Volau-dessus d'un nid de coucou. Allociné Presse. Allociné Spectateur. Télérama. Télécâble Sat . Film Drame, États-Unis d'Amérique, 1975, 2h08. Prisonnier de droit commun, Randle Patrick McMurphy échappe aux travaux forcés en simulant la folie. A la suite d'un examen médical, il obtient son transfert dans une clinique psychiatrique. A peine arrivé, il décide de prendre enprésente Une pièce de Dale Wasserman D'après un roman de Ken Kesey Traduction, adaptation et mise en scène Michel Monty Durée 1 heure et 40 minutes Sans entracte voir les Horaires Randle McMurphy se croit malin il a réussi à convaincre la cour qu’il est fou et s’est fait envoyer à l’institut psychiatrique plutôt qu’aux travaux forcés. Quelle aubaine ! », pense-t-il. Mais il déchante lorsqu’il est confronté à la réalité de l’établissement, où la routine se répète inlassablement sous l’égide de l’intransigeante infirmière en chef Ratched. Mais McMurphy ne s’en laisse pas imposer, et un duel acharné entre les deux fortes têtes éclate. Grâce à sa jovialité naturelle, il gagne l’amitié de quelques patients et les entraîne dans sa lutte contre la tyrannie, semant la zizanie au sein du service. Jouer la folie pour déjouer le système Michel Monty Le misanthrope, 2014 nous revient avec cette pièce tirée du roman à succès de l’américain Ken Kesey, et dont l’adaptation cinématographique avait été particulièrement marquante. Mathieu Quesnel Au champ de Mars, 2011 se voit confier le rôle de Randle McMurphy et celui de l’infirmière Ratched revient à Julie Le Breton que l’on a vue au théâtre dans Les liaisons dangereuses et Les trois mousquetaires, et dans les séries télévisuelles Les beaux malaises et Les pays d’en haut. De plus, Michel Monty témoigne d’une vision artistique audacieuse en incluant à cette distribution des acteurs chevronnés et des acteurs vivant une situation de handicap issus de Les Muses Centre des arts de la scène. Vol au-dessus d’un nid de coucou est présentée en accord avec Samuel French, inc. Michel Monty et sa troupe font rire le public et l’émeuvent avec ce Vol au-dessus d’un nid de coucou où les interprètes portent le message de la différence avec ferveur. » La Presse Julie Le Breton, vraiment convaincante dans ce rôle » ICI Radio-Canada Première, Gravel le matin Un très bon moment de théâtre » 98,5FM, Puisqu’il faut se lever Très belle pièce que le Théâtre du Rideau Vert a la bonne idée de présenter à son public montréalais. » Le Huffington Post Québec C’est juste du bon, allez-y » 98,5FM, Weekend extra CONSULTEZ LE PROGRAMME DE SOIRÉE ICI Mise en Scène Distribution C Francis-William Rhéaume MathieuQuesnel AUTRES REPRÉSENTATIONS Théâtre du Rideau Vert du 16/08/2017 au 26/08/2017 Horaire desreprésentations Cet évènement est terminé Malgréson cancer, Bernard Tapie, 77 ans, ce dimanche, a confirmé qu’il reviendra au théâtre au printemps dans «Vol au-dessus d’un nid de coucou». Une pièce qu’il a jouée il y a 20 ans. Pas facile, ce texte de Samuel Beckett, sans doute l’un des plus éthérés de l’oeuvre du dramaturge irlandais. Monté sur un tricot de métaphores, sur un registre langagier au simplisme et à la désinvolture forcément trompeurs, l’objet, actuellement livré sur les planches du Théâtre du Nouveau Monde TNM à Montréal, offre un espace de revendications protéiformes avec son personnage principal, coincé physiquement jusqu’à la taille dans une roche, en communication avec elle-même et accessoirement un mari que l’on entend et voit très peu. Fuite du temps ? Quête aveuglée du bonheur ? Douleur et impuissance de la condition humaine ? Insoutenable légèreté de l’être ? Procès de l’indolence ? Oh les beaux jours, version française de Happy Days, créée à New York en 1961 et traduite en français par l’auteur lui-même quelques années plus tard, permet d’aller partout et nulle part en même temps, au gré des incarnations de cette Winnie, personnage central de cette pièce étrange. Et celle offerte samedi soir par Catherine Frot l’amène sans doute un peu plus dans le champ de la critique de l’immobilisme individuel et social et du ridicule de son acceptation. En symbiose La comédienne française, de passage en ville pour cette production, reste pendant plus d’une heure en symbiose totale avec le texte de Beckett, avec cette tonalité à part qui oscille entre la naïveté et le détachement, à l’image de son corps pris dans ce terrain rocheux de bord de mer. La femme-tronc, sorte de bourgeoise gobe-mouches, tente de se convaincre de son propre bonheur, et surtout de sa propre existence futile, au contact d’un mari lointain et de quelques biens matériels contenus dans un sac, là, juste à côté d’elle, et qu’elle va déballer avec précision et vacuité. Ni trop ni pas assez, cette dilettante» — qui est vraiment loin de l’être ici — réussit à faire ressortir toute la densité, l’improbable poésie même, de cette abstraction troublante, forcément, en raison du vide apparent et de l’ordinaire des mots qui façonnent ce vol au-dessus d’une créature et d’une création loufoque. Elle est comme Beckett — particulièrement directif pour cette pièce — a imaginé sa Winnie, dans une interprétation, qu’elle a eu le temps de maîtriser depuis la création de cette pièce en 2012 au Théâtre de la Madeleine à Paris, qui au final pourrait bien s’approcher ici de la leçon de jeu. À voir en vidéo Unepièce de Dale Wasserman d’après le roman Ken Kesey et traduite par Jacques Sigurd L’action se déroule au début des années 1960 dans un hôpital psychiatrique de l’Oregon, dont le fonctionnement routinier est bouleversé par l’irruption de Randall McMurphy, un colosse braillard et remuant, responsable d’agressions et interné à sa demande pour échapper à une Un compte rendu de la revue Jeu Ce document est le compte-rendu d'une autre oeuvre tel qu'un livre ou un film. L'oeuvre originale discutée ici n'est pas disponible sur cette plateforme. Numéro 60, 1991, p. 175–178 Tous droits réservés © Cahiers de théâtre Jeu inc., 1991 Ohles beaux jours. Texte : Samuel Beckett. Avec : Catherine Frot et Éric Frey. Mise en scène : Marc Paquien. Théâtre du Nouveau Monde, jusqu’au 26 février. Troupe de théâtre rassemblant des comédiens et des comédiennes adultes ainsi que de nombreux bénévoles. de Dale Wasserman, traduction Benoit Girard Mise en scène Patrick David Campbell Mentions spéciales Prix au Festival des Molières Édition Juin 2016 Meilleur rôle de soutien masculin Mario Gladu Meilleurs costumes et décors Nominations Meilleure mise en scène Patrick David Campbell Prix du Brigadier Prix Révélations Résumé Ce film est un classique. Mais attendez de voir la pièce… L’action se passe dans un hôpital psychiatrique … vous vous souvenez? Qui est vraiment fou dans cet hôpital, les patients ou les soignants? Dates 31 mars, 1-2 avril à 20h et dimanche le 3 avril à 14h Endroit Centre multifonctionnel de Boucherville Billets Admission générale 15$ Billets en vente au Centre multifonctionnel Renseignements 450-906-3742 info Distribution Chantal Bertrand => Garde Bennett France Brais => Cheswick Michel Desjardins => Dale Harding Marc-Étienne => Duval Billy Laurie Fossat => Garde Flynn Denis Giroux => Aide infirmier Warren Mario Gladu => Chef Bromden André Levasseur => Randle McMurphy Geneviève Nantais => Aide infirmier Wilma et Sandra Emmanuelle Valois => Martini Audrey Villeneuve => Scanlon et Candy Starr Marc Guèvremont => Ruckly Promesa Sirois Espejo => Danseuse Comédiens Photos de la troupe LaUne Le fil info Commentaires Partager Accueil Culture Scènes Les spectacles à l'affiche Charleroi bisARTS: vol au-dessus d’un nid de coucou. Un corbeau-pie en acrobate vedette, un spectacle en forme de casino, du cirque où l’on jongle avec des appareils ménagers : le festival bisARTS provoque d’étranges phénomènes à Charleroi. Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021. Ce fut un livre publié en 1962. La pièce suivit en 1963 et le film en 1975. Et je peux dire que mon expérience de Vol au-dessus d'un nid de coucou est maintenant complète après avoir vu la version théâtrale sur la scène du Rideau une bonne pièce de Dale Wasserman, comme le roman de Ken Kesey et le film de Milos Forman l'étaient. C'est de l'excellent matériel pour des comédiens avec ces rôles juteux et parfois spectaculaires qui ne sont pas exempts de profondeur. Des rôles aussi qui permettent de réfléchir sur la marginalité, ce qu'on appelle dans certains cas la folie, et sur une société qui ne supporte pas la différence dans les comportements, la façon de penser ou de voir le sûr qu'on ne peut s'empêcher d'évoquer Jack Nicholson qui incarnait Randle McMurphy au cinéma. Dans ce rôle, Mathieu Quesnel s'en tire fort honorablement en déployant une énergie maniaque et une présence physique imposante à travers ce personnage qui refuse l'autorité et la conteste de toutes les façons possibles. C'est lui l'électron libre qui sème la pagaille dans cette aile d'un hôpital psychiatrique où, étonnamment, la plupart des patients se trouvent là volontairement. Julie Le Breton en Garde Ratched apporte à sa composition la froideur et la rigidité requise, mais... seulement ça. Il manque à son jeu une subtilité qui donnerait à cette femme une autre dimension. Dans son royaume étriqué où elle règne en dictatrice absolue, où elle se complait à humilier et à avilir, cette stérilité, cette sexualité réprimée et cette discipline insensée ne sont le pendant de rien du tout. Julie Le Breton joue sur un seul ton, avec une seule expression et avec un mur impénétrable érigé autour d'elle. J'aurais aimé discerner la faille de cette comédiens qui incarnent les patients sont tous comédiens qui incarnent les patients sont tous formidables. Sylvio Archambault, Stéphane Demers, Justin Laramée, Frédérick Tremblay sont parfaits. Jacques Girard en Cheswick, Philippe David en Martini et surtout Renaud Lacelle-Bourdon en Billy sont remarquables. Ce personnage de Billy, dont Lacelle-Bourdon traduit toute la fragilité, est le plus attachant. On ne peut que ressentir de la pitié devant ce jeune homme que la mère a complètement annihilé et dont Garde Ratched poursuit l'œuvre. De son côté, Jacques Newashish, le Chef Bromden, est une révélation. Ce colosse tendre et muet occupe un espace à la fois concret et évanescent dans ce texte. Il assume ce rôle avec une sagacité mystérieuse et toutes les scènes où il se retrouve seul parlent avec force de l'aliénation de ce personnage et de sa culture mise en scène de Michel Monty est par moment énergique et s'attarde à démontrer le surréalisme de la situation, mais le début est un peu statique; on prend du temps à installer cette dynamique tordue entre des patients psychiatrisés qui vivent de leur plein gré dans cet environnement hypercontrôlé sous l'influence délétère d'une garde Ratched castratrice. Le décor d'Olivier Landreville, qui représente une salle commune d'hôpital aux murs pelés et flanqués de fenêtres d'inspiration gothique, nous rappelle les conditions de vie des patients dans les asiles. Saint-Jean-de-Dieu vient tout de suite en tête. Les médicaments, la camisole de force chimique, l'utilisation des électrochocs et de la lobotomie ne peuvent que résonner dans un univers, où il n'y a pas si longtemps, c'est ainsi que l'on traitait des gens qui n'étaient peut-être pas si fous que ça après dernières quarante minutes de la pièce sont les instants où tout se cristallise, où une mise en scène survoltée se met au service de cette histoire de folie et de défi de l'autorité. C'est à ce moment aussi que les comédiens donnent tout ce qu'ils ont. Et la dernière scène où McMurphy devient l'agneau sacrificiel, le martyr qui trace la voie pour les autres, est chargée de signification. Il a perdu, oui, mais il a aussi gagné. Tout comme le Chef, voix silencieuse qui parle à voix AUSSI SUR LE HUFFPOST Les billets de blogue les plus lus sur le HuffPostBefore You GoPopular in the CommunityCet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support Volau-dessus d'un nid de coucou, partie I : Elle m'a dit que les dragons n'existaient pas puis m'a conduit à leurs cavernes. 414 € 118 % . sur un objectif de 350 € 14. contributions. Lancé le 12 mars 2016 Campagne terminée le 1 mai 2016. Campagne terminée . le 1 mai 2016. Suivre Partager. Un projet de. Les Pas Foutus d'trouver. Lille. Spectacle vivant. Partagez pour aider
Autopsie d’une société souffrante ©François Laplante Delagrave Par Marie-Claude Lessard D’abord un roman de Ken Kesey paru en 1962, puis une pièce de théâtre de Dale Wasserman montée un an plus tard et finalement un long-métrage culte de Milos Forman, lauréat de l’Oscar du meilleur film en 1976, Vol au-dessus d’un nid de coucou, avec ses troublantes observations sur une société obsédée par la catégorisation de ses habitants, continue d’être une oeuvre marquante et pertinente encore aujourd’hui. C’est ce que la relecture de cette création par le Théâtre du Rideau Vert nous permet de constater, bien qu’elle s’avère imparfaite et légèrement décevante. En pleine époque où la lobotomie et les électrochocs constituent la solution pour enrayer les maux d’ordre psychologique, l’escroc Randall McMurphy Mathieu Quesnel feint la folie afin d’éviter la prison, pensant naïvement qu’il ne finira pas comme ses nouveaux locataires. Celui qui adore défier l’autorité se retrouve donc dans l’aile psychiatrique d’un hôpital contrôlé d’une main de fer par Mme Ratched Julie Le Breton, une garde d’une douce beauté terriblement trompeuse. ©François Laplante Delagrave Fenêtres barricadées. Uniformes d’un blanc immaculé. Murs délabrés faits de béton et de céramique bleu pastel. Pas de doute, le décor signé Olivier Landreville nous plonge instantanément dans un centre de santé des années 60 en cruel manque de ressources. Il crée à lui seul un climat inquiétant et oppressant. Malheureusement, les changements apportés au texte par Michel Monty, qui propose volontairement? une mise en scène froide et sans éclat, ne maintiennent pas les tensions conflictuelles entre les intervenants et les patients. L’oeuvre de Kesey soulève de nombreuses interrogations sur le sens véritable du mot malade ». Et si c’est la société, avec sa volonté malsaine de conformisme, qui rend les êtres psychologiquement instables? À trop vouloir restreindre la liberté, est-ce que ce sont les médecins et les gardes qui causent les troubles? Cette dualité, palpable dans toutes les répliques de la pièce, ne se reflète pas dans l’énergie de la plupart des comédiens. Il faut dire que les ruptures de ton et de langage ne les aident pas à demeurer investis et font tomber à plat des scènes pivots comme le party interdit et la finale. Ceci dit, certains parviennent à se démarquer positivement. Maîtrisant le bégaiement, Renaud Lacelle-Bourdon ne laisse pas cette caractéristique venir faire obstacle à son jeu et aux intentions émotives qu’il doit délivrer. Il campe avec crédibilité l’impossible quête d’émancipation de Billy, ce personnage injustement prisonnier par la peur du monde extérieur alimentée par sa mère et les interventions faussement maternelles de Ratched. De son côté, Stéphane Demers incarne à la perfection les gestes maniérés de cet attachant Harding aux prises avec des questionnements sur son orientation sexuelle. Dans le rôle du Chef Bromden, Jacques Newashish offre une interprétation touchante, spécialement lorsqu’il livre des chants autochtones. Mathieu Quesnel traduit le dynamisme et la fougue de McMurphy en courant d’un bout à l’autre de la scène, en parlant et en riant fort, mais l’émotion n’y est pas. On ne voit que du cabotinage. Julie Le Breton insuffle à sa garde un instinct protecteur qui ne colle pas à l’image aveuglément stricte du personnage. Cette infirmière agit aussi méchamment en pensant véritablement poser les bonnes décisions pour le bien-être de ses patients. ©François Laplante Delagrave Intérieurement, elle n’est pas aussi cruelle, mais les spectateurs ne peuvent en aucun cas percevoir cette humanité à travers la façade rigide, sans quoi la relation de pouvoir entre McMurphy et Ratched ne fonctionne pas, et c’est exactement le cas ici. Grande et sublime actrice, Le Breton rend efficacement les pertes de contrôle et la peur. Seulement, il ne fallait pas que ce personnage les laisse paraître. Elle doit plutôt uniquement dévoiler une retenue dissimulant une rage sur le point d’exploser qui donne froid dans le dos. Vol au-dessus d’un nid de coucou est à l’affiche au Théâtre du Rideau Vert jusqu’au 23 avril 2017. Texte révisé par Annie Simard
Volau-dessus d'un nid de coucou est un film américain de Milos Forman sorti en 1975. Il a reçu les cinq principaux oscars du cinéma dont l'Oscar du meilleur film. Ce film a été adapté d'un roman de Ken Kesey paru en 1962. Le terme « cuckoo » désigne en anglais l'oiseau « coucou » et une personne mentalement dérangée, à l'image
Bernard Tapie - Bertrand Guay - AFPL'homme d'affaires, qui se bat depuis deux ans contre le cancer, veut fêter sur scène les vingt ans de la pièce Vol au-dessus d'un nid de d'un cancer depuis deux ans, Bernard Tapie rêve de remonter sur scène pour y jouer Vol au-dessus d'un nid de coucou. Selon son metteur en scène Philippe Hersen sur Facebook, ce rêve va se réaliser au printemps."Encore un vrai défi pour Bernard de se retrouver au printemps prochain dans une salle parisienne pour fêter les 20 ans de Vol au-dessus d'un nid de coucou", a-t-il écrit sur le réseau social. Bernard Tapie avait débuté sa carrière sur scène en 2011 en endossant le rôle de McMurphy, joué par Jack Nicholson dans le célèbre film de Milos Forman."Cela fait un moment que j'y pense et qu'on en parle. Il était en forme, il nous a joué des scènes de McMurphy avec une telle énergie, il est impressionnant", a assuré également Philippe Hersen au Parisien."C'est un battant, il se bat comme un lion"Le dramaturge a publié une photo le représentant tout sourire avec l'homme d'affaires. Les deux hommes posent également avec Mathieu Tordjman, responsable de l'adaptation de la pièce de Dale Wasserman, elle-même tirée d'un roman de Ken Kesey"C'est un battant, il se bat comme un lion, c'est tellement important pour lui, c'est son seul objectif", explique Mathieu Tordjman à propos de Tapie. "Bernard cite sans cesse Johnny Hallyday en exemple avec la dernière tournée des Vieilles Canailles qui l'a fait tenir, il est extrêmement motivé."Selon Philippe Tersen, Bernard Tapie prendrait en charge la production de la pièce. Il devrait jouer "quatre à cinq fois par semaine et 25 au maximum à Paris" au printemps prochain. Ces représentations seront peut-être suivies par "une petite tournée en septembre 2020".
Unvent de liberté souffle sur le Théâtre du Rideau Vert avec le retour de Michel Monty à la mise en scène de Vol au-dessus d’un nid de coucou , une pièce de Dale Wasserman d’après le roman de Ken Kesey. Présentée sur Broadway en 1963, la pièce avait connu un franc succès bien avant celui du film.
Théâtreitinérant, le Footsbarn Theatre s’arrête deux soirs à la Grange sublime pour proposer une originale et festive version carnavalesque de Vol au-dessus d’un nid de coucou. Fondé en 1971 au sein de la grange de la famille Foot, dans la région des Cornouailles, le Footsbarn Theatre se produit aussi bien en salle que sous
Volau-dessus d’un nid de coucou, du 24 mars au 23 avril, au Théâtre du Rideau Vert à Montréal Une pièce de Dale Wasserman D’après le roman de Ken KeseyPour sa première représentation depuis 2020, le théâtre Erick Moreau du Lycée français de San Francisco reprend Vol au dessus d’un nid de coucou », la pièce qui devait se jouer lorsque la pandémie de Covid a commencé. Adaptée du roman éponyme de Ken Kesey, cette pièce est mise en scène par Frédéric Patto, et interprétée par les comédiens de la troupe la D-Boussole. Vol au dessus d’un nid de coucou » raconte le séjour en hôpital psychiatrique de Randle Patrick McMurphy, un criminel qui joue la folie pour purger sa peine de prison à l’hôpital plutôt qu’en prison, et ses altercations fréquentes avec l’infirmière Ratched. Ken Kelsey s’est largement inspiré de sa propre expérience en tant qu’agent hospitalier dans une institution psychiatrique de Menlo Park, et de sa relation aux patients qu’il y a rencontrés. Le roman est sorti en 1962, en plein mouvement des droits civiques, a immédiatement séduit un large public. Son adaptation au cinéma par Milos Forman, avec Jack Nicholson dans le rôle principal, a largement contribué au succès mondial de cette oeuvre. A travers les conflits entre McMurphy et Ratched, Vol au dessus d’un nid de coucou » dénonce les dérives totalitarisme d’un système qui broie ceux qui le questionnent ou refusent de s’y soumettre. Le TLF espère retrouver son fidèle public à l’occasion des trois représentations de Vol au dessus d’un nid de coucou ». Un protocole sanitaire strict est mis en place, avec schéma vaccinal complet et masque obligatoire. La pièce est recommandée à partir de 12 ans. Instagram will load in the frontend.