de terminer. On est crevĂ©s, mais ce n’est pas dĂ©sagrĂ©able de se sentir utiles. François adore son taf », mĂȘme si ses grandes jambes ne sont pas un avantage pour un tel travail. Bon ça va mieux 😉 Jorge nous explique qu’il fait le champ tout seul en deux jours. A trois, on a fait un quart en une journĂ©e. Notre hĂŽte semble tout de mĂȘme content de nous. MalgrĂ© cela, je ne peux m’empĂȘcher de me sentir mal Ă  l’aise dans ce woofing qui n’est pas ce que je t’attendais. Nous Ă©tions venus pour Ă©changer et apprendre Ă  connaĂźtre d’autres personnes. François s’est fait un ami. Avec Oscar, ils deviennent vite insĂ©parables 😉 En fait Jorge a surtout besoins de bras, son entreprise n’a pas l’air d’ĂȘtre viable financiĂšrement et Gabi quant Ă  elle semble subir cette situation. Bref, on ne s’y retrouve pas et le rĂ©gime alimentaire plus que lĂ©ger est un problĂšme. Bien sĂ»r, on ne rĂ©clame pas un festin Ă  tous les repas, mais juste de quoi tenir le coup, quitte Ă  manger des pĂątes, du pain ou autre. Voici Oscar, notre Anglais d’Oxford You’d better stop. L’aprĂšs-midi nous tentons une expĂ©rience inĂ©dite le stop. En effet, nous souhaitons faire un petit tour Ă  Curanipe, situĂ©e Ă  une bonne demi-heure de voiture. Jorge et Gabi nous ont expliquĂ© que c’était trĂšs facile. Il faut dire qu’on a jamais Ă©tĂ© des grands adeptes du stop durant notre voyage
 En effet, au bout de cinq minutes une voiture s’arrĂȘte et une demi-heure plus tard nous voilĂ  arrivĂ©s dans la charmante petite bourgade de Curanipe. Nous profitons du marchĂ© pour acheter des churros », ils nous semblent dĂ©licieux. On avait vraiment faim. Nous nous rendons sur la plage, puis sur la place principale du village pour avoir un peu de wifi. Pour ĂȘtre honnĂȘte, notre but n’est pas seulement de nous balader mais Ă©galement de rĂ©server un hĂŽtel pour le week-end Ă  Curanipe, puis un autre Ă  Santiago du Chili pour la semaine qui suit. 
 Nous devions rester deux semaines chez Jorge mais nous ne nous sentons pas assez bien pour y rester aussi longtemps. François est plus emballĂ© que moi Ă  l’idĂ©e de rester, mais il se rĂ©sout Ă  me suivre dans ma dĂ©cision. Le retour sera tout aussi facile en stop. Ca a l’air d’ĂȘtre une pratique courante dans le coin. Le soir, j’annonce Ă  Jorge que nous partirons le vendredi soir. Il est un peu surpris mais ne dit rien ; la soirĂ©e se passe bien autour d’un repas toujours aussi lĂ©ger. Ca finit mieux que ça a commencĂ©. Nous sommes jeudi matin, il nous reste deux journĂ©es de travail avant de partir. Le fait de savoir le dĂ©part si proche me soulage. Nous commençons donc Ă  cueillir tous les trois, Jorge est ailleurs. Le dĂ©fi est de terminer le champ de fraises, sinon Jorge sera obligĂ© de le terminer seul ce week-end. AprĂšs les cinq heures de travail et un repas un peu plus consistant que d’habitude, François et Oscar dĂ©cident de continuer le boulot ; de toute maniĂšre on n’avait rien de prĂ©vu de particulier cet aprĂšs-midi. Je les accompagne un peu. Le soir quand Jorge rentre, il est surpris et touchĂ© de voir que le travail est bien avancĂ©. Pour la peine, il sort le grand jeu une bonne bouteille de vin du Chili. De son cĂŽtĂ©, Gabi nous prĂ©pare un bon plat. On rigole bien tous les cinq. L’obstination d’Oscar et François a travaillĂ© 10 h par jour, au lieu de 5h, semble dĂ©tendre notre petite assemblĂ©e. François mettra un peu de chanson française Ă  Oscar pour qu’il travaille plus vite
 Le dernier jour, François dĂ©cide de finir coĂ»te que coĂ»te le champ. Avec Oscar, ils travaillent tout l’aprĂšs-midi et rĂ©ussissent leur pari. Merci encore Ă  Oscar pour toutes ces photos 😉 Pour nous remercier, Jorge dĂ©cide d’organiser un barbecue chilien. Il paraĂźt qu’ils sont bien meilleurs que les barbecues argentins. Oscar repart tout ravi avec quelques stickers havrais que François avait gardĂ© avec lui au cas oĂč
 Le moment Ă©tait tout trouvĂ©. Nous terminons en beautĂ© ce woofing » en dĂ©gustant de la dĂ©licieuse viande chilienne, sous un ciel Ă©toilĂ© toujours aussi incroyable et quelques biĂšres qui ont apaisĂ© les quelques incomprĂ©hensions de ces derniers jours. Notre deuxiĂšme bĂ©nĂ©volat se termine dĂ©cidĂ©ment bien mieux qu’il n’avait commencĂ©. Le pied Ă  CuranipĂ© ! Curanipe est une petite station de vacances envahie, le week-end, par des touristes chiliens. Nous avons donc profitĂ© de cette ambiance de vacances pendant les deux jours que nous avons passĂ©s lĂ . Le samedi, nous mettons longtemps Ă  Ă©merger, cette semaines dans les fraises nous a crevĂ©. AprĂšs avoir regardĂ© Titanic en espagnol, nous partons finalement Ă  la recherche d’un lieu pour manger. Ici, c’est, soit completo » soit restaurant de poissons. Le completo » On dĂ©ambule dans la petite fĂȘte foraine installĂ©e prĂšs du marchĂ©. On visite le parking » des bateaux de pĂȘche colorĂ©s, qui attendent sagement la reprise de la pĂȘche lundi. Le port de pĂȘche de Curanipe est une vraie dĂ©couverte La Roca de San Pedro » le Rocher de Saint-Pierre est l’emblĂšme de la petite bourgade Le soir, nous jouons avec le soleil au bord de l’OcĂ©an Pacifique Le dimanche, Oscar, qui souhaite rester chez Jorge encore quelques jours, vient prendre une biĂšre mĂȘme plusieurs avec nous. Oscar s’amuse avec le franglais » de François et François s’amuse Ă  apprendre quelques mots de français Ă  Oscar. A Curanipe, difficile de se baigner. C’est clairement un endroit pour surfer. D’ailleurs pendant notre sĂ©jour, une compĂ©tition est organisĂ©e. François en profite pour faire le photographe de la compĂ©tition Nous passerons une bonne partie du dimanche aprĂšs-midi Ă  regarder le spectacle en compagnie des familles du coin. De nombreux vendeurs de plage proposent toutes sortes de sucreries. On se laisse tenter par une brochette de fraises au chocolat. Une belle façon de conclure cette semaine dans la rĂ©gion des frutillas » fraises. EBM et FD
Elleopte souvent pour des petits manteaux cintrés et incroyablement branchés, des créations toujours dotées d'une petite touche d'originalité British. Difficile de ne pas jalouser Kate
Author Guillaume Date 22 octobre 2018Comments Leave a comment DĂ©part imminent pour la Sicile, qui nous fait de l’oeil depuis un moment, malgrĂ© nos nombreux passages en Italie. Nous nous contenterons de la partie Est de l’üle autour de l’Etna. Ce sera l’occasion de revenir! ItinĂ©raire Catane Etna Taormine Syracuse Et comme on adore voyager en train, nous voyagerons jusqu’à Naples pour visiter PompĂ©i. Syracuse-Naples en train? đŸšƒđŸŒŠđŸ€” On en reparlera plus tard, promis! Carte interactive Ă  visualiser sur le blog. Articles similaires Post navigation ← Previous Next → Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es.
5 Le porte-manteau. Tu as tendance Ă  laisser trainer tes vĂȘtements partout dans ton kot ou dans ta chambre d’étudiant ? Il est temps de mettre de l’ordre dans ta vie Kevin. Prends une palette en bois, ta plus belle scie et dĂ©coupe en un morceau de la taille que tu dĂ©sires. C’est fait ?
Perso je me casse de ce forum, ou plutĂŽt de cette crĂšche Ă  jeu n’est mĂȘme pas encore sorti que ça commence Ă  clash alors que la plupart n’ont mĂȘme pas le les doutes sur Denuvo, le gore, la taille du jeu, l’ATH, la VF etc 
 ça chouine de partout. Vous dĂ©goĂ»tez les gens qui attendent patiemment de recevoir le jeu et d’essayer d’en profiter sans ĂȘtre stressĂ© » par toutes ces critiques la plupart du temps fait vous ĂȘtes comme des journalistes vous faites exprĂšs de reprendre et rĂ©pandre des rumeurs nĂ©gatives pour susciter la crainte, le doute, la dĂ©ception. Et ça gĂ©nĂšre des dĂ©bats stĂ©riles parfois violent, entraĂźnent mĂȘme la remise en cause des capacitĂ©s mentales du forumeur, alors que vous parlez juste d’un jeu vidĂ©o, que vous dĂ©battez sur des inepties dont personne n’est sĂ»r et certains. Vous parlez de dĂ©fauts sur un jeu qui n’est mĂȘme pas encore sorti officiellement, ni patchĂ©. On dirait des enfants qui ne peuvent pas s’empĂȘcher de jouer immĂ©diatement Ă  un jeu pas terminĂ© et qui font un caprice car ce jeu n’est pas fini et qu’il y a des vraiment un mal de notre Ă©poque, de trash talk comme ça sur un jeu pas sorti officiellement, pas patchĂ©. On est loin de l’époque oĂč on attendait patiemment la sortie avec des jeux sur le forum et un esprit bon enfant de vendredi ou samedi pout relever les dĂ©fauts et les partager aux dĂ©veloppeurs pour de futures je m’en vais pour ne plus lire toutes ces conneries, mais en sachant tout de mĂȘme que des dĂ©fauts il y en aura. Mais pas besoin de faire chier tout le monde avec ça alors que je n’ai mĂȘme pas jouĂ© au jeu.

Letuto qui va avec est trĂšs clair et les dĂ©butantes peuvent le coudre sans grosses difficultĂ©s. J’ai cousu la version B du manteau Celsius et en taille 40, ce qui est ma taille habituelle. Le manteau taille bien et je suis Ă  l’aise dedans, mĂȘme avec un gros pull ! Les marges de couture sont comprises dans le patron, ce qui est bien pratique et rapide, je trouve (pas

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