12rĂ©actions sur “ Jean-Pierre Gegout nous a quittĂ©s ” Pierrel Nadine 19 juin 2022 Ă  9 h 45 min. Encore un Chambonie qui disparaĂźt. Un grand respect Ă  toute sa famille et une pensĂ©e au théùtre du foot pour qui il avait tenu des rĂŽles extraordinaires pendant et aprĂšs la pĂ©riode Pascal Simon.
3 participantsAuteurMessageAudreyAdminNombre de messages 15752Age 42Localisation Fresselines 23RĂ©putation 16Points 1337Date d'inscription 17/02/2006Au pays des calins ..Marraine de ÉlodieFilleul Sujet Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Mer 30 Avr - 1114 Une pensĂ©e pour la famille et le compagne Ă  Greg, un an que le petit ange nous Ă  quittĂ© !..._________________ natinatĂ©normes calinsNombre de messages 8221Age 37Localisation LanesterRĂ©putation 5Points 567Date d'inscription 06/02/2007Au pays des calins ..Marraine de LolaFilleul Sujet Re Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Mer 30 Avr - 1407 Oui Audrey, une Ă©norme pensĂ©e pour ce garçon Ă  la voix d'Ange ... PamĂ©lamodĂ©rateurNombre de messages 10347Age 40Localisation OrneRĂ©putation 15Points 475Date d'inscription 11/04/2006Au pays des calins ..Marraine de Ugo, Laura et ManonFilleul Sujet Re Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Mer 30 Avr - 1832 une enorme pensĂ©e pour la famille et gregory_________________ AudreyAdminNombre de messages 15752Age 42Localisation Fresselines 23RĂ©putation 16Points 1337Date d'inscription 17/02/2006Au pays des calins ..Marraine de ÉlodieFilleul Sujet Re Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Jeu 1 Mai - 857 Gregory Lemarchal un an dĂ©jĂ  !Il est en vie » dans nos coeurs Le 30 avril 2007, GrĂ©gory Lemarchal nous quittait. L’annonce de sa mort des suites de la mucoviscidose faisait l’effet d’une bombe, et depuis, personne n’a oubliĂ© cette date. PartagĂ©s entre la douleur, la colĂšre et l’amour, ses fans lui ont Ă©crit des milliers de messages et ils continuent encore. Pourquoi ? Parce que notre petit ange Ă©tait un artiste incomparable, Ă  la voix limpide et au courage exemplaire, que la vie nous a arrachĂ© trop tĂŽt. GrĂ©gory, nous pensons trĂšs fort Ă  toi. Tu restes en vie » dans nos cƓurs et l’on te promet » de ne rien oublier de ce que tu nous as donnĂ© » _________________ natinatĂ©normes calinsNombre de messages 8221Age 37Localisation LanesterRĂ©putation 5Points 567Date d'inscription 06/02/2007Au pays des calins ..Marraine de LolaFilleul Sujet Re Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Jeu 1 Mai - 1041 c'est tellement vrai... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Une pensĂ©e pour la famille Ă  Gregory Lemarchal Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Voicitout de mĂȘme 6 signes qui vous aideront Ă  dĂ©couvrir qu'une personne ne ressent plus les mĂȘmes choses pour vous. La Mente es Maravillosa Bien-ĂȘtre; Si un jour quelqu'un ne vous aime plus, vous le saurez sans mĂȘme qu'il ait besoin de vous le dire. 5 minutes. DerniĂšre mise Ă  jour : 17 fĂ©vrier, 2016. Un soir d’étĂ©, sur une terrasse face Ă  la mer, Depuis que tu nous as quittĂ©s, j’ai soufflĂ© quelques bougies de plus, j’ai appris deux ou trois accords, j’ai gribouillĂ© quelques textes. J’essaie de faire de mon mieux jour aprĂšs jour et de rester forte, d’ĂȘtre une bonne mĂšre. Tu aurais aimĂ© la petite derniĂšre, elle te connaĂźt Ă  travers les histoires de toi que je lui raconte, elle connaĂźt ton nom, elle le nomme en pointant les Ă©toiles. Depuis que tu es parti, j’apprends Ă  vivre diffĂ©remment, en pleurant et en souriant mĂȘme en pensant Ă  toi, aux cents coups qu’on a fait ensemble, en entendant une de tes chansons prĂ©fĂ©rĂ©es Ă  la radio. La tristesse a fait place Ă  de beaux souvenirs, le temps finit bel et bien par faire son Ɠuvre. Mais je n’ai pas fait totalement la paix avec la mort, je lui en veux encore d’ĂȘtre venue te chercher si tĂŽt. Je n’ai toujours pas eu la force de faire le tri des choses qui t’appartenaient et que je conserve dans une grande boĂźte au grenier. Il m’arrive parfois de la dĂ©placer, d’enlever un peu de poussiĂšre accumulĂ©e sur le couvercle. Je ne me suis pas rĂ©signĂ©e non plus Ă  laver ton chandail prĂ©fĂ©rĂ©, mĂȘme si l’odeur de ton parfum a disparu depuis longtemps. Depuis que tu nous a quittĂ©s, l’arrivĂ©e du printemps et l’éclosion des bourgeons me rappellent la saison oĂč nous devions attendre le dĂ©gel du sol pour enterrer tes cendres. L’endroit oĂč tu reposes et l’odeur des fleurs qui s’en dĂ©gage ne me font pas penser Ă  toi. Ne m’en veux pas de ne pas y aller pour te visiter, pour moi tu n’y es pas, tu es tout autour de nous, partout, Ă  tout instant. Je n’ai toujours pas trouvĂ© les mots pour expliquer ton dĂ©part lorsqu’une vieille connaissance me demande comment tu vas; chaque fois, je voudrais me dĂ©filer pour Ă©viter d’avoir Ă  raconter une fois de plus la derniĂšre journĂ©e de ta vie. Depuis que tu nous a quittĂ©s, d’autres sont venus te rejoindre. J’ai essayĂ© tant bien que mal de sĂ©cher quelques larmes de leurs proches atterrĂ©s, de consoler des cƓurs Ă©miettĂ©s, de prĂȘter une Ă©paule oĂč l’on peut se rĂ©fugier, parce que je comprends ce par quoi ils devront passer. Depuis que tu es parti, j’ai compris qu’on ne tient qu’à un fil, que la maladie peut s’inviter lorsqu’on ne s’y attend pas. J’essaie de profiter de chaque jour et des gens que j’aime. Ce soir, je vais tenter de m’endormir en abrillant ma conscience de mes regrets et de mes remords de ne pas assez avoir profitĂ© de ta prĂ©sence, de ne pas avoir assez pris de temps avec toi, de ne pas avoir pu te dire ce qu’il y avait Ă  dire. Demain, je continuerai mon petit bout de chemin, en ayant quelquefois une pensĂ©e pour toi, en observant ton visage sur la photo que j’ai mise sur le coin de mon bureau. Cette nuit, peut ĂȘtre aurai-je la chance de te voir en rĂȘve et de pouvoir te parler. Je te dirai Ă  quel point tu me manques et tu me diras de ne pas m’en faire, qu’on se reverra un jour. CrĂ©dit wrangler/ KARINE PILOTTE 9AoĂ»t 2010. #1. Il y a des occasions ou des dates spĂ©ciales ou l absence de ceux qui sont partis trop tĂŽt est encore plus criante. Pour moi le ramadan fait partie de ces occasions spĂ©ciales ou je pense Ă  ceux qui Ă©taient lĂ  l annĂ©e derniĂšre ou il y a quelques annĂ©es mais qui ne sont plus lĂ . Chaque ramadan, je ne peux m empĂȘcher de

AccĂ©der au contenu principal A peine rentrĂ© de l’enterrement du papa au BIKER » oĂč les hommages ont Ă©tĂ© poignants, je reçois un appel de l’épouse de Jean-Claude PAUL. Nicole m’annonce que Jean-Claude est dĂ©cĂ©dĂ© cette nuit Ă  l’hĂŽpital Jacques CƓur de BOURGES. On a beau s’y attendre, on a beau dire que c’est mieux pour lui et son entourage plutĂŽt que de le voir rongĂ© par la maladie, c’est dur Ă  encaisser ! J’ai travaillĂ© avec lui Ă  la tĂȘte du club pendant 2 ans et je vais essayer de garder en mĂ©moire ce bonhomme jovial de 90 kg qui faisait beaucoup et qui ne comptait pas son temps pour le club. Je me rappellerai aussi ce championnat de Ligue triplettes vĂ©tĂ©rans » que nous avions fait Ă  DREUX en 2012 avec Jean-Paul SIEGLER ! Jean-Claude avait Ă©tĂ© impĂ©rial ce jour lĂ , et nous avions Ă©tĂ© Ă  un cheveu de remporter le titre qui aurait Ă©tĂ© une premiĂšre aussi bien pour lui que pour moi. HĂ©las nous avons perdu 13/12 et nos rĂȘves de Championnats de France se sont envolĂ©s. Maintenant que tu as franchi la grande porte et que tu es sur le chemin d’à cĂŽtĂ©, une chose est sĂ»re, tu ne souffres plus mais tu vas laisser un vide ! Tes copains de pĂ©tanque et de whist ont une pensĂ©e pour toi, pour Nicole et pour Marie-NoĂ«lle qui vient de donner la vie alors que toi tu viens de la perdre ! Salut Jean-Claude ! Une de ses derniĂšres sorties Ă  La Guerche quand il est venu nous voir au CDC en aoĂ»t 2015 A Mareuil avec son frĂšre Michel Au graphique oĂč il excellait ! Navigation des articles

Tues l’une de mes plus belles rĂ©ussites et je ne me lasserai jamais de m’imaginer dans tes bras. – Les premiĂšres lueurs du soleil sur mon visage me font penser Ă  tes belles caresses que j’apprĂ©cie tellement. – Je pense fort Ă  toi dĂšs mon rĂ©veil, car tu fais partie de moi et moi une partie de toi, je t’aime mon amour. Ce mercredi 18 aoĂ»t 2021 se dĂ©roulaient les funĂ©railles de Lydie Roche, compagne de Fabrice Duwez et qui nous a malheureusement quittĂ©s brutalement le samedi 14 aoĂ»t. Lors de la cĂ©rĂ©monie religieuse, Ă  la demande de Fabrice Duwez et des frĂšres de Lydie - Reynald, Dominique et Éric - deux textes ont Ă©tĂ© lus pour lui rendre hommage. Le premier par David Hecq et le second par son amie de toujours, Martine LĂ©zier. Voici les transcriptions. Premier texte Lydie c’était avant tout un sourire. Quand vous la croisiez, c’était la premiĂšre chose qu’elle vous offrait, sans rien attendre en retour. Tout simplement parce que c’était naturel chez elle. Il y a des personnes sur cette terre qui quand elles naissent, sont destinĂ©es Ă  ĂȘtre de belles personnes, Lydie en faisait partie. Il aurait d’ailleurs fallu agrandir les murs de cette Ă©glise pour accueillir toutes les personnes qui l’apprĂ©ciaient et qui souhaitaient lui rendre hommage. Seule fille dans une fratrie de quatre enfants, Lydie avait un grand frĂšre, Reynald et deux petits-frĂšres, Dominique et Eric. L’avantage d’ĂȘtre la seule fille, c’était d’ĂȘtre la chouchoute. Elle Ă©tait forcĂ©ment surprotĂ©gĂ©e par ses frĂšres mais elle devait aussi s’imposer dans leurs jeux de garçons turbulents. Mais surtout c’est Ă  elle que revenait la charge, ou plutĂŽt le plaisir, de faire le lien entre ces enfants aux caractĂšres tous diffĂ©rents, de jouer les avocates auprĂšs des parents et d’arbitrer les chamailleries. Elle aurait pu ĂȘtre diplomate tant elle arrondissait les angles pour apaiser la situation. Sans vous en rendre compte sur l’instant, vous, sa famille avez forgĂ© son caractĂšre. Elle adorait ses frĂšres et en parlait toujours avec fiertĂ©, s’inquiĂ©tant pour eux quand ils n’étaient pas en forme, se rĂ©jouissant quand ils allaient bien. Reynald perd sa petite sƓur, Dominique et Eric perdent leur grande sƓur. C’est une part de vous-mĂȘme qui s’en est allĂ©e et nous nous sentons bien impuissants face Ă  votre dĂ©tresse. Les mots, les gestes amicaux semblent inutiles pour vous rĂ©conforter. C’était votre boussole, votre organisatrice en chef d’évĂ©nements familiaux et il vous faudra demeurer soudĂ©s pour perpĂ©tuer sa mĂ©moire. Vous lui devez bien ça, enfants vous lui aviez malencontreusement cassĂ© sa dinette. Cette facultĂ© innĂ©e de crĂ©er du lien s’est transposĂ©e dans son mĂ©tier, qu’elle vivait avec passion aux cĂŽtĂ©s de sa meilleure amie, Martine. 42 ans de complicitĂ©. Ce mĂ©tier, au plutĂŽt cet engagement total au sein d’un service de tutelle lui a aussi permis de rencontrer l’amour de sa vie, Fabrice. Un ours un peu bougon mais adorable qu’elle a su apprivoiser et qu’elle aimait de tout son cƓur. En premier lieu nos pensĂ©es vont vers toi Fabrice car nous savons tous ici combien elle comptait Ă  tes yeux et combien tu l’aimais. Nous sommes tous ici incapables de mesurer le vide de son dĂ©part prĂ©cipitĂ©. Comme pour ses frĂšres et pour les membres de sa famille, nos mots n’ont pas la force de te rĂ©conforter et nous en sommes tous dĂ©solĂ©s. Sachez que nous sommes lĂ . Fabrice, nous avons aussi une pensĂ©e pour tes enfants Camille, Pierre et Antoine. Vous ĂȘtes devenus ses enfants et quand elle parlait de vous, son visage s’illuminait immĂ©diatement. Si Fabrice est peu dĂ©monstratif par nature, Lydie parlait pour lui et nous racontait vos parcours, vos soucis et vos bonheurs. Elle vous aimait de tout son cƓur mais est-ce utile de le dire ? Vous le savez au fond de vous-mĂȘme. Quand vous ĂȘtes devenus parents Ă  votre tour, elle ressentait une extrĂȘme fiertĂ©. Elle nous montrait sur son tĂ©lĂ©phone les photos de Louis, de Sacha et de Maelle. Elle se plaisait Ă  leur tricoter des vĂȘtements et lĂ  encore, elle ne manquait pas de nous montrer le rĂ©sultat en photo regarde comme ils sont rigolos, regarde comme ils sont dĂ©gourdis, regarde comme ils sont beaux ! ». Tout comme Fabrice, son petit bonheur intime, Ă©tait de les voir grandir. Au sein du service tutĂ©laire dans lequel vous travailliez, vous avez accompagnĂ© un nombre incalculable de personnes dĂ©sƓuvrĂ©es. Pour vous la solidaritĂ© n’était pas un mot en l’air mais une rĂ©alitĂ©. Vous viviez la solidaritĂ© au quotidien. Dans un monde parfois sombre, vous apportiez une lumiĂšre bienveillante Ă  des personnes qui en avait grandement besoin. DerniĂšrement, et bien qu’elle soit en retraite de son mĂ©tier, Lydie me disait que la situation sanitaire actuelle modifiait profondĂ©ment les relations humaines, la base mĂȘme de votre profession. Une distance se crĂ©ait entre les individus et s’ajoutait Ă  la souffrance des personnes que vous suiviez. Cela la contrariait. Lydie Ă©tait comme ça. Soucieuse des autres, vigilante et attentive. Mieux que quiconque, elle savait dĂ©tecter dans le regard, dans l’expression d’un visage, la petite chose qui vous minait l’esprit. Avec des mots simples, avec sa bienveillance, avec sa chaleur naturelle et son sourire amical, elle aidait les personnes Ă  se sentir mieux et Ă  se sortir de situation qui nous sembleraient Ă  tous inextricables. Quand Fabrice m’a rejoint dans l’aventure municipale en 2008. Ce n’est finalement pas un conseiller municipal que j’ai recrutĂ© dans l’équipe mais deux ! A l’instar de son grand frĂšre, Reynald, maire de Guemappe, Lydie aimait la vie publique et l’engagement au service des autres. Elle faisait de la politique au sens noble du terme, au sens Ă©tymologique, celui qui signifie s’occuper de la citĂ© et des citoyens. Comme pour notre regrettĂ© GĂ©rard Lorenc, pour Lydie, un Ă©lu devait ĂȘtre sur le terrain, proche des gens et de leurs prĂ©occupations. Quand Fabrice arrivait dans une manifestation communale, Lydie Ă©tait Ă  ses cĂŽtĂ©s. Et qu’importe si elle n’était pas officiellement Ă©lue, le statut lui importait peu, ce qui comptait c’était les actes. Je ne vous le cache pas, le duo Fabrice et Lydie Ă©tait redoutablement efficace au sein de l’équipe municipale. Pour toutes les questions sociales de la commune, notre Ă©quipe savait compter sur eux repas de l’amitiĂ©, colis des aĂźnĂ©s, centre communal d’action sociale, aide aux personnes en difficultĂ©, aide Ă  trouver un logement. Quant Ă  leur implication dans la vie associative, c’est bien simple ils Ă©taient prĂ©sents Ă  toutes les manifestations. Souvent accompagnĂ©s par leurs voisins et amis de toujours, la famille Pitou. Et mĂȘme quand ils Ă©taient en vacances et qu’ils en manquaient une, ils me tĂ©lĂ©phonaient pour savoir si cela c’était bien passĂ©. Fabrice + Lydie c’était l’équation parfaite. Je me reposais complĂštement sur eux et ils avaient toute ma confiance. Combien de fois Lydie me tirait l’oreille tu devrais rendre visite Ă  untel, ça lui ferait plaisir de te voir ». Bien sĂ»r je m’exĂ©cutais ! Non pas parce qu’elle m’intimidait mais tout simplement parce que je n’avais pas envie de la dĂ©cevoir et parce qu’elle avait raison, il faut rester attentifs. MĂȘme quand nous n’avons plus Ă©tĂ© Ă©lus, elle a Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  s’investir dans la rĂ©serve sanitaire pour apporter un soutien aux personnes ĂągĂ©es lors du premier confinement. Elle leur mijotait des bons petits plats, faisait leurs courses, confectionnait des masques, Ă©coutait patiemment leurs petits tracas. Et tout ça bĂ©nĂ©volement, sans rien attendre en retour. Un simple sourire rendu suffisait Ă  son bonheur. Elle aimait les gens, tout simplement. Encore la semaine derniĂšre, Lydie et Fabrice continuaient de rendre visite aux anciens de la commune, pour leur apporter un peu de rĂ©confort et prendre de leurs nouvelles. Quand j’ai appelĂ© ces personnes pour leur annoncer le dĂ©part brutal de Lydie, pour beaucoup d’entre eux, c’était comme si je leur annonçais la perte d’un proche. Lydie tu vas terriblement nous manquer. Les personnes de ton envergure sont rares sur cette planĂšte. LĂ  oĂč tu es, pense Ă  nous envoyer un peu de ta bontĂ© et de ta gĂ©nĂ©rositĂ©, notre monde en a grandement besoin. Je terminerai par une citation dont l’auteur demeure inconnu. Mais cela pourrait trĂšs bien ĂȘtre un message de Lydie adressĂ© Ă  Fabrice. T’ai-je vraiment promis de ne pas mourir ? A supposer que je me sois laissĂ© arracher cette promesse, penses-tu sincĂšrement que c’était pour te faire pleurer ? Si je meurs, pour moi ça ne sera pas l’enfer, juste un ailleurs. Pourquoi ma mort serait-elle donc un enfer pour toi ? J’ai tant aimĂ© la vie, je t’ai tant aimĂ©. Et je transformerais, moi, ta vie Ă  toi en enfer ? Je ne veux pas de ça. Je ne serai plus mais les choses et les gens que j’ai aimĂ©s avec toi resteront Ă  tes cĂŽtĂ©s. L’amour que je t’ai donnĂ©, il est en toi. C’est une source de vie et ce feu ne s’éteindra pas quand je te quitterai. Par contre je compte sur toi pour le nourrir et le rendre Ă  celles et ceux que nous aimons. AprĂšs un temps de dĂ©sarroi, tu apercevras que ce monde de larmes qui te semble invivable aujourd’hui est aussi un monde de joie, de beautĂ© et d’amour. Laisse alors la vie t’envahir. Je ne te quitte pas ; je me suis confondu Ă  cette partie de toi qui toujours s’émerveille. Second texte Lydie, une femme de cƓur, une femme de bien », une femme de lien » Comme disait JJ Goldman, tu es de ma famille, de mon ordre et de mon rang, celle que j’ai choisie, celle que je ressens » Pour avoir eu le privilĂšge, oui, le privilĂšge de partager 42 ans de ma vie avec toi, prĂ©sente rĂ©ellement, authentiquement, pour toutes mes grandes joies mais aussi mes grandes peines, je veux dire Ă  toi, ta famille et tes nombreux amis pour lesquels tu as toujours su te rendre disponible, combien ma peine est immense et lourde aujourd’hui. Ce ne sont hĂ©las pas des mots de convention, ni de politesse, crois le bien, mais tu le sais, de lĂ  oĂč tu es dĂ©sormais. Notre parcours commun d’éducatrice commencĂ© en 1979, s’est poursuivi durant 42 ans, avec une sensibilitĂ© sociale identique, socle de notre longue et fidĂšle amitiĂ©. Pour ton anniversaire en fĂ©vrier, je t’avais offert un livre Ă  toi, la fervente lectrice !, dont le titre Ă©tait Rien ne t’efface » de M Bussi. Jamais je n’aurais pensĂ© que ce titre pouvait ĂȘtre prĂ©monitoire. Alors, merci infiniment pour tout Lydie, toi qui ne me laissais jamais deux jours sans nouvelles
 Tu resteras irremplaçable Ă  jamais
 Je souhaite Ă  Fabrice, Ă  ta famille et Ă  tes nombreux amis, proches et lointains, de pouvoir continuer leur route sans toi ici-bas avec courage, et avec autant de dĂ©termination que celle dont tu as fait preuve toute ta vie durant. Je t’embrasse, Lydie, du fond du cƓur. **** La famille remercie l'Ă©quipe paroissiale pour leur implication dans la cĂ©rĂ©monie et toute les personnes qui ont tĂ©moignĂ© leur sympathie Ă  la famille.
Merciencore une fois pour le Cd que tu m'as envoyé gracieusement avec tous les plans les catalogues etc, je l'utilise fréquemment. Je suis en dette envers toi. Ma religion me permet de penser que nous nous rencontrerons un jour. Tu es un " bonhomme " dans les deux sens du mot, qu'il faudrait connaßtre personnellement, pas seulement
VictorCherbuliez , Meta Holdenis (1873) 3. La pensée est l'esclave de la vie, et la vie est le fou du temps William Shakespeare. 3. Le temps que nous ne savons pas employer, tant qu'il dure, nous paraßt une éternité, mais une fois passé, ce n'est plus qu'un moment dont le souvenir fugitif échappe à notre pensée.
BernardDelaireVisiteur. mercredi 29 juin 2022 Ă  22h08. Le deuil de notre copain SAMUEL MERLIN aura lieu le vendredi 1 juillet Ă  15:00 Ă  la chapelle de l'hĂŽpital Jacques CƓur de Bourges puis cĂ©rĂ©monie civile. au crĂ©matorium Ă  16:00 au 1 rue Martin Siemens (derriĂšre les pompes funĂšbres) Selon les renseignements reçus.

MichelLacroix nous a quittĂ©s. Sa jovialitĂ©, son sourire, ses coups de gueules aussi. Le restaurant des Chavannes, c’est fini. Il ne rouvrira pas. Les Chavannes sans Michel n’a plus de sens. C’était le rendez-vous des amis qui aujourd’hui se sentent bien seuls. Une trĂšs grosse pensĂ©e Ă  sa famille et ses proches. J.B.

UnepensĂ©e pour le paternel aujourd’hui qui nous a quittĂ© en 2008. NĂ© en 1927, il Ă©tait dans l’armĂ©e française en 1945. Il a immigrĂ© au #QuĂ©bec dans les annĂ©es ‘50. Photo prise Ă  #champex en 2005 dans le #valais en #Suisse, un coin du monde qu’il aimait beaucoup.Georges aimait le steak frites et un bon verre de rouge. UnepensĂ©e pour ceux qui nous ont quittĂ©. Le 15 Juin 2022, notre Ami Claude VINCENT nous a quittĂ© Ă  l’ñge de 72 ans, Trop tĂŽt, beaucoup trop tĂŽt ! Foutue saloperie que cette maladie qui t'a emportĂ©. Tu nous manqueras CLAUDE et nous garderons de toi l’image d’un ami joyeux. et d'un fidĂšle pratiquant de notre PĂ©tanque. zlRS.