Atteintd'un cancer depuis deux ans, Bernard Tapie rêve de remonter sur scène pour y jouer Vol au-dessus d'un nid de coucou.Selon son metteur en scène Philippe Hersen sur Facebook, ce rêve va Bernard Tapie de retour au théâtre malgré son cancer Au printemps prochain, l'ancien patron de l'Olympique de Marseille incarnera McMurphy, le criminel légendaire de "Vol au-dessus d'un nid de coucou". NurPhoto via Getty Images Alors qu'il lutte actuellement contre un violent cancer, Bernard Tapie prévoit déjà de remonter sur scène au printemps, dans une nouvelle adaptation de "Vol au-dessus d'un nid de coucou". NurPhoto via Getty Images CULTURE - “Encore un vrai défi pour Bernard...” Alors qu’il a récemment confié que ses derniers examens médicaux n’étaient “pas très bons”, Bernard Tapie ne laisse pas le pessimisme le gagner. La preuve il compte remonter sur les planches au printemps prochain. Voilà ce qu’a fait savoir l’ancien homme d’affaires, quelques jours après avoir confié que le cancer contre lequel il lutte depuis deux ans continuait de progresser et que ses poumons étaient désormais atteints. Début 2020, il compte fêter les vingt ans de l’adaptation de “Vol au-dessus d’un nid de coucou” dans une salle parisienne. Un rôle rendu culte par Jack Nicholson Le futur metteur en scène de la pièce, Philippe Hersen, l’a confirmé sur sa page Facebook, se réjouissant de la pugnacité de l’ancien patron de l’OM. On voyait d’ailleurs les deux hommes ensemble au côté de Mathieu Tordjman, qui adaptera la pièce, dans une photo qui a depuis été passée en privé. “Vol au-dessus d’un nid de coucou” est une œuvre majeure de la culture américaine. Au départ roman signé Ken Kesey, elle a été adaptée à de nombreuses reprises notamment au à Broadway, mais surtout au cinéma avec le film de Milos Forman et l’interprétation culte de Jack Nicholson. C’est d’ailleurs le rôle de l’acteur américain que Bernard Tapie souhaite reprendre, celui, principal, de McMurphy, un criminel qui se fait interner pour échapper à la prison et qui finit par tomber sous le charme des patients qu’il côtoie, au point de les défendre face à une infirmière terrible. Un coup d’éclat “pour tous ceux qui ont le cancer” Le futur metteur en scène de la pièce avec Bernard Tapie, Philippe Hersen, a confirmé au Parisien que les deux hommes travaillaient depuis quelques temps déjà sur ce projet. “Il était en forme, il nous a joué des scènes de McMurphy avec une telle énergie, il est impressionnant” a-t-il confié au sujet de son comédien, qu’il décrit comme ayant toujours une “force mentale hallucinante”. “C’est un battant, il se bat comme un lion, c’est tellement important pour lui, c’est son seul objectif”, continue Philippe Hersen. Selon lui, à l’image de Johnny Hallyday qui s’était offert une dernière tournée avant de partir, Bernard Tapie souhaite lui aussi avoir droit à ce coup d’éclat en dépit de la maladie. Alors que trois salles parisiennes ont été contactées pour que le spectacle puisse se monter, il est d’ores et déjà prévu que Bernard Tapie joue 25 fois au maximum à Paris, à raison de quatre à cinq représentations par semaine. Et si la santé tient, il pense déjà à une petite tournée en province à l’automne prochain. “Il fera tout pour, il se bat aussi pour tous ceux qui ont un cancer.” À voir également sur le HuffPost Bernard Tapie quitte précipitamment le studio d’Europe 1 après des questions sur son ancien bras droit
Réservezvos billets pour Vol au-dessus d'un nid de coucou - Espace Michel Simon à Noisy le Grand sur BilletRéduc Prix réduits jusqu'à la dernière minute Paiement Sécurisé Au sein d'un hôpital psychiatrique, l'arrivée d'un nouveau patient va perturber l'apparente tranquillité qui y
Marraine d’honneur Marie-Josée Bastien, comédienne et directrice artistique, Théâtre Niveau Parking Pièce de théâtre présentée par la troupe Les Fous de la rampe de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec-Université Laval, au profit de la Fondation IUCPQ Les 26 et 27 octobre, ainsi que les 2 et 3 novembre, 20 h Théâtre de la cité universitaire Information 418 656-4999, poste 3450 Achat en ligne Présidence d’honneur Dr Gilles Lapointe, médecin et conférencier. Volau-dessus d’un nid de coucou, par le Vaudeville - un spectacle fort - jusqu’au 14 mars Vol au-dessus d’un nid de coucou, - La Ruche Théâtre Royal 15h57 , le 10 février 2017 , modifié à 11h32 , le 21 juin 2017 Cousine du Théâtre du Soleil, la troupe légendaire du Footsbarn Theatre présente son adaptation malicieuse de Vol au-dessus d’un nid de coucou, sous un chapiteau à 13 ans, il plante une fourchette dans le couVol au-dessus d'un nid de coucou par le Footsbarn Theatre Pascal GelyChine, Australie, Mexique, Colombie, Ghana, Togo, Russie, Syrie… La liste des pays visités par le Footsbarn Theatre depuis les années 80, est vertigineuse. Dès sa création, en 1971 par l’acteur anglais Oliver Foot, la compagnie itinérante s’est donnée pour mission de "toucher le cœur de tous les hommes". Que ce soit dans les granges "barn" en anglais ou sur les places de marchés à la campagne, en plein air ou sous chapiteau aux portes des grandes villes, le Footsbarn cible en priorité un public populaire qui ne connaît pas forcément grand-chose au et bohémienSon approche artisanale - création de masques, décors et costumes à base de matériaux de récupération - a grandement contribué à son aura internationale tout en façonnant son style singulier, inclassable et bohémien. Les membres du Footsbarn vivent pour la plupart en roulotte. Ils ont souvent monté des classiques de Shakespeare et de Molière. Au tournant des années 1970 et 80, époque depuis laquelle ils sont implantés en Auvergne, ils furent plusieurs fois programmés en Avignon dans le "in". S’ils font aujourd’hui l’événement, c’est pour s’être emparé de Vol au-dessus d’un nid de coucou, ce célèbre roman de Ken Kesey qui inspira le non moins célèbre film éponyme de Milos menace pour l’autorité régnanteA la porte Maillot jusqu’au 26 février, sous le chapiteau du cirque Romanès, ils sont ainsi sept acteurs anglais et français à reconstituer la folle ambiance de ce roman culte dont l’action se situe dans un hôpital psychiatrique. Sous les traits d’une infirmière tyrannique dont la tête, magie de l’art du masque, paraît énorme, la "Machine" à broyer les hommes y fait son travail. Concrètement, cela consiste à maintenir l’équilibre de l’institution en distribuant des calmants aux malades et aux récalcitrants. Rien de très compliqué en fait, d’ailleurs l’infirmière se sent toute puissante, elle ne se plaint pas... C’est alors que Mac Murphy, un nouveau patient dont personne ne sait pourquoi il a été soudain interné, entre en scène. Vif, enjoué, gentiment délirant mais pas vraiment forcené, ce charmeur en diable sème le désordre. Il devient alors une menace pour l’autorité régnante… Un dangereux contre-pouvoir?Pascal GélyMoitié anglais, moitié françaisAu fil de numéros tour à tour comiques, dramatiques et musicaux, le Footsbarn restitue cette folle histoire d’une manière très spécifique. Le texte, par exemple, apparaît ici clairement comme secondaire. Moitié anglais, moitié français, il est souvent baragouiné sans que cela ne nuise à la compréhension des scènes, au contraire. De fait, la dramaturgie se veut simple et limpide. Elle s’appuie principalement sur le jeu des acteurs et sur la succession des événements au fil d’une scénographie composite, faisant appel à la projection vidéo, aux ombres chinoises, aux masques bien sûr, ainsi qu’à la musique interprétée en direct par les acteurs, et des éléments d’acrobatie façon "slapstick", cet humour qui repose entièrement sur les mouvements du corps et sur leur exagération. De quoi convoquer un joli feu d’artifice et savourer toutes les facettes d’un théâtre de bateleurs aujourd’hui devenu bien rare, sinon méconnu alors qu’il est l’ancêtre de tous les arts de la de coucou ***Jusqu’au 26 février au Chapiteau du Cirque romanès, square Parodi, bd de l’Amiral Bruix à Paris 16e métro Porte Maillot, sortie numéro 5. Tarif 15/25 euros. Réservation au 04 70 06 84

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VOL AU DESSUS D’UN NID DE COUCOU STEPHANE DEURAT REPREND KEN KESEY Vol au dessus d’un nid de coucou » / Ken Kese / mise en scène Stéphane Daurat / Theatre 13 Paris / jusqu’au 15 avril. Mettre en scène un culte comme Vol au dessus d’un nid de coucou veut dire prendre le risque de tomber dans le déjà vu. Ressusciter le célèbre roman de Ken Kesey pour la scène théâtrale afin d’en faire une histoire captivante requiert un talent non négligeable. Cependant Stéphane Daurat, metteur en scène et acteur de la pièce dans le rôle de Martini, y parvient brillamment. Le public applaudit maintes fois tout au long de la représentation, il s’émeut. Ses murmures semblent vouloir encourager et supporter les patients de l’établissement psychiatrique tout en oubliant qu’il s’agit de comédiens en train de jouer leur rôle. Mais si le déroulement de l’histoire est bien connu et la construction de la scène qui inclue personnages, costumes, décors, décalque le film de Milos Forman de 1974, Qu’est-ce qui rend cette pièce si passionnante ? L’incontestable habileté des comédiens est l’une des réponses. Ces talents sont réunis dans la compagnie Caravane dont l’esprit se concrétise dans un théâtre qui renvoie à l’humanité. Pour y parvenir la compagnie prend en considération les hontes, les joies, les angoisses, les fiertés, les incohérences et les espérances de cette humanité. Dans Vol au dessus d’un nid de coucou chacun d’entre eux met en scène une part de cette humanité, en insistant sur ses l’un des personnages souligne lors d’une des séances de thérapie de groupe, le service de psychiatrie, dans lequel se déroulent les vies de ces hommes, devient l’allégorie de notre société. Ainsi la réflexion sur l’homme et sur la société où nous vivons dépasse rapidement le cadre de l’hôpital psychiatrique. Voici la réussite de cette mise en scène l’histoire est encore aujourd’hui d’une actualité remarquable. Les potentialités des relations humaines et de la solidarité sont mises en valeur dès le début et leur puissance dépasse les règles perverses et aveugles que l’institution psychiatrique représente. Comment ne pas trouver actuel ce discours aujourd’hui où la reconnaissance de la souffrance de l’autre et la nécessité d’une intervention sont mises en danger, voire stigmatisés. Le personnage de Chef Bromden, replié volontairement sur soi-même, parait avoir perdu toute confiance envers l’homme. Toutefois ses mots semblent être prononcés pour ce public en salle, dans l’espoir d’un changement, et puisque il est le seul à parvenir à la liberté, il incarne l’espoir. Ce prophète, lors de ses réflexions solitaires, nous confie la terrifiante vérité nous sommes les produits de leurs échecs. Ces mots franchissent le contexte de la petite société – hôpital psychiatrique où il est enfermé pour parler du destin de tous les hommes de cette société. Les lapins dont parle le personnage de Herding sont les faibles pour lesquels il n’y a pas de place, tous ceux qui ne rentrent pas dans les cases de la normalisation opérée par la société. Comment donner voix à ceux qui aspirent à la liberté ? Le docteur Spivey, garant de la protection et de la réhabilitation des patients, est un personnage muet qui ne prend pas ses responsabilités face à la souffrance et aux abus. Il devient la métaphore de l’impuissance des institutions et des politiciens dont les échecs sont pour l’homme source de solitude et désillusion. La pièce rejette la facilité avec laquelle l’homme est étiqueté ainsi que la barrière entre ce qui est normal et ce qui ne l’est pas. L’écoute et la confiance en l’autre sont des valeurs mises en premier plan. Tout cela fait la force de cette pièce en tant qu’hommes nous avons besoin de voir réhabilitées ces valeurs. C’est pourquoi le choix de mettre en scène Vol au dessus d’un nid de coucou aujourd’hui est visiblement aussi pertinent que souhaité. Cristina Catalano jusqu’au 15 avril au Théâtre 13 – Paris / rens.
Volau-dessus d'un nid de coucou. Allociné Presse. Allociné Spectateur. Télérama. Télécâble Sat . Film Drame, États-Unis d'Amérique, 1975, 2h08. Prisonnier de droit commun, Randle Patrick McMurphy échappe aux travaux forcés en simulant la folie. A la suite d'un examen médical, il obtient son transfert dans une clinique psychiatrique. A peine arrivé, il décide de prendre en
présente Une pièce de Dale Wasserman D'après un roman de Ken Kesey Traduction, adaptation et mise en scène Michel Monty Durée 1 heure et 40 minutes Sans entracte voir les Horaires Randle McMurphy se croit malin il a réussi à convaincre la cour qu’il est fou et s’est fait envoyer à l’institut psychiatrique plutôt qu’aux travaux forcés. Quelle aubaine ! », pense-t-il. Mais il déchante lorsqu’il est confronté à la réalité de l’établissement, où la routine se répète inlassablement sous l’égide de l’intransigeante infirmière en chef Ratched. Mais McMurphy ne s’en laisse pas imposer, et un duel acharné entre les deux fortes têtes éclate. Grâce à sa jovialité naturelle, il gagne l’amitié de quelques patients et les entraîne dans sa lutte contre la tyrannie, semant la zizanie au sein du service. Jouer la folie pour déjouer le système Michel Monty Le misanthrope, 2014 nous revient avec cette pièce tirée du roman à succès de l’américain Ken Kesey, et dont l’adaptation cinématographique avait été particulièrement marquante. Mathieu Quesnel Au champ de Mars, 2011 se voit confier le rôle de Randle McMurphy et celui de l’infirmière Ratched revient à Julie Le Breton que l’on a vue au théâtre dans Les liaisons dangereuses et Les trois mousquetaires, et dans les séries télévisuelles Les beaux malaises et Les pays d’en haut. De plus, Michel Monty témoigne d’une vision artistique audacieuse en incluant à cette distribution des acteurs chevronnés et des acteurs vivant une situation de handicap issus de Les Muses Centre des arts de la scène. Vol au-dessus d’un nid de coucou est présentée en accord avec Samuel French, inc. Michel Monty et sa troupe font rire le public et l’émeuvent avec ce Vol au-dessus d’un nid de coucou où les interprètes portent le message de la différence avec ferveur. » La Presse Julie Le Breton, vraiment convaincante dans ce rôle » ICI Radio-Canada Première, Gravel le matin Un très bon moment de théâtre » 98,5FM, Puisqu’il faut se lever Très belle pièce que le Théâtre du Rideau Vert a la bonne idée de présenter à son public montréalais. » Le Huffington Post Québec C’est juste du bon, allez-y » 98,5FM, Weekend extra CONSULTEZ LE PROGRAMME DE SOIRÉE ICI Mise en Scène Distribution C Francis-William Rhéaume MathieuQuesnel AUTRES REPRÉSENTATIONS Théâtre du Rideau Vert du 16/08/2017 au 26/08/2017 Horaire desreprésentations Cet évènement est terminé Malgréson cancer, Bernard Tapie, 77 ans, ce dimanche, a confirmé qu’il reviendra au théâtre au printemps dans «Vol au-dessus d’un nid de coucou». Une pièce qu’il a jouée il y a 20 ans. Pas facile, ce texte de Samuel Beckett, sans doute l’un des plus éthérés de l’oeuvre du dramaturge irlandais. Monté sur un tricot de métaphores, sur un registre langagier au simplisme et à la désinvolture forcément trompeurs, l’objet, actuellement livré sur les planches du Théâtre du Nouveau Monde TNM à Montréal, offre un espace de revendications protéiformes avec son personnage principal, coincé physiquement jusqu’à la taille dans une roche, en communication avec elle-même et accessoirement un mari que l’on entend et voit très peu. Fuite du temps ? Quête aveuglée du bonheur ? Douleur et impuissance de la condition humaine ? Insoutenable légèreté de l’être ? Procès de l’indolence ? Oh les beaux jours, version française de Happy Days, créée à New York en 1961 et traduite en français par l’auteur lui-même quelques années plus tard, permet d’aller partout et nulle part en même temps, au gré des incarnations de cette Winnie, personnage central de cette pièce étrange. Et celle offerte samedi soir par Catherine Frot l’amène sans doute un peu plus dans le champ de la critique de l’immobilisme individuel et social et du ridicule de son acceptation. En symbiose La comédienne française, de passage en ville pour cette production, reste pendant plus d’une heure en symbiose totale avec le texte de Beckett, avec cette tonalité à part qui oscille entre la naïveté et le détachement, à l’image de son corps pris dans ce terrain rocheux de bord de mer. La femme-tronc, sorte de bourgeoise gobe-mouches, tente de se convaincre de son propre bonheur, et surtout de sa propre existence futile, au contact d’un mari lointain et de quelques biens matériels contenus dans un sac, là, juste à côté d’elle, et qu’elle va déballer avec précision et vacuité. Ni trop ni pas assez, cette dilettante» — qui est vraiment loin de l’être ici — réussit à faire ressortir toute la densité, l’improbable poésie même, de cette abstraction troublante, forcément, en raison du vide apparent et de l’ordinaire des mots qui façonnent ce vol au-dessus d’une créature et d’une création loufoque. Elle est comme Beckett — particulièrement directif pour cette pièce — a imaginé sa Winnie, dans une interprétation, qu’elle a eu le temps de maîtriser depuis la création de cette pièce en 2012 au Théâtre de la Madeleine à Paris, qui au final pourrait bien s’approcher ici de la leçon de jeu. À voir en vidéo Unepièce de Dale Wasserman d’après le roman Ken Kesey et traduite par Jacques Sigurd L’action se déroule au début des années 1960 dans un hôpital psychiatrique de l’Oregon, dont le fonctionnement routinier est bouleversé par l’irruption de Randall McMurphy, un colosse braillard et remuant, responsable d’agressions et interné à sa demande pour échapper à une Un compte rendu de la revue Jeu Ce document est le compte-rendu d'une autre oeuvre tel qu'un livre ou un film. L'oeuvre originale discutée ici n'est pas disponible sur cette plateforme. Numéro 60, 1991, p. 175–178 Tous droits réservés © Cahiers de théâtre Jeu inc., 1991 Ohles beaux jours. Texte : Samuel Beckett. Avec : Catherine Frot et Éric Frey. Mise en scène : Marc Paquien. Théâtre du Nouveau Monde, jusqu’au 26 février. Troupe de théâtre rassemblant des comédiens et des comédiennes adultes ainsi que de nombreux bénévoles. de Dale Wasserman, traduction Benoit Girard Mise en scène Patrick David Campbell Mentions spéciales Prix au Festival des Molières Édition Juin 2016 Meilleur rôle de soutien masculin Mario Gladu Meilleurs costumes et décors Nominations Meilleure mise en scène Patrick David Campbell Prix du Brigadier Prix Révélations Résumé Ce film est un classique. Mais attendez de voir la pièce… L’action se passe dans un hôpital psychiatrique … vous vous souvenez? Qui est vraiment fou dans cet hôpital, les patients ou les soignants? Dates 31 mars, 1-2 avril à 20h et dimanche le 3 avril à 14h Endroit Centre multifonctionnel de Boucherville Billets Admission générale 15$ Billets en vente au Centre multifonctionnel Renseignements 450-906-3742 info Distribution Chantal Bertrand => Garde Bennett France Brais => Cheswick Michel Desjardins => Dale Harding Marc-Étienne => Duval Billy Laurie Fossat => Garde Flynn Denis Giroux => Aide infirmier Warren Mario Gladu => Chef Bromden André Levasseur => Randle McMurphy Geneviève Nantais => Aide infirmier Wilma et Sandra Emmanuelle Valois => Martini Audrey Villeneuve => Scanlon et Candy Starr Marc Guèvremont => Ruckly Promesa Sirois Espejo => Danseuse Comédiens Photos de la troupe LaUne Le fil info Commentaires Partager Accueil Culture Scènes Les spectacles à l'affiche Charleroi bisARTS: vol au-dessus d’un nid de coucou. Un corbeau-pie en acrobate vedette, un spectacle en forme de casino, du cirque où l’on jongle avec des appareils ménagers : le festival bisARTS provoque d’étranges phénomènes à Charleroi. Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021. Ce fut un livre publié en 1962. La pièce suivit en 1963 et le film en 1975. Et je peux dire que mon expérience de Vol au-dessus d'un nid de coucou est maintenant complète après avoir vu la version théâtrale sur la scène du Rideau une bonne pièce de Dale Wasserman, comme le roman de Ken Kesey et le film de Milos Forman l'étaient. C'est de l'excellent matériel pour des comédiens avec ces rôles juteux et parfois spectaculaires qui ne sont pas exempts de profondeur. Des rôles aussi qui permettent de réfléchir sur la marginalité, ce qu'on appelle dans certains cas la folie, et sur une société qui ne supporte pas la différence dans les comportements, la façon de penser ou de voir le sûr qu'on ne peut s'empêcher d'évoquer Jack Nicholson qui incarnait Randle McMurphy au cinéma. Dans ce rôle, Mathieu Quesnel s'en tire fort honorablement en déployant une énergie maniaque et une présence physique imposante à travers ce personnage qui refuse l'autorité et la conteste de toutes les façons possibles. C'est lui l'électron libre qui sème la pagaille dans cette aile d'un hôpital psychiatrique où, étonnamment, la plupart des patients se trouvent là volontairement. Julie Le Breton en Garde Ratched apporte à sa composition la froideur et la rigidité requise, mais... seulement ça. Il manque à son jeu une subtilité qui donnerait à cette femme une autre dimension. Dans son royaume étriqué où elle règne en dictatrice absolue, où elle se complait à humilier et à avilir, cette stérilité, cette sexualité réprimée et cette discipline insensée ne sont le pendant de rien du tout. Julie Le Breton joue sur un seul ton, avec une seule expression et avec un mur impénétrable érigé autour d'elle. J'aurais aimé discerner la faille de cette comédiens qui incarnent les patients sont tous comédiens qui incarnent les patients sont tous formidables. Sylvio Archambault, Stéphane Demers, Justin Laramée, Frédérick Tremblay sont parfaits. Jacques Girard en Cheswick, Philippe David en Martini et surtout Renaud Lacelle-Bourdon en Billy sont remarquables. Ce personnage de Billy, dont Lacelle-Bourdon traduit toute la fragilité, est le plus attachant. On ne peut que ressentir de la pitié devant ce jeune homme que la mère a complètement annihilé et dont Garde Ratched poursuit l'œuvre. De son côté, Jacques Newashish, le Chef Bromden, est une révélation. Ce colosse tendre et muet occupe un espace à la fois concret et évanescent dans ce texte. Il assume ce rôle avec une sagacité mystérieuse et toutes les scènes où il se retrouve seul parlent avec force de l'aliénation de ce personnage et de sa culture mise en scène de Michel Monty est par moment énergique et s'attarde à démontrer le surréalisme de la situation, mais le début est un peu statique; on prend du temps à installer cette dynamique tordue entre des patients psychiatrisés qui vivent de leur plein gré dans cet environnement hypercontrôlé sous l'influence délétère d'une garde Ratched castratrice. Le décor d'Olivier Landreville, qui représente une salle commune d'hôpital aux murs pelés et flanqués de fenêtres d'inspiration gothique, nous rappelle les conditions de vie des patients dans les asiles. Saint-Jean-de-Dieu vient tout de suite en tête. Les médicaments, la camisole de force chimique, l'utilisation des électrochocs et de la lobotomie ne peuvent que résonner dans un univers, où il n'y a pas si longtemps, c'est ainsi que l'on traitait des gens qui n'étaient peut-être pas si fous que ça après dernières quarante minutes de la pièce sont les instants où tout se cristallise, où une mise en scène survoltée se met au service de cette histoire de folie et de défi de l'autorité. C'est à ce moment aussi que les comédiens donnent tout ce qu'ils ont. Et la dernière scène où McMurphy devient l'agneau sacrificiel, le martyr qui trace la voie pour les autres, est chargée de signification. Il a perdu, oui, mais il a aussi gagné. Tout comme le Chef, voix silencieuse qui parle à voix AUSSI SUR LE HUFFPOST Les billets de blogue les plus lus sur le HuffPostBefore You GoPopular in the CommunityCet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support Volau-dessus d'un nid de coucou, partie I : Elle m'a dit que les dragons n'existaient pas puis m'a conduit à leurs cavernes. 414 € 118 % . sur un objectif de 350 € 14. contributions. Lancé le 12 mars 2016 Campagne terminée le 1 mai 2016. Campagne terminée . le 1 mai 2016. Suivre Partager. Un projet de. Les Pas Foutus d'trouver. Lille. Spectacle vivant. Partagez pour aider

Autopsie d’une société souffrante ©François Laplante Delagrave Par Marie-Claude Lessard D’abord un roman de Ken Kesey paru en 1962, puis une pièce de théâtre de Dale Wasserman montée un an plus tard et finalement un long-métrage culte de Milos Forman, lauréat de l’Oscar du meilleur film en 1976, Vol au-dessus d’un nid de coucou, avec ses troublantes observations sur une société obsédée par la catégorisation de ses habitants, continue d’être une oeuvre marquante et pertinente encore aujourd’hui. C’est ce que la relecture de cette création par le Théâtre du Rideau Vert nous permet de constater, bien qu’elle s’avère imparfaite et légèrement décevante. En pleine époque où la lobotomie et les électrochocs constituent la solution pour enrayer les maux d’ordre psychologique, l’escroc Randall McMurphy Mathieu Quesnel feint la folie afin d’éviter la prison, pensant naïvement qu’il ne finira pas comme ses nouveaux locataires. Celui qui adore défier l’autorité se retrouve donc dans l’aile psychiatrique d’un hôpital contrôlé d’une main de fer par Mme Ratched Julie Le Breton, une garde d’une douce beauté terriblement trompeuse. ©François Laplante Delagrave Fenêtres barricadées. Uniformes d’un blanc immaculé. Murs délabrés faits de béton et de céramique bleu pastel. Pas de doute, le décor signé Olivier Landreville nous plonge instantanément dans un centre de santé des années 60 en cruel manque de ressources. Il crée à lui seul un climat inquiétant et oppressant. Malheureusement, les changements apportés au texte par Michel Monty, qui propose volontairement? une mise en scène froide et sans éclat, ne maintiennent pas les tensions conflictuelles entre les intervenants et les patients. L’oeuvre de Kesey soulève de nombreuses interrogations sur le sens véritable du mot malade ». Et si c’est la société, avec sa volonté malsaine de conformisme, qui rend les êtres psychologiquement instables? À trop vouloir restreindre la liberté, est-ce que ce sont les médecins et les gardes qui causent les troubles? Cette dualité, palpable dans toutes les répliques de la pièce, ne se reflète pas dans l’énergie de la plupart des comédiens. Il faut dire que les ruptures de ton et de langage ne les aident pas à demeurer investis et font tomber à plat des scènes pivots comme le party interdit et la finale. Ceci dit, certains parviennent à se démarquer positivement. Maîtrisant le bégaiement, Renaud Lacelle-Bourdon ne laisse pas cette caractéristique venir faire obstacle à son jeu et aux intentions émotives qu’il doit délivrer. Il campe avec crédibilité l’impossible quête d’émancipation de Billy, ce personnage injustement prisonnier par la peur du monde extérieur alimentée par sa mère et les interventions faussement maternelles de Ratched. De son côté, Stéphane Demers incarne à la perfection les gestes maniérés de cet attachant Harding aux prises avec des questionnements sur son orientation sexuelle. Dans le rôle du Chef Bromden, Jacques Newashish offre une interprétation touchante, spécialement lorsqu’il livre des chants autochtones. Mathieu Quesnel traduit le dynamisme et la fougue de McMurphy en courant d’un bout à l’autre de la scène, en parlant et en riant fort, mais l’émotion n’y est pas. On ne voit que du cabotinage. Julie Le Breton insuffle à sa garde un instinct protecteur qui ne colle pas à l’image aveuglément stricte du personnage. Cette infirmière agit aussi méchamment en pensant véritablement poser les bonnes décisions pour le bien-être de ses patients. ©François Laplante Delagrave Intérieurement, elle n’est pas aussi cruelle, mais les spectateurs ne peuvent en aucun cas percevoir cette humanité à travers la façade rigide, sans quoi la relation de pouvoir entre McMurphy et Ratched ne fonctionne pas, et c’est exactement le cas ici. Grande et sublime actrice, Le Breton rend efficacement les pertes de contrôle et la peur. Seulement, il ne fallait pas que ce personnage les laisse paraître. Elle doit plutôt uniquement dévoiler une retenue dissimulant une rage sur le point d’exploser qui donne froid dans le dos. Vol au-dessus d’un nid de coucou est à l’affiche au Théâtre du Rideau Vert jusqu’au 23 avril 2017. Texte révisé par Annie Simard

Volau-dessus d'un nid de coucou est un film américain de Milos Forman sorti en 1975. Il a reçu les cinq principaux oscars du cinéma dont l'Oscar du meilleur film. Ce film a été adapté d'un roman de Ken Kesey paru en 1962. Le terme « cuckoo » désigne en anglais l'oiseau « coucou » et une personne mentalement dérangée, à l'image

Bernard Tapie - Bertrand Guay - AFPL'homme d'affaires, qui se bat depuis deux ans contre le cancer, veut fêter sur scène les vingt ans de la pièce Vol au-dessus d'un nid de d'un cancer depuis deux ans, Bernard Tapie rêve de remonter sur scène pour y jouer Vol au-dessus d'un nid de coucou. Selon son metteur en scène Philippe Hersen sur Facebook, ce rêve va se réaliser au printemps."Encore un vrai défi pour Bernard de se retrouver au printemps prochain dans une salle parisienne pour fêter les 20 ans de Vol au-dessus d'un nid de coucou", a-t-il écrit sur le réseau social. Bernard Tapie avait débuté sa carrière sur scène en 2011 en endossant le rôle de McMurphy, joué par Jack Nicholson dans le célèbre film de Milos Forman."Cela fait un moment que j'y pense et qu'on en parle. Il était en forme, il nous a joué des scènes de McMurphy avec une telle énergie, il est impressionnant", a assuré également Philippe Hersen au Parisien."C'est un battant, il se bat comme un lion"Le dramaturge a publié une photo le représentant tout sourire avec l'homme d'affaires. Les deux hommes posent également avec Mathieu Tordjman, responsable de l'adaptation de la pièce de Dale Wasserman, elle-même tirée d'un roman de Ken Kesey"C'est un battant, il se bat comme un lion, c'est tellement important pour lui, c'est son seul objectif", explique Mathieu Tordjman à propos de Tapie. "Bernard cite sans cesse Johnny Hallyday en exemple avec la dernière tournée des Vieilles Canailles qui l'a fait tenir, il est extrêmement motivé."Selon Philippe Tersen, Bernard Tapie prendrait en charge la production de la pièce. Il devrait jouer "quatre à cinq fois par semaine et 25 au maximum à Paris" au printemps prochain. Ces représentations seront peut-être suivies par "une petite tournée en septembre 2020".

Unvent de liberté souffle sur le Théâtre du Rideau Vert avec le retour de Michel Monty à la mise en scène de Vol au-dessus d’un nid de coucou , une pièce de Dale Wasserman d’après le roman de Ken Kesey. Présentée sur Broadway en 1963, la pièce avait connu un franc succès bien avant celui du film.
l'essentiel Les deux petits avions sont entrés en collision alors qu'ils étaient en train d'atterrir. Les passagers n'ont pas survécu. Drame au-dessus de l'aéroport de Watsonville, en Californie. Deux petits avions sont entrés en collision ce jeudi 18 août, alors qu'ils étaient en plein vol, rapporte L'Indépendant. Les avions "sont entrés en collision alors que les pilotes étaient dans la dernière ligne d’approche vers l’aéroport", précise l’administration d’aviation fédérale FAA dans un communiqué. \ud83c\uddfa\ud83c\uddf8 Deux avions se sont percutés peu avant l’atterrissage à l’aéroport municipal de Watsonville, en Californie. \u25ab\ufe0fLes 2 avions, un Cessna 152 monomoteur et un Cessna 340 bimoteur, tentaient d'atterrir vers 15h lorsqu’ils se sont — air plus news airplusnews August 19, 2022 Les trois passagers des deux vols sont décédés, y compris un chien qui appartenait à l'un des passagers. Aucun blessé au sol n'est à déplorer. Les appareils sont deux petits avions, un Cessna 340 et un Cessna 1522. Le Conseil national de la sécurité des transports va ouvrir une enquête pour déterminer les circonstances de l'accident.
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Théâtreitinérant, le Footsbarn Theatre s’arrête deux soirs à la Grange sublime pour proposer une originale et festive version carnavalesque de Vol au-dessus d’un nid de coucou. Fondé en 1971 au sein de la grange de la famille Foot, dans la région des Cornouailles, le Footsbarn Theatre se produit aussi bien en salle que sous

Si Vol au dessus d'un nid de coucou est une histoire purement inventée par Ken Kesey, l'auteur du roman, c'est indéniablement le film sorti en salle en 1975, réalisé par Milos Forman, qui lui donne ses titres de noblesse. Pendant les Oscars du cinéma de l'année 1976, Vol au dessus d'un nid de coucou rafle tout meilleur acteur pour Jack Nicholson of course!, meilleure actrice pour Louise Fletcher, meilleur scénario adapté, meilleur réalisateur, et naturellement, meilleur film. Ce film là a fait l'effet d'une bombe, et nos parents s'en souviennent encore c'était fabuleux. Cette sensation bouleversante lors du visionnage de ce chef d'oeuvre plein d'humanité nous a cependant, nous aussi, touché. Nul n'est resté insensible devant cette lutte pour un peu de liberté et d'humanité, dans un hôpital psychiatrique où, en apparence, le calme et le respect règnent. Réelle dénonciation du système hospitalier, comme du système totalitaire en générale en 1962, la référence était évidente, Vol au dessus d'un nid de coucou, par son tragique et sa tendresse, restera pour longtemps, une très grand oeuvre. Ainsi, empressez-vous de réserver vos places pour l'adaptation théâtrale de l'histoire de Randle Patrick McMurphy ou, Jean-Pierre Moulin par la Compagnie Caravane, au Théâtre 13 depuis le 6 mars pratiques Vol au dessus d'un nid de coucou au Théâtre 13Du 6 mars au 15 avril 2012Du mardi au vendredi à 20h30 et le dimanche à de 6€ à 24€
LeNautile proposera, samedi 9 mars, à 21 h, une adaptation du roman de Ken Kesey, « Vol au-dessus d’un nid de coucou ». La pièce, présentée par la Cie Arts Croisés, est mise en scène
13h16, le 22 janvier 2020, modifié à 15h26, le 30 avril 2020 Bernard Tapie sera de retour sur les planches en mai prochain, à Paris aux Folies Bergères. L'ancien Ministre et homme d'affaires reprendra le rôle qu'il avait tenu il y a 20 ans dans "Vol au dessus d'un nid de coucou". Il explique que l'on doit ce retour notamment à sa volonté de rencontrer le 77 ans, Bernard Tapie va remonter sur scène, au théâtre. À partir du 7 mai prochain, il sera à l'affiche de "Vol au dessous d'un nid de coucou", mis en scène par Philippe Hersen aux Folies Bergères à Paris. 25 représentations sont prévues pour la pièce de l'adaptation de la pièce de Dale Wasserman, à partir du roman de Ken dès le mois de marsAtteint d'un cancer depuis plus de deux ans, Bernard Tapie a réagi à cette information sur le plateau de BFM TV "Je reçois des lettres incroyables, ces gens-là ont envie qu'on se rencontre. Je n'ai pas trouvé mieux que de les rencontrer après une pièce de théâtre que je jouerai devant eux." Bernard Tapie avait déjà joué cette pièce il y a 20 était dans la peau du criminel Randall Patrick McMurphy et reprendra ce rôle, joué au cinéma par Jack Nicholson dans le film éponyme de Milos Forman. Les répétitions de la pièce vont commencer au mois de mars. 15 personnes seront sur scène avec l'ancien homme politique, dont Georges Aguilar, le mari de Josiane Balasko.
Volau-dessus d’un nid de coucou, du 24 mars au 23 avril, au Théâtre du Rideau Vert à Montréal Une pièce de Dale Wasserman D’après le roman de Ken Kesey
Pour sa première représentation depuis 2020, le théâtre Erick Moreau du Lycée français de San Francisco reprend Vol au dessus d’un nid de coucou », la pièce qui devait se jouer lorsque la pandémie de Covid a commencé. Adaptée du roman éponyme de Ken Kesey, cette pièce est mise en scène par Frédéric Patto, et interprétée par les comédiens de la troupe la D-Boussole. Vol au dessus d’un nid de coucou » raconte le séjour en hôpital psychiatrique de Randle Patrick McMurphy, un criminel qui joue la folie pour purger sa peine de prison à l’hôpital plutôt qu’en prison, et ses altercations fréquentes avec l’infirmière Ratched. Ken Kelsey s’est largement inspiré de sa propre expérience en tant qu’agent hospitalier dans une institution psychiatrique de Menlo Park, et de sa relation aux patients qu’il y a rencontrés. Le roman est sorti en 1962, en plein mouvement des droits civiques, a immédiatement séduit un large public. Son adaptation au cinéma par Milos Forman, avec Jack Nicholson dans le rôle principal, a largement contribué au succès mondial de cette oeuvre. A travers les conflits entre McMurphy et Ratched, Vol au dessus d’un nid de coucou » dénonce les dérives totalitarisme d’un système qui broie ceux qui le questionnent ou refusent de s’y soumettre. Le TLF espère retrouver son fidèle public à l’occasion des trois représentations de Vol au dessus d’un nid de coucou ». Un protocole sanitaire strict est mis en place, avec schéma vaccinal complet et masque obligatoire. La pièce est recommandée à partir de 12 ans. Instagram will load in the frontend.
Volau-dessus dun nid de coucou Ken Kesey Auteur Paru le 13 février 2019 Roman Poche 5 4 avis - 4 sur les autres formats 1 coup de cœur des libraires Format. Jack Nicholson Photo Easy Rider 1969 . Alors quArte diffuse ce lundi soir Vol au. Vol au-dessus d'un nid de coucou roman. Adapté dun roman de Ken Kesey paru en 1962. Film vol au dessus
Sortir Oups -{ Désolé ! Cette fiche d'événement n'existe pas ou plus dans notre agenda !Annoncer un événement Autres événements à venir Jusqu'au 4 septembre 2022 Éternelle Notre-Dame Sortez ! La première expérience totalement immersive en réalité virtuelle sur Notre-Dame de Paris. Un spectacle inédit et... Espace Grande Arche - La Défense 92044 Jusqu'au 29 novembre 2022 EDMOND Théâtre EDMOND LA CRÉATION D’ALEXIS MICHALIK Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans... Le Théâtre du Palais-Royal - Paris 75001 Jusqu'au 30 juillet 2024 the World of Banksy Art Contemporain Banksy serait né à Bristol, en Grande-Bretagne, autour de l’année 1974. Il devient incontournable dans le monde du... Espace Lafayette-Drouot - Paris 75009 Aujourd'hui/Ce soir COUPERIN Classique COUPERIN, Leçons de ténèbres Ensemble Correspondances Sébastien DAUCÉ, direction La légende veut que... église Notre Dame des Arts - PONT DE L'ARCHE 27340 Aujourd'hui/Ce soir TOUT EN CHANSONS Français HARMONIE ET SYMBIOSE AUTOUR DES AIRS DE L’OPERETTE SANS OUBLIER L'EMOTION AU SERVICE DES PLUS GRANDES CHANSONS... THEATRE DE VERDURE - Balaruc Les Bains 34540
Touchéepar la détresse et la solitude des patients, sous les soins de l'infirmière Ratched, elle va tenter de résister à l'oppression de cette institution, qui dompte ou annihile, rendant leur
29 septembre 2008 - MAJ 19/02/2020 0959 Drame Pour les jeunes générations, Milos Forman reste le roi du biopic flamboyant comme Hollywood savait les produire dans les années 80 et 90, celui qui a exposé à la face du monde la tempête agitant les crânes géniaux de ce monde, qu'elle soit scato Mozart, lubrique Larry Flint ou comique Andy Kaufman. Pourtant, à la revoyure, il est étonnant de constater combien Vol au-dessus d'un nid de coucou n'a pas pris une ride. Plus de trente ans après sa sortie, le film n'a rien perdu de sa force pamphlétaire quant aux difficiles conditions de vie dans les hôpitaux psychiatriques. Sur ce point, il demeure encore aujourd'hui avec Shock Corridor un des fleurons dans ce domaine. Le rapprochement avec le film de Samuel Fuller est intéressant à plus d'un titre. Sous couvert d'une enquête policière, Shock Corridor signait une charge déstabilisante contre les sévices psychologiques infligés dans ce type d'établissements tout en évoquant en filigrane la paranoïa toujours plus présente dans l'Amérique en pleine Guerre Froide. Situé en 1963, Vol au-dessus d'un nid de coucou parle de cette même époque mais sous l'angle de la contre-culture et de l'individualisme forcené. Et en tant qu'ex-tchécoslovaque ayant fui son pays réprimé dans le sang lors du Printemps de Prague, Milos Forman était l'homme de la situation. Sous son impulsion, l'asile devient le théâtre d'un affrontement entre deux manières d'envisager l'existence le libertarisme contre l'étau conformiste. Forman a l'intelligence de filmer cette guerre sans artifices ni jugements hâtifs. Il faut, en ce sens, saluer l'intelligence de toute une équipe qui a eu l'honnêteté de planter son décor dans un véritable établissement psychiatrique avec un énorme travail d'immersion de la part des seconds couteaux tous ayant fait leur preuve depuis, qu'il s'agisse de Christopher Lloyd, Danny DeVito ou encore Brad Dourif. Et puis, il y a Louise Fletcher et Jack Nicholson. Les clashs Mildred Ratched / Randall McMurphy sont inoubliables de par leur intensité. Bien que Forman affiche clairement sa sympathie pour l'hédoniste bagarreur et cavaleur, il a la clairvoyance de ne pas tomber dans le piège de l'angélisme ou la diabolisation, d'un côté comme de l'autre. McMurphy est un antihéros, un bon gars qui ne peut s'empêcher de foutre le boxon partout où il passe. De même, Ratched n'est pas le mal, seulement son agent elle croit fermement dans le bien-fondé de ses thérapies de groupe humiliantes ou ses séances d'électrochoc. Un peu comme les sociétés totalitaires qu'elle symbolise. La révolte toute en sourires carnassiers et arrogants face au visage psychorigide de la répression. Fletcher et Nicholson n'ont décidément pas volé leurs Oscars. Ils sont à l'image de Vol au-dessus d'un nid de coucou un chef d'œuvre d'une extrême subtilité ou d'une franche nuance dans lequel seuls les fous sont à même de voir le monde tel qu'il est réellement. Tour à tour d'une beauté fraternelle autour d'une partie de pêche avec des pieds nickelés, ou cruel et poignant comme la lobotomie des lendemains qui déchantent... Résumé Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique articles liés
Cest que la troupe de théâtre de Pont-Péan, Les Arts Maniaques, s'attaque à un très gros morceau avec ce "Vol au-dessus d'un nid de coucou". D'abord un roman puis un film culte, l’œuvre traite de la maladie mentale et des institutions qui vont avec de manière subtile et libre. La version théâtrale préparée par la troupe sera Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021. Personne n'a oublié le film aux nombreux Oscars de Milos Forman, One Flew Over the Cuckoo's Nest en 1975, avec Jack Nicholson dans le rôle principal. Mais ce que l'on ignore souvent, c'est que cette œuvre intelligente et bien ficelée est d'abord un roman signé Ken Kesey paru en 1962 qui, dès l'année suivante, a été transformé par Dale Wasserman en une pièce de théâtre jouée sur de nombreuses scènes des États-Unis puis dans le monde entier. C'est l'adaptation par Michel Monty de cette très belle pièce que le Théâtre du Rideau Vert a la bonne idée de présenter à son public montréalais. Dans le décor réaliste et bien pensé de la salle commune de ce service de l'hôpital psychiatrique, où un groupe d'une dizaine de pensionnaires masculins passe le plus clair de son temps, agrémenté d'éclairages variés qui transforment efficacement l'atmosphère du lieu, quinze acteurs sur scène - tous excellents, et dont certains vivent une situation de réel handicap - font progresser l'action dramatique du héros, un intrus qui, pour éviter le risque d'une peine de prison, se fait passer pour fou. On sait depuis l'expérience de Rosenhan sur le diagnostic psychiatrique qu'il n'est pas si facile de détecter un imposteur parmi les patients d'un est fou? Qui ne l'est pas? Qui est le plus fous parmi les soignés, mais aussi les soignants? On sait depuis l'expérience de Rosenhan sur le diagnostic psychiatrique qu'il n'est pas si facile de détecter un imposteur parmi les patients d'un service. Mais la pièce pose davantage de questions encore. Celles de la maltraitance qui peut exister dans ce type d'institution censée aider les malades, celles des traitements de psychochirurgie qui ont abondamment été utilisés par le passé ou de l'administration de médicaments psychotropes trop souvent préférée à un traitement par la parole, celles de la perversion qu'on peut trouver n'importe où, mais qui s'épanouit tout à son aise dans une structure où le pouvoir se substitue à l'autorité, celles enfin plus générales de la vie et de la liberté, et qui concerne tout le pièce est menée tambour battant, avec ses moments tragiques, ses moments révoltants et ses moments drôles et joyeux. Le héros et, finalement, tous les malades aussi sont vraiment attachants. Les personnages de Billy, de Harding et bien sûr du géant indien sont particulièrement touchants. Mathieu Quesnel dans le rôle de Randle McMurphy est un garçon sympathique à souhait, bien plus salutaire pour les malades que tout le service hospitalier réuni; Julie Le Breton dans le rôle de l'infirmière Ratched est, comme il se doit, terrorisante de perversion malsaine et d'une efficacité malheureusement redoutable...Vol au-dessus d'un nid de coucou, du 24 mars au 23 avril, au Théâtre du Rideau Vert à MontréalUne pièce de Dale WassermanD'après le roman de Ken KeseyTraduction, adaptation et mise en scène Michel MontyAvec Julie Le Breton, Mathieu Quesnel, Sylvio Archambault, Anne-Marie Binette, Catherine Chabot, Philippe David, Stéphane Demers, Jacques Girard, Jean-François Hupé, Renaud Lacelle-Bourdon, Justin Laramée, Benoit Mauffette, Jacques Newashish, Frédérick Tremblay, Gilbert TurpCet article a aussi été publié sur AUSSI SUR LE HUFFPOSTLes billets de blogue les plus lus sur le HuffPostBefore You GoPopular in the CommunityCet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support theatrevol au dessus d un nid de coucou bernard tap e; vol au dessus d un lit de coucou; vol au dessus d un nd de coucou; vol audessus d un nid de coucou; vol au dessus d un nid de vautours; Dernières recherches. alice never; volution; vendredi dingue dingue dingue; resident evil archives wii; vola; crack archicad 26 ; star trek deep space nine; rhino 7; dortoir des
Les exclamateurs présentent Vol au dessus d’un nid de coucou de Ken Kesey, adapté au théâtre par Dale Wasserman, traduit par Jacques Sigurd, dans une mise en scène de Jean Lambin, assisté de Maya Colle-Plamondon. Pour échapper à la prison, Patrick McMurphy se fait passer pour fou. Il est avant tout un bum», joueur, bagarreur, buveur, coureur de jupon… À priori, sans trop de moralité bien sûr, mais bon vivant, libre, sincère et intègre… à sa façon! C’est peut-être dangereux pour lui de jouer à son petit jeu car les psychiatres du début des années 50 jusqu’au début des années 60 expérimentaient, sans trop de retenue, des lobotomies, qui consistaient à sectionner des fibres nerveuses à l’intérieur du cerveau, rendant bien souvent le patient dans un état végétatif. Au début des années soixante, quiconque ne cadrant pas dans la norme sociale pouvait se retrouver en hôpital psychiatrique. McMurphy se retrouve ainsi face à l’intraitable Miss Ratched, qui dirige son département de l’hôpital psychiatrique d’une main de fer dans un gant… apparemment de velours. La confrontation sera terrible. Un choc de titans! C’est la confrontation du pouvoir. Celui de la liberté, du combat contre l’injustice, de l’intégrité. Et celui du conformisme, de l’ordre social, du pouvoir légal. Le conflit qui oppose McMurphy et Miss Ratched pose beaucoup de questions Qui est réellement malade dans cet hôpital? Les patients ou ceux qui veulent ou doivent les guérir? Le peuple ou ceux qui le dirigent? Dans cette histoire, nous assisterons à une sacrée dérape, mais aussi, à une grande victoire!!! Texte Selon le roman de Ken Kesey, adapté au théâtre par Dale Wasserman et traduit par Jacques Sigurd. Mise en scène Jean Lambin Assistance à la mise en scène, costumes et accessoires Maya Colle-Plamondon Distribution par ordre d’apparition sur scène Stéphane Najman, Jean-François Dessureault, Jean-Pierre Trzcinsky, Suzanne Poirier, Blandine Donnez, Gérald Morin, Gabriel Girard, Marie-Laure Breysse, Katia Decorde, Julie Corbeil, Nidya Gimeno, Pierre Berté, Jean Vautour et Solange Tardif Habillage sonore Gabriel Girard Éclairage et régie David Brien Photographies du spectacle et captation vidéo Nathanaël Corre Graphisme et déclinaisons web Véronique Labelle RÉSERVATIONS Informations / Questions écrivez nous à l’adresse coucou
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